Exposition internationalle universelle de 1900; Catalogue général officiel Sour

Exposition internationalle universelle de 1900; Catalogue général officiel Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Anonyme. Exposition internationalle universelle de 1900; Catalogue général officiel. 1900. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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En "Vente Partoul k PRIX 1 FR. 50 [ 80 PHOTOGRAPHIES M l 25 PLANS EN COULEURS 9 PUBLIÉ PAR LES CONCESSIONNAIRES DU \TAI.OGUI-: OFFICIEL DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE Le plus Artistique; le plus corrjplet Le plus pratique de tous les GUIDES VOLUME ANNEXE 1 i., 11\VOLUI~IE ANNEXE ~:C::da ta~"o 9 ri e .Vil :>£ a t a 1 o g a e Général Officiel AVIS En celte première édition se sont forcément glissées des erreurs et des omissions. L'édition définitive et ne varielur qu paraîtra le 1" juillet prochain contiendro, elle, toutes choses dûment vérifiées. Dc/ilus elle comprendra, ce qu'on n' po faire encore, une visite générale à travers les pavillons, avec les descriptions et vues photographiques des expositions les plus curieuses, les plus les plus intéressantes. LES Editeurs EXPOSITION INTERNATIONALE UNIVERSELLE DE 1900 MONOGRAPHIES DESGRANDES INDUSTRIES DU MONDE VOLUME ANNEXE DU /"' '€ataloqae/) (- ~) ~GH Général Officiel IMPRIMERIES LEMERCIER PARIS L. DANEL LILLE H. E. LOUBET Président de la République LA PUHTE MU.NLMENTALB AVANT-PROPOS Parmi les difficultés à vaincre, la plus reloutable, peut-ètre, résulte ae ce que les diverses branches de la production artistique, agricole ou industrielle, ont d'innombrables points de contact, s'entrelacent les unes les autres, se mêlent, se confondent. « Ni les classes, ni les groupes même ne sauraient avoir un domaine absolument défini, souvent leurs frontières sont bien incertaines. « Dans maints cas, les objets ont un caractère mixte qui éveille des AVANT -PROPOS LA SALLE DES FETES ^H hésitations sur le choix de la catégorie à laquelle on les devra rattacher, j lis peuvent être appréciés, soit en raison de leurs qualités intrinsèques,' soit en raison des usages dont ils sont susceptibles. j « Le nombre est grand de ceux qui changent de classe ou même de groupe par des élaboralians successives pour ne citer qu'un exemple,^ la laine, produit de l'élevage du mouton, devient la matière première qui sert au tissage des étoffes destinées aux vêtements, aux tentures, aux meubles. Or, le public et le jury éprouvent un égal embarras a prononcer un jugementraisonné quand ils n'ont pas sous les yeux tous les éléments! «l'appréciation. On y pourvoit en se résignant aux doubles emplois, en rapprochant des classes qui sont unies par des liens étroits, en autorisant les jurys à se prêter de mutuels concours. 1 « Nou.- avons pris, comme point de départ de la classification actuelle, la classification de 1889, et nous l'avons remaniée en tenant compte des cri- tiques légitimes dont elle avait été l'objet, ainsi que des enseignements purnis par les expositions étrangères. » J AVANT-PROl'OS Ainsi parle M. Alfred Picard, Commissaire général de l'Exposition de 1900, dans son remarquable rapport. On ne saurait mieux faire pour débuter que de citer ces phrases claires et précises qui nous montrent à la fois et le but de cette manifestation du travail et les difficultés qu'il a fallu vaincre pour la mener à bout, à bonne fin. Mais la France est le pays où l'on ne doute de rien, où la difficulté est 1 une incitation nouvelle, où la bonne volonté comme l'invention sont des vertus inépuisables. C'est pourquoi, à côté ou après tant d'admirables expositions étran-l gères, tant d'efforts couronnés de succès, tentés dans les capitales du monde, les expositions de Paris en général, et celle-ci en particulier, demeurent celles vers qui le monde tend les yeux, celles auxquelles le e: u AVANT-PROPOS monde accourt, en masse, exposants ou visiteurs, foule avide de cette > prenne consécration ou de ce régal inouï, de cet enseignement fécond. est ;i ces heures qui reviennent périodiquement, de longtemps atten- dues, quenotre pays retrouve, indiscutable, toute sa splendeur artistique jL industrielle, et c'est pourquoi toute l'effroyable tension de tous nos | tes vers celte exposition est amplement justifiée par la grandeur du 1 but atteint. Chaque fois, il laut faire plus grand, plus beau; chaque fois, il faut s'élever plus haut, et malgré l'impossibilité apparente de la réussite le résultat est là pour dire que nous avons atteint le maximum inattendu Ce qu'on a tenté aujourd'hui et réalisé autant que faire se peut, c'est le groupement absolu des exposants. On a réparti les groupes et les classes 1 AVANT-PROPOS de façon qu'elles ne soient point isolées des attractions générales ou relé-ï guées en desendroits écartés. Pour une heure d'étude, on aura ta minute de repos; pour une exposition aride, on aura une exhibition reposante. !| Sur toute son étendue, l'Exposition a mêlé l'agréable et l'utile. 1 En 1889, nous avions un clou la Tour EiflVl; en 1900. nous avons! ^f m. uouvard 4 ^P Directeur des services d'Architecture 1 des clous, pour employer le terme usité, mais ils sont plantés adroi-i Htement sur toute la surface, distribués harmonieusement et symétriJ ^quement, si bien que la décoration générale y trouve son compte, bien loin de souffrir d'une attraction unique ou particulièrement puissante. L'Exposition fit naître à peu près entièrement les bâtiments qui abri- tent les produits, elle a en outre créé une voie nouvelle, un pont nou- veau et peut-être changé irrémédiablement l'une des plus anciennes AVANT-PROPOS habitudes de Paris, la promenade classique des Champs-Élysées, Les deux quadrilatères qui forment l'Exposition, celui qui comprend les deux Palais, le pont Alexandre, l'Esplanade des Invalides, et celui du Trocadéro que suivent une série de pavillons dela Salle des Fêtes jusqu'à l'École militaire, sont réunis par les deux rives de la Seine où les pavil- lons pI les palais abondent également, et de la sorte s'est trouvé résolu le problème ardu trouver la place nécessaire, et donner aux emplace- ments occupés l'aspect d'un ensemble, alors qu'ils sont forcément dissé- minés, disjoints par les monuments, les rues, les maisons existant. Parmi tant de choses qu'on ne saurait énumérer sans dépasser le cadre restreint d'un avant-propos, il sied de signaler particulièrement les deux Palais qui ont tant fait parier d'eux depuis le jour où leur AVAiNï-l'KUPOS création fut décidée, le fameux pont dont le Tsar posa la première pierre lors de son inoubliable visite à Paris, et la Porte monumentale destinée à donner accès aux visiteurs innombrables sur lesquels on compte avec juste raison. Les deux l'alais ont été désignés par deux adjectifs qui leur resteront désormais, consacrés qu'ils sont par l'usage. MBSk rnoL L~~reer. M. HENRI CHARDON l'Iiol. l.arirer. *^M ^M Secrétaire général ^J Le Grand Palais a sa façade principale, comme ie Petit, sur l'avenue Nicolas II qui prolonge le pont Alexandre 111. Cette façade est de style romain, et les autres parties semblent inspi- rées par le château de Versailles. L'ensemble est en forme de T, ainsi l'ont disposé les architectes, MM. Deglane, Thomas et Louvet, pour le mieux approprier aux diffe- L'AVENUE NICOLAS II ET LES PALAIS DES KEAUX-ARTS AVANT-PROPOS rents usages en vue desquels il fut érigé exposition d'abord, puis uploads/s3/ catalogue-general-1900.pdf

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