PR MONTAGNIER DECOUVERTE C'EST LONG MAIS ESSENTIEL LA MEDECINE DU FUTUR EST DEJ
PR MONTAGNIER DECOUVERTE C'EST LONG MAIS ESSENTIEL LA MEDECINE DU FUTUR EST DEJA LÀ... Ce sont ses derniers travaux sur l’eau et la médecine magnétique qui sont les plus excitants et les plus révolutionnaires Cher(e) ami(e) de la Santé, J’étais hier au Père-Lachaise pour rendre un ultime hommage au Pr Luc Montagnier Ces dernières années, j’ai eu le privilège d’avoir des conversations régulières avec ce « grand Monsieur ». Il avait beau être Prix Nobel, c’était un homme simple : nos rendez-vous avaient lieu dans un petit bistrot sans prétention près de l’École militaire, en bas de chez lui. Jusqu’à son dernier souffle, il a éclairé le monde de son intelligence et de son humanité. Et tant pis pour tous les ignorants qui l’ont critiqué, sans avoir le centième de son talent. Comme l’a si bien dit le Pr Raoult : « Dans deux siècles, on parlera toujours de Luc Montagnier et tous les imbéciles qui ont dit du mal de lui auront disparu dans les poussières de l’histoire. C’est un très grand Monsieur » Pour le Pr Raoult, c’est d’abord pour sa découverte du virus du sida qu’il restera à la postérité. Personnellement, je pense que ce sont ses derniers travaux sur la « mémoire de l’eau » et la médecine du futur qui sont les plus révolutionnaires. Le Pr Montagnier le disait d’ailleurs lui-même, en 2014 : « C’est maintenant que je trouve les phénomènes les plus importants. Trouver un virus, c’est bien, mais trouver les mécanismes de la vie, c’est encore plus important »[1] Et en effet : ce sur quoi il travaillait, c’était la médecine du futur. En mémoire de ce grand homme, j’ai à cœur aujourd’hui de vous en parler en détail – cette lettre sera donc un peu longue, mais je crois qu’elle en vaut la peine : Après l’heure de gloire des antibiotiques, le déclin de la médecine chimique La médecine du 20ème siècle est issue de la révolution pharmacologique. Après la découverte enthousiasmante des antibiotiques, dans les années 1930, on a découvert des milliers de molécules qui soignent. Dans les années 1950-1960, ce fut l’heure de gloire de la chimie de synthèse. Mais cela n’a pas duré. Dès les années 1980, on ne trouvait déjà quasiment plus de nouvelles molécules intéressantes. Et face aux maladies chroniques, la chimie est restée globalement impuissante. Alzheimer, obésité, maladies cardiovasculaires, arthrose… Les médicaments ne guérissent aucune de ces maladies ; dans le meilleur des cas, ils stabilisent les symptômes... au prix de sérieux effets indésirables quand ils sont pris sur longue période. C’est pourquoi les médecins éclairés s’appuient aussi sur des molécules naturelles qui agissent en profondeur, et sans effet indésirable : vitamine D, oméga-3, probiotiques, etc. Mais dans les deux cas, le principe médical est le même : on compte sur une molécule pour soigner. Or ce principe fondamental est en passe d’être dépassé par une nouvelle médecine. Il s’agit de la médecine par les ondes, et c’est sur cela que travaillait le Pr Montagnier. Aux origines de la médecine « énergétique » Écartons d’abord un malentendu : la médecine des ondes n’a rien d’ésotérique. Comme l’explique très bien James Oschman dans Médecine énergétique, les bases scientifiques : « En quelques dizaines d’années, les scientifiques sont passés de la conviction que les champs énergétiques à l’intérieur et autour du corps étaient de la pure science-fiction à l’absolue certitude qu’ils existent. » Eh oui, il ne fait désormais aucun doute que le corps humain est animé par des phénomènes « électromagnétiques » - et pas seulement par des réactions chimiques. On sait depuis longtemps que le cœur produit de l’électricité, que l’on mesure aujourd’hui avec l’électrocardiogramme (et qu’est-ce qu’un « pacemaker », sinon un objet qui envoie un courant électrique). Or qui dit électricité, dit magnétisme ! C’est une loi physique de base : tout courant électrique produit un champ magnétique. Faraday l’a découvert au début du 19ème siècle, lorsqu’il s’est aperçu qu’un courant électrique faisait tourner l’aiguille de sa boussole ! Donc, chaque battement du cœur produit aussi un champ électromagnétique… qui se propage, à la vitesse de la lumière, en dehors même du corps – on a réussi en à mesurer l’activité à 45 centimètres du cœur. De même, on sait désormais qu’il existe une activité électrique dans le cerveau, mesurée par l’électroencéphalogramme… et qui produit elle-même un champ magnétique très faible. Tout cela n’est pas controversé. C’est admis par tout le monde. La seule question qui fait débat est la suivante : à quel point ces champs électromagnétiques sont importants pour nos cellules… pour notre santé… et pour le vivant en général ? Pour le Pr Montagnier, leur importance est capitale : « Le paradigme que je propose, pas tout seul bien entendu, c’est que les molécules biologiques non seulement interagissent par contact, par complémentarité de forme, mais aussi à travers des ondes. On a alors affaire à des signaux électromagnétiques spécifiques, des phénomènes de résonnance, des actions à distance et des interférences ». Ce qu’il propose est une véritable révolution dans la biologie. La plupart des médecins et biologistes ne croient qu’aux effets chimiques des molécules biologiques. Mais, comme le Pr Montagnier, cela fait des années que je suis convaincu que ce dogme est dépassé. En effet, il est très probable que les champs électromagnétiques sont l’autre moyen de communication interne de l’organisme. Et que les cellules de notre corps communiquent entre elles sous la forme de fréquences électromagnétiques. Le Pr Montagnier a même détecté des ondes de très basse fréquence chez les virus et les bactéries. Selon lui, « les germes bactériens et les virus utilisent les ondes dans leur ADN pour amplifier leur effet ». Et pour le Pr Montagnier, ces « informations » seraient transmises par l’eau organisée, qui mémorise les structures des molécules, via des signaux électromagnétiques. Voilà encore une idée révolutionnaire, qui défrise la communauté scientifique. Dans cette optique, les molécules et la chimie ne seraient qu’une partie du fonctionnement du vivant. Chaque cellule, chaque organe vibrerait à une certaine fréquence, ce qui lui permettrait d’entrer en communication et résonnance avec les autres, comme un orchestre symphonique. Dès lors, la santé correspondrait à un concert vibratoire parfaitement harmonieux, aux bonnes fréquences électromagnétiques… …Et la maladie serait en partie causée par les fausses notes, les blocages qui empêchent la communication et les mécanismes d’auto-réparation et d’auto-guérison de notre corps. Est-ce farfelu ? Anti-scientifique ? Pas du tout ! La « médecine des aimants » (magnétique) commence à être validée en Occident ! D’abord, ce n’est sans doute pas un hasard si cette vision du vivant rejoint celle des plus grandes médecines traditionnelles. Il y a des milliers d’années, les Chinois ont placé les flux d’énergie invisibles au cœur de leur médecine – et cette médecine traditionnelle (MTC), reconnue par l’Organisation mondiale de la Santé, connaît un regain de succès et de popularité un peu partout dans le monde. Les grands médecins comme Hippocrate, puis Paracelse étaient persuadés de l’importance des « canaux d’énergie » pour optimiser la santé. Et puis, on l’a oublié, au début du 20ème siècle, la médecine électromagnétique a connu son heure de gloire en Occident. Des milliers de thérapeutes utilisaient toutes sortes de « machines » étonnantes pour guérir. Parmi eux, il y avait des génies précurseurs, comme Nicolas Tesla ou le français George Lakhovsky, qui étaient persuadés que le corps humain était animé de signaux électromagnétiques. Malheureusement, les thérapies « hors norme » à base d’ondes électromagnétiques ont été oubliées, balayées avec la révolution pharmacologique (les « méchants complotistes » soupçonnent l’industrie pharmaceutique d’avoir cherché à éliminer la concurrence de cette médecine « gratuite »). Il n’y a qu’en URSS que les recherches scientifiques ont continué. A tel point que les Soviétiques ont utilisé très tôt les champs électromagnétiques pulsés pour soigner leurs cosmonautes et réduire leur perte de densité osseuse, causée en partie par l’absence de champ magnétique terrestre[2]. Puis, après la chute du mur de Berlin en 1989, les « ondes qui soignent » ont commencé à se diffuser en Occident. De nombreux traitements, très officiels, sont désormais basés sur des ondes électromagnétiques. Si vous ne me croyez pas, regardez ce grand titre de France Info, datant de 2015 : Dans cet article, le Dr Jean-Daniel Flaysakier du CHU de Nantes explique que « le principe est centenaire », mais que « les recherches récentes ont montré que ça fonctionnait à peu près correctement dans la dépression profonde et les douleurs chroniques »[3]. Selon ce médecin, ces thérapies apporteraient même d’immenses promesses pour de nombreuses maladies : « Pour la rééducation des accidents vasculaires-cérébraux (AVC), pour les acouphènes, et aussi dans les troubles de la marche et des mouvements anormaux de la maladie de Parkinson »[4] Aux États-Unis, c’est le Dr Oz, professeur de médecine et chirurgien du cœur à l’Université de Colombia, qui s’est enflammé pour cette « nouvelle médecine », en 2014 : « Aujourd’hui, nous changeons la pratique de la médecine. Il y a un remède révolutionnaire contre uploads/Sante/ pr-montagnier-decouverte.pdf
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- Publié le Oct 15, 2021
- Catégorie Health / Santé
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