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The Library SCHOOL OF THEOLOGY AT CLAREMONT WEST FOOTHILL AT COLLEGE AVENUE CLAREMONT, CALIFORNIA : , * # j +” ms « À : % à + 4 re x Ne. ét , tube FT IIS TOIRE pe L ’ÉGLIS E DEPUIS LES ORIGINES JUSQU'A NOS JOURS PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE ete AUGUSTIN FLICHE & VICTOR MARTIN DCR : 7/1 De re | mort de Théodose à l'élection de | Grégoire le Grand par. p. Fe LABRIOLLE G. BARDY Ho BREHIER L Membre de l'Institut ; Membre de l'Institut, Professeur à Ga 1 Professeur à la Sorbonne Faculté des os de Clermo “ G. de PLINVAL Professeur au Lycée Voltaire TE nt HG LE Péerchrin art pierees me 2 À Lt ht 1 ee | LEA 7e PTT ST Er À HISTOIRE DE L'ÉGLISE LEE De la mort de Théodose à l'élection de Grégoire le Grand “ TeIH h Q LC Que Le 4 LI) 3 Leg n ST 2h ÿs er - + 612) iog *« hi) 34 1 o seoboë ISTOIRE pe L'ÉGLISE UIS LES ORIGINES JUSQU'A NOS JOURS PUBLIÉE . SOUS LA DIRECTION DE AUGUSTIN FLICHE & VICTOR MARTIN 2/1 De la mort de Théodose à l'élection de Grégoire le Grand par € LABRIOLLE G. BARDY Louis BREHIER © de listiu Mem EE a à la Sor ir des Lettres de Clermo Le : : G. de PLINVAL Professeur au Lycée Voltaire BLOUD & GAY 1948 ae DA À s@ AMOTE J01 eo" À JOUE : 2A AIO EST EI fl WA A A ZOLUTOIAMO Ad ‘UC JALIA Le VITALM s0cniV 4 HHAODEPE KIT y JL F | | #4 9 s20boûl T 9b Mot ur bash) 3% AAA éivod YŒHAA D. ph Giume Ao nt Mitients où sudinsnt, * EA-promrin sb So ss shot annodre® a $ à JAVY id d Ci Re + MOT sgE on wusteorit 9 (NTUA CS 8re Î # } . eg" ; : Role LOT VS œ 70 , : | s | mn, ee ei Trans ferreg BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE Il est presque impossible, pour la période étudiée dans ce volume, de dresser une bibliographie générale à peu près complète. Ce n’est pas que les documents nous fassent défaut ni que l’on n’ait publié d'importants travaux sur les deux siècles qui vont de la mort de Théodose le Grand à l'élection de saint Grégoire le Grand. Mais la plupart des historiens modernes n’ont traité que l’un ou l’autre des événements de cette époque, si bien que l'indication de leurs travaux est plus naturellement réservée aux bibliogra- phies spéciales qui figurent en tête de chacun des chapitres. Les sources anciennes elles-mêmes nous renseignent d'ordinaire sur certains aspects particuliers des problèmes ou sur certains personnages qui sont l’objet d’une biographie. Bien rares sont les historiens qui, tels Eusèbe de Césarée, Socrate, Sozomène où Théodoret, s'efforcent encore de donner une vue générale des choses. Bien des raisons expliquent d’ailleurs cette situation. D’une part, l'Orient et l'Occident sont séparés d’une manière définitive. Même sous Justinien, l'Empire romain sera très loin de comprendre toutes les provinces qu'il pos- sédait au temps de Théodose et la réunion de l'Italie et de l'Afrique à cet Empire ne sera que passagère. L’Occident mènera donc sa vie propre : plus exactement encore, chacun des royaumes barbares qui se le partageaient aura son organisation, ses difficultés, ses soucis. Seuls les papes garderont le sens de l’unité et affirmeront.leur pouvoir sur l’ensemble de ces royaumes, _endépit des obstacles sans cesse renaissants. D'autre part, l'extrême com- plexité des problèmes, les divisions causées en Orient par les hérésies, le réveil des vieilles nationalités feront se multiplier les récits partiels, au grand détriment dés tableaux d’ensemble. L — SOURCES. — Socrate, Sozomène et Tméoponer nous guident encore pour l’histoire des premières années du v° siècle ; mais leurs récits s'arrêtent vers le début de la controverse nestorienne. Il en va de même de l’arien PHiLosTORGE. Les œuvres de leurs continuateurs ne nous sont parvenues le plus souvent qu’en mauvais état. L'Histoire ecclésiastique de ZAcHARIE DE MYTILÈNE (vie s.) est:perdue dans son texte grec ; elle a été insérée dans les livres ILI- VI d’une chronique syriaque en 12 livres qui s’étend jusqu’à 568-69 (édit. Brooks dans le Corpus Scriptorum christianorum orientalium, Scriptores Syri, t. V et VI, 1919-1924 ; traduction allemande par Anrens et KRuEGER, 4899). Taéonore Le Lecreur est l’auteur d’une. Historia Tripartita, rédigée d’après Socrate, Sozomène et Théodoret. Il a également écrit une Histoire ecclésiastique qui allait de 450 à 527 : nous n’en avons que des fragments. De même, il ne reste que des fragments, d’un Résumé de l'histoire ecclésias- 8 BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE tique (jusqu’à 612), rédigée au début du 1x® siècle, qui contenait de nom- breux extraits de Théodore. Jean d'Éphèse (t vers 586) avait écrit une Histoire ecclésiastique en trois parties, dont la première est perdue, la seconde insérée dans une Chronique de 774-75, due à Denis de Tell-Mabré ou à Josué le Stylite, la troisième conservée dans une traduction syriaque (édit. CURETON, Oxford, 1853). Une nouvelle édition, avec traduction latine, de cette troisième partie va paraître par les soins de E. W. Brooks. Nous avons par contre l’Historia ecclesiastica d'Evacrius (f vers 600) qui comprend six livres et qui couvre la période 431-594 (P. G; LXXXVI, 2, 2405-2906 ; édit. Binez et PARMENTIER, Londres, 1899). Cet ouvrage est composé d’après de bonnes sources et donne d'importants renseignements sur le nestorianisme et le monophysisme. Mais il laisse de côté de nombreux événements. Les chroniqueurs sont assez nombreux: citons Prosper D'AQUITAINE, dont la Chronique va jusqu’à 455 ; l’évêque espagnol Inace (jusqu à 468)4 l'illyrien Marcezunus Comes (de 379 à 534), Cassionore (jusqu’en 519), La Chronique de l'Africain Vicror pe ToNNENA (f après 566) a été conti- nuée par le Goth JEAN, abbé du monastère de Biclar (f après 590), puis par Marius p’Avencues (+ 594). Istnore De SÉviice est l’auteur d’une courte chronique (jusqu’à 615). Ces différents ouvrages sont publiés par Mommsen, Chronica minora, II (Monumenta Germaniae historica. Auctores antiquissimi, t. XI) ; Berlin, 1894. | L'histoire des peuples barbares d'Occident a été l’objet de recherches dont les principales sont celles de Cassionore : De origine actibusque Geta- rum (ouvrage perdu, mais connu par un ouvrage du même titre de Jor- pAnes) ; de Grécorre DE Tours : Historia Francorum (édit. PouparDin, Paris, 1913) ; de Bène ze VÉNÉRASLE : Historia ecclesiastica gentis Anglo- rum (P. L., XCV, 23-290 ; édit. Hozpenr, Leipzig, 1882-1890) ; d’IsIDORE DE Skvice, Historia Gothorum, Vandalorum, Suevorum (P. L., EXXXII, 1057-1082). Pour l'Afrique, il faut signaler l'ouvrage de Vicror DE Vira, Historia persecutionis Africanae provinciae, qui raconte les faits entre 428 a " (P. L., LVIII; édit. Perscmenie, dans le Corpus de Vienne, t. VII, 1). FAR En dehors des ouvrages que nous venons de signaler, on doit encore men- tionner les écrits relatifs à la controverse des Trois-Chapitres, qui éclairent toute l’histoire du nestorianisme : Facunpus D’HERMIANE, Pro defensione trium capitulorum (P. L., LXVII, 527-878); Liserarus, Breviarium causae Nestorianorum et Eutychianorum (P. L., LXVIII, 969-1052) ; Pérace, In defensione trium capitulorum (édit. Devreesse, dans Studt e testi, LVITy Cité du Vatican, 1932). Les sources orientales sont importantes à consulter. Nous n’indiquons ici que les principales : Histoire des patriarches d'Alexandrie, édit. H. Everrs, The history of the patriarchs of the coptic church of Alexandria (Patrologia orientalts, t. I, Paris, 1903) ; Chronique de Seert (édit. Appai Scner, Patro- logia orientalis, t. IV, 3; t. V, 25€ VII, 23 t. XIHI,/4, Paris, 1908-1949) 3 les Plérophories de JEAN De MaroumA, traduites par F.:Nau, dans: Revue BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE g de l'Orient chrétien, t. 111, 1898 ; la Chronique de Micnet LE SYRIEN, édit, Cnasor, Paris, 1899-1924. Plusieurs petites Chroniques syriaques d'importance variée ont été publiées sous le titre de Chronica Minora dans le tome IV du Corpus Scriplorum chris- hanorum orientalium. De très nombreuses monographies renseignent également sur les per- sonnages les plus importants de cette période : Parzapius (?), Dialogus de pita S. Joannis Chrysostomi (édit. Coreman-Norron, Cambridge, 1929); Marc ze Diacre, Vita Porphyrii (édit. Grécorre et Kuecener, Paris, 1930) ; Tuéoponrer, Historia religiosa (recueil de vies de moines, dans P. G., LXXXII, 1283-1496) ; JEAN DÉRuÈSE, Histoire des saints orientaux (édit. E. W. Brooks, dans Patrologia orientalis, t. XVII-XIX, Paris, 1923-1925) ; CYRILLE pe ScyraopoLis, Vies de saint Euthyme, de saint Jean le Silen- taire, de Cyriaque (Ÿ 557), de Théodose (f 529), de Theognius (f 522) ; JEAN Moscaus, Pratum Spirituale (P. G., LXXXVII, 2851-3112) ; les vies ano- nymes de Rabboula d’Edesse, de saint Siméon le Stylite, de Pierre d’Ibérie; Zacmarie DE Myrirène, Vies de Sévère d'Antioche et d’Isaïie; JEAN DE Berr-Aparaonia, Vie de Sévère d’Antioche (Patrologia orientalis, t. II, fasc. 1 et 3). IL est à peine besoin d’ajouter que l’on trouve de nombreux renseigne- ments historiques dans les œuvres des écrivains ecclésiastiques de cette période ; qu’il nous suffise de rappeler les noms de saint Jean Chrysostome, de saint Cyrille d'Alexandrie, de Nestorius, de Théodoret de Cyr, de uploads/s1/ histoire-de-l-x27-eglise-4.pdf

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  • Publié le Jul 03, 2021
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