Le general n x27 est pas l x27 universel leibniz

Commentaire Le général n'est pas l'universel Leibniz L'extrait que nous allons étudier provient de l ? ?uvre Les nouveaux essais sur l'entendement humain écrit par Leibniz en en réponse à L'essai sur l'entendement humain de Locke Ainsi Leibniz s'oppose à l'empirisme et à la théorie de la Tabula Rasa de Locke dans ce texte Pour lui la connaissance sensible et les expériences ne permettent pas d'énoncer une vérité universelle il remet en cause le principe d'induction Cependant il n'exclut pas l'utilité des sens qui même s'ils ne mènent pas seuls à la connaissance absolue servent à l'appréhender Dans un premier temps nous allons donc étudier sa critique de l'induction ensuite nous nous intéresserons aux exemples avec lesquels il illustre ses propos et en ?n à ce sur quoi doivent alors vraiment se fonder les vérités universelles De cette façon nous travaillerons sur la problématique posée par le texte qui est celle de la véritable place des sens et de l'expérience dans l'accès à la vérité Leibniz pour commencer nous soumet un questionnement sur la base de la vérité celle-ci se constitue-t-elle du principe de l'induction à savoir le passage du cas général au cas universel qui implique donc l'utilisation des sens et de l'expérience ou alors y a -t-il un autre socle à la vérité Il est important d'insister sur le fait que Leibniz pose bien une hypothèse et n'a ?rme rien à ce stade là en ce qui concerne la pertinence de prendre l'expérience comme fondement en e ?et cela est visible gr? ce aux si ? si toutes les vérités dépendent de l'expérience ? ou s'il y en a ? Ensuite il explique que si nous sommes à même de prévoir certains évènements sans les avoir jamais expérimentés c'est que cela demande une démarche personnelle Il est donc capital de s'intéresser à cet investissement qu'il appelle quelque chose de notre part ? cela se réfère probablement à une initiative intellectuelle qui se base sur la raison le bon sens et la véritable ré exion Ainsi Leibniz commence à présenter le fameux autre fondement ? éventuel de la vérité dont il parlait au début et qui ne se base pas sur l'expérience Il encha? ne ensuite en réfutant totalement la première hypothèse posée qui stipule que les sens sont une des voies qui mènent à la connaissance universelle en e ?et ils ne sont pas une condition su ?sante pour atteindre la vérité même s'ils sont souvent nécessaires pour constater lesdites vérités L ? auteur les met donc en cause Pour lui nos cinq sens sont seulement des outils qui nous permettent d ? appréhender le monde dans lequel nous vivons Gr? ce à eux nous tirons des informations de ce qui nous entoure mais ces informations ne sont que le résultat d ? expériences uniques et portant sur des points précis sur lesquelles nous basons une croyance qui à tout instant pourrait s ? avérer incorrecte C'est donc en ce point là que réside la faiblesse de ces

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