En cas de vaccination "obligatoire" en milieu scolaire : Madame X Monsieur X ru

En cas de vaccination "obligatoire" en milieu scolaire : Madame X Monsieur X rue ….. …… ….. Le …..2009 Monsieur le Directeur Lycée ou collège Madame le médecin scolaire Monsieur l’inspecteur Monsieur le recteur d’académie Mr le préfet…. Madame, Messieurs Avant d’accepter éventuellement les vaccins D.T. Polio, grippe dont l’administration est obligatoire (article L10 du Code de Santé Publique) chez notre enfant (ou nous­même) …. né le …., nous aimerions attirer votre attention sur différents points qui nous paraissent fondamentaux. 1) L’acte vaccinal est un acte médical à part entière. Comme le précisait le docteur Louis LERY de l’Institut Pasteur de Lyon, au cours de son intervention au Parlement européen, le 17 juillet 1996, « Il ne doit plus s’agir d’un acte médico­administratif. » Ceci implique nécessairement, avant toute vaccination, une investigation diagnostique conforme aux méthodes les plus appropriées, le respect des précautions élémentaires et la prise en compte de la sensibilité individuelle. Ceci implique également pour le médecin « la charge de prouver qu’il a bien donné à son patient (ou aux parents si le patient est mineur) une information loyale, claire et appropriée sur les risques des investigations ou soins qu’il lui propose, de façon à lui permettre d’y donner un consentement ou un refus éclairé. Ce devoir pèse aussi bien sur le médecin prescripteur que sur celui qui réalise la prescription, », comme l’ont rappelé avec force plusieurs arrêts de la Cour de Cassation (Cf, arrêts des 25/2/97 et 14/10/97) et du Conseil d’Etat. Selon Germain Lacroix, juriste au SOU­Médical, « Les praticiens doivent, depuis ces arrêts des 25/2 et 14/10/97, être en mesure de prouver qu’ils ont fourni aux patients une information loyale, claire, appropriée et exhaustive au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient (ou à ses parents pour les mineurs, cf. article 372 du code civil) de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés » (Cf, Le Quotidien du médecin, n° 6251, 26/3/98). Bien entendu, cette information doit être loyale. Or, si nous en croyons les experts de la Cour de Comptes « la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par les laboratoires pharmaceutiques » tandis que « la politique du médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques » (Cf, rapport de septembre 2001 sur le budget de la sécurité sociale). Ces derniers, qui font volontiers le siège du Ministère de la santé, ne sont pas un modèle de vertu en la matière. Selon Michel le Duff, chef du service de pharmacie du CHU de Rennes et directeur du centre régional d’information sur le médicament (C.r.i.m) : « Il y a bien une obligation légale d’informer les médecins de l’ensemble des données « officielles » communiquées à l’Agence de sécurité sanitaire des médicaments avant la commercialisation. Mais on estime que les labos ne communiquent que 1 % de leurs données. En outre, l’information légale est très marginale. Les contre­indications sont inscrites pour respecter la législation. Mais elles sont peu lisibles : écrites en petits caractères, à la fin de la notice. Et souvent, elles renvoient elles­mêmes à d’autres notices. Les médecins ou pharmaciens disposent seulement des indications que les laboratoires s’arrangent à mettre en valeur dans l’autorisation de mise sur le marché. » (Ouest France, 5 novembre 2001). D’autre part, la loi 2002­303, du 4 mars 2002, publiée au Journal Officiel du 5 mars, vient confirmer dans les droits du malade qu’« aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne. Ce consentement peut être retiré à tout moment » (article 1111.4 du Code de la Santé Publique). En cas d’accident ou de complications, le non respect du devoir d’information engage ainsi la responsabilité civile ou pénale de tous ceux qui y sont liés. L’application de l’article L10 du Code ne saurait donc occulter ce droit inaliénable à l’information « loyale, claire et appropriée », préalable obligé au consentement « libre et éclairé ». 2) De nombreux risques vaccinaux sont mis en évidence par de nombreuses publications scientifiques internationales que nos autorités sanitaires semblent pourtant ignorer : Les dangers inhérents aux vaccins à virus vivants. Selon le docteur Gallo, co­découvreur du virus du sida, « l’usage des vaccins à virus vivants peut activer un virus endormi comme celui du sida », mais également d’autres virus ou bactéries à l’image du méningocoque, du pneumocoque… présents à l’état saprophyte dans la gorge d’un pourcentage non négligeable d’enfants et d’adultes. C’est pour cette raison que le Pr Luc Montagnier avait déclaré dans Le Monde du 23 mai 1987 : « Peut­être devra­t­on rapidement organiser le dépistage des enfants (et des adultes) séropositifs, avant leur vaccination ». Dans le même quotidien, le professeur Saliou, directeur scientifique de Pasteur Vaccins ajoutait : « Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin contre la polio ou le vaccin contre la rougeole. » De nombreux virologues et scientifiques ont vainement répétés les mises en garde sur les dangers de ces vaccins. C’est le cas du Dr J. Ledeberg, Prix Nobel de Médecine en 1958, qui, après avoir déjà reproché le manque d’études de l’impact des vaccins sur les organismes récepteurs, craignait des risques génétiques ; des Dr K. Pentittem (Université d’Helsinki), H. Ginsburg (Université de Columbia), R.A. Aldrich (Université du Colorado), et J. Salk pour lesquels les vaccins à virus vivants présentent plus de risques que l’absence de vaccin ; de Wendell et Winters, virologues de l’université du Texas, qui évoquent le rôle possible des virus vaccinaux dans la genèse du cancer, de l’arthrite et de la sclérose en plaques ; du Dr R. Bell, pour qui « il y a une corrélation directe entre les vaccinations et le taux croissant des cancers chez les enfants en dessous de 15 ans » ; du Dr M. Guinan du CDC pour qui « il est dangereux d’injecter des virus vivants » ; du Dr S.L. Katz, de l’université d’Harvard, du Dr J.G Stevens, microbiologiste et immunologiste de l’université de Californie, pour qui les vaccins à virus atténués peuvent se recombiner et provoquer des maladies, ce qui été prouvé expérimentalement…. (cf., R. Delong, Live viral vaccines, 1996). D’autre part, M. Eihl, J. Mannhalter, G. Zlabinger de l’Université de Vienne ont découvert, qu’au lieu de renforcer nos défenses, les vaccins font apparaître un affaiblissement immunitaire comparable à celui observé au cours du sida et amoindrissent ainsi notre capital immunologique ! L’anatoxine tétanique a ainsi été injectée à 11 sujets en bonne santé, âgés de 25 à 50 ans, n’appartenant pas à un groupe à risque pour le sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les évaluations moyennes des rapports T4/T8 étaient significativement plus bas chez l’ensemble des sujets qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de sida (Cf. New England Journal of Medecine, vol 310, 1984). Les notices de tous les fabricants de vaccins contre la grippe parues dans le Vidal font par ailleurs état, en dehors de toute notion de sida, de « réponses faussement positives aux épreuves sérologiques utilisant la méthode Elisa pour détecter les anticorps contre HIV1, hépatite C, et surtout HTLV1. Infirmées par le Western Blot, ces réactions transitoires faussement positives seraient dues à la réponse IgM induite par la vaccination ». Des cas secondaires voire des épidémies dans les populations vaccinées. Après de nombreux cas d’épidémies de poliomyélites survenues, depuis de nombreuses années, lors de campagnes de vaccination contre cette maladie (cf., Darell Salk, université de Washington, pour qui la plupart des cas de polio qui se produisent actuellement sont provoqués par le vaccin à virus vivant, cité par R. Delong), Roland Sutter, directeur du service d’éradication de la polio au CDC d’Atlanta a récemment reconnu après la survenue de nombreux cas de polio au cours d’une campagne de rappel de vaccination aux Caraïbes et liés, selon son équipe à une mutation secondaire de l’un des virus du vaccin : « Il est clair que la sonnette d’alarme a été tirée. Notre problème est de savoir si l’heure est grave ou non. » (Courrier international, n° 536 du 8 février 2001). Curieusement, ces propos inquiétants n’ont jamais été repris par les revues médicales françaises, et personne n’a entendu la sonnette d’alarme. Une exception cependant : le Dr Mohamed Kheir Taha, directeur adjoint du centre de référence du méningocoque à l’Institut Pasteur qui avouait récemment dans UFC Que Choisir de février 2003: « Dans l’évolution des infections à méningocoques, il y a un aspect qui nous fait très peur, ce sont les changements dans les types de bactéries apparus à l’occasion des campagnes de vaccination massives. Ainsi, en Tchéquie, après les campagnes de 1993, on a vu arriver des infections à méningocoque B, certains C ayant commuté vers les B. Ce phénomène de commutation dans lequel la bactérie se détruit et échange son bagage génétique uploads/Sante/ lettre-type-2-refus-de-vaccinations.pdf

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  • Publié le Dec 16, 2022
  • Catégorie Health / Santé
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