TG4 Pouseler Puntin Dopichay Tural COMMENTAIRE DE TEXTE : INTRODUCTION DU COMME

TG4 Pouseler Puntin Dopichay Tural COMMENTAIRE DE TEXTE : INTRODUCTION DU COMMENTAIRE : comporte 3 pts 2. La problématique = qu’elle est la thèse générale du texte 3. Le plan général du texte Explication du texte : Exemple = Dans un premier temps (l.1-2) expose sa thèse (fonction logique) qui affirme que (…=idée(s)) CONCLUSION Intérêt général du texte : en quoi cette question est encore actuelle ajd ( on remarque que lors de la supression de la culture pendant la 1er confinement, les francais ont pété un cable et ont reclamé de la liberté) --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- PROF : est ce que sait vrai qu’il n’y a aucune restriction pulsionnel. La culture est fondée sur la restriction des instinct. On réprime nos instinct car on est en société et que nous ne sommes pas réduit à l'état de nature. Si il est à l'état animal il est à l'instinct sexuel. Il y a des comportements immuables. Il y a plusieurs moyens de remplir son désir sexuel en temps qu’humain, l’instinct est moins strict. plus de latitude cf Kant texte de l'insociable sociabilité 1er partie : pejoratif sinon maso thèse adverse ; quelle ingratitude que d’aspirer …. === la culture c la répression des instinct ca nous limite = donc retourner a l’etat de nature = thèse de l’auteur avec la phrase “c’est en effet la tache principale de la culture….. la culture nous limite ce qui l'amène à réfléchir sur.. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Intro : Ce texte est tiré de “L'avenir d’une illusion” de Freud publié en 1927. Il traite du principe créateur de la nature ainsi que de sa suppression par la culture tout en affirmant que la culture permet à l’homme de canaliser ses pulsions. Par conséquent, celle-ci ne doit pas être considérée comme un adversaire mais plutôt comme un atout. Il est question dans ce texte, de s’interroger sur la préservation de la civilisation grâce à la culture, sans oublier que la nature peut reprendre ses droits à tout moment. L’homme ne doit pas prendre la nature pour acquise. En quoi est-il donc nécessaire pour les hommes d’assurer l’existence de la culture ? Le texte est organisé en deux temps. En premier lieu, Freud affirme que la culture est fondée sur la répression des instincts, nécessaire à l'homme en société, puis dans un second temps, il expose que l'anthropocentrisme ne doit pas s’appliquer envers la nature, même si elle sous-entend le contraire, elle reste indéniablement supérieur à l’homme. Dès les premières lignes, l’auteur nous expose une thèse adverse qu’il ne partage pas et lui paraît même impensable. Pour Freud, l'état de culture est préférable à l'état de nature, il semble bien difficile, en effet, de mesurer tout ce que nous devons à la culture. En effet, celle-ci concerne la "suppression de la culture” afin de laisser libre cours à notre état de nature. Freud, dès lignes 1 à 3, exprime son avis sur l’état de nature qui, pour lui, se révèle être “lourd à supporter” et explique son raisonnement dans un exemple où la cause de celle-ci est l’absence de restriction pulsionnelle. Mais y a t-il réellement aucune restriction pulsionnelle ? On ne pense pas qu’on puisse l’assurer mais nous pouvons en effet omettre que si nous régissions purement à notre instinct les règles qu’on lui applique sont beaucoup plus laxistes que celles proposées dans un système aspirant à la culture et donc à la vie en société. Même si la culture semble en effet avoir pour but d’éloigner l’homme du monde naturel, on peut aussi poser des limites à cela car l’homme reste tout de même un être issu de la nature et vivant en son sein. Pour Freud, la nature reste au-dessus de l’homme, elle nous limite. A la ligne 4, il dit : “elle à sa manière particulièrement efficace de nous limiter”, en effet, celle-ci nous bloque parfois d’un point de vue physique pour faire certaines actions mais dans le cas précis on ne se trompe pas en disant que Freud évoque la mort. Pour lui, elle “nous met à mort froidement, cruellement, sans ménagement aucun” (ligne 5). Il insiste fortement sur la façon dont la mort agit en faisant comprendre que celle-ci ne dispose d’aucun scrupule concernant les personnes qu’elle vient prendre. C’est vrai que la mort frappe l’homme de plein fouet même s' il pense être invincible. La nature reprend ses droits sur l’homme notamment grâce à sa capacité de prendre la vie, ce qui limite fortement l’homme. Pourtant grâce à la culture nous sommes en mesure de prévenir et retarder cette échéance. Par exemple, avec la science et les connaissances en médecine, nous sommes en quelque sorte capables de retarder la mort, ce qui ne serait pas possible à l’état de nature. Il évoque à partir de “C’est précisément” à la ligne 6 jusqu’à la ligne 8 la réfutation de la thèse adverse et continue directement avec “c’est en effet la tâche principale” ligne 8 à 10 en exposant sa propre thèse selon laquelle la culture a été créée par l’homme afin de nous protéger des dangers de la nature, plus précisément de “nous défendre contre la nature”. Freud ne voit pas la nature ou du moins l’état de nature de l’homme comme un atout mais plutôt quelque chose qui porte préjudice à la force de l’homme, à la culture et en somme à la société. La culture permet aussi de combiner nos vies, elle permet de rassembler les hommes. Mais se protéger de la nature ne veut pas dire que que l'on doit se penser supérieur à elle ni qu’on l’a réduit au néant. C’est pour cela que dans un deuxième paragraphe, Freud expose la supériorité de la nature face à la culture. En effet, comme Freud explique des lignes 10 à 12, bien que la culture soit la norme d’une bonne condition pour vivre une société, la nature, qu’elle soit humaine ou physique, reprend toujours le dessus sur les limites qu’impose la culture. C’est ce qu'évoque le poète latin Horace à l’origine “ naturam expelles furca, tamen usque recurret” soit “ chasses le naturel à coup de fourche, il reviendra en courant” que l’on cite aujourd’hui “ chasse le naturel, il revient au galop”. L’auteur exprime, dans les lignes 12 à 14 du texte, qu’il est très rare qu’un être humain ne puisse penser que la nature se plierait à lui et qu’elle lui sera un jour entièrement “assujettie”, c'est-à-dire soumise. Freud montre à partir de la fin de la ligne 14 jusqu’à la ligne 19 que la nature reprend ses droits sur l’être humain en provoquant des catastrophes de type naturelles tel que les séismes, tsunamis, tempêtes qu’il laisse sous entendre étant donné qu’il ne donne pas de nom précis au phénomène mais simplement une description des actions “la terre tremble, se déchire…”. Également pendant cette explication il dit que si la nature reprend ses droits elle supprimera tout ce que la culture des hommes a pu créer pour cela il emploie les termes “ensevelit tout ce qui est humain et oeuvre de l’homme”. Cela laisse comprendre que la nature est bien plus forte que nous et que notre culture n’est rien comparé à elle. Encore plus lorsqu’il continue ses explications et qu’il vient à parler d'éventuelles épidémies voire même la mort… Seule la nature maîtrise la mort de l’homme. La culture a permis à celui-ci de trouver des vaccins, des remèdes afin de prolonger la durée de vie d’un être vivant mais la mort reste toujours une inconnue qu’aucun être humain ne peut contrôler et ne le pourra certainement jamais. Enfin, à la fin du paragraphe, Freud expose la nature comme un élément dépourvu de sentiments, elle peut être “ grandiose, inexorable" mais en même temps “cruelle”. Elle nous renvoie en face nos faiblesses ainsi que notre détresse que nous cachons derrière la culture. L’être humain se pense capable de contrôler la nature car il a développé la culture. Cependant la nature reprend toujours le dessus et le rappelle constamment à l’être humain. La culture, au sens large, nous a permis de nous défendre contre la nature, comme lorsque la découverte de la pénicilline par Fleming (une démarche culturelle) a permis d'éradiquer certaines maladies et d'en guérir d'autres, la création des barrages a permis de réguler les besoins en eau. La nature est toujours là pour nous rappeler que notre culture est toujours imparfaite avec des déficiences et que la nature nous rappellera à l'ordre. L’homme se cache derrière la société et un principe de collectivité pour échapper à la nature de son être mais en même temps à la nature physique à laquelle il ne résisterait pas seul Ainsi, selon Freud, la culture n’est pas négative pour l’homme ni pour la nature, celles-ci se doivent d’être complémentaires et non vouloir se dominer mutuellement. La culture reste indispensable pour le bon fonctionnement du quotidien en société. Pourtant la nature reste la plus forte, comme on dit “la nature est bien faite” ce qui est indéniable. Presque 100 ans après l’écrit de uploads/Societe et culture/ commentaire-philo 1 .pdf

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