Question vitale sur le compagnonnage et la classe ouvrière (2e édition) par Agr

Question vitale sur le compagnonnage et la classe ouvrière (2e édition) par Agricol Perdiguier, dit [...] Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Perdiguier, Agricol (1805-1875). Question vitale sur le compagnonnage et la classe ouvrière (2e édition) par Agricol Perdiguier, dit Avignonais-la-Vertu,.... 1863. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisation@bnf.fr. QUESTION VITALE SUR LE COMPAGNONNAGE ET LA CLASSE OUVRIËRE. ifmprimêparChnr!cs.No))tut,ruc!SoHfGf.t,tS. QUESTION VITALE SU!t LE COMPAGNONNAGE ET LA CLASSE OUVR!ËRE PAR AGRICOL PERDIGU1ËR DIT AviGN('NNA!6 H VERTU COMPAGNON MENUISIER DU DEVOIR DE LIBERTÉ ANCIEN ]iErBESENTANT DU rEUPLE. U~UXIÈME ÉDITtON .y' Ü Prix 1 fr. /c' v~ ~~0~~ PARIS CHEZ L'AUtEUR, RUE TRAVERS)ËRE-S.-ANTOtNË, 38. ET CHEZ DENTU, LIURA)REj PALAIS-ROYAL, 13-i7. 1863 PREFACE DE LA SECONDE ÉDITION. La Question vitale sur le compagnonnage et la classe ouvrière est celui de tous mes écrits que j'ai livré au public avec le plus d'hésitation, e[ même, le dirai-je? avec le plus de crainte. Je fais entendre !à aux travail- leurs, mes frères, de pénibles vérités, pour leur bien sans doute, et néanmoins je redoutais d'être mai com- pris, de les blesser, et de m'attirer leur colère pour prix de mon ardeur à tes servir. Quoi qu'il en dût être, il fallait oser le salut de ceux que nous aimons avant tout, et coûte que coûte. Je m'en suis bien trouvé, le cœur n'a pas méconnu le langage du cœur, et ce livre a été le nueux accueilli de tous ceux sortis de ma plume jusqu'à ce jour. J'ai reçu bien des lettres à son sujet; pas une seule dont je puisse me plaindre 1 Donnons, pour toute préface, les brèves citations que voici « Je crois que ce travail fera beaucoup de bien; il fautqus la classe ouvrière soit bien ingrate si elle ne vous est pae reconnaissante. Mais justice vous sera rendue, et vous res- terez dans nos cœurs à jamais, surtout chez les vrais com- pagnons, chez ceux qui comprennent la base du compagnon- nage, et quel est son vrai but. LonvAncouB, dit ~McM- me la Sagesse, compagnon sabotier du Devoir. Bordeaux, le 23 septembre J8M. » « J'ai été profondément ému à la lecture de ce volume c'est un trésor pour le bien qu'il renferme. Les expressions me manquentpour t'adresser les félicitationsque tu mérites. II n'appartient qu'à toi seul de traiter cette question avec autant de cœur et d'abnégation. Je laisse à d'autres le pri- vilége des éloges si bien mérités. Ca. MoMER, ébéniste. Avignon, i6 juillet i86<.)) » « J'ai lu la Question t~a~e ;je vous trouve admirable à tous les points de vue. Je suis parfaitement de votre avis, surtout dans la réforme. Seulement je crains beaucoup que quel- ques perruques grises de corporations différentes ne soient d'avis contraire et n'entravent votre œuvre. Je crois cepen- dant que nous arriverons. CKABBEM fils atné, dit Béda- rieux ~M!~M~menuisier.Bédarieux,leI2juialS62. · PRÉFACE. a. « J'ai re(;u et la la Question vitale. Elle aura, je crois, le mérite de vaincre l'indifférence. J'ai lu quelques passages à des compagnons que l'on pourrait appeler les plus rétro- grades. Us n'ont pas pu s'empêcher de dire c'est bien. Pour moi je cro!s que tous les hommes qui désirent voir ta classe ouvrière marcher dans la bonne voie vous doivent des élo- ges et dela reconnaissance.- MAiLMs, dit Ga~co?: ~Mt du y/'< compagnon menuisier du Devoir de Liberté. Lyon, le 15 juillet tMt.. » « Cher frère, les. compagnons boulangers du Devoir vien- nent vous accuser réception de votre ouvrage (Question p: tale sur le compagnonnage et la classe OMHr:e!'e). Quant à nous, cher La-Vertu, après vous avoir lu et relu, venons vous dire que votre œuvrent bien, et qu'elle ne peut pro- duire que d'heureux résultais; elle est supérieure, à notre point de vue, à tout ce que votre plume a produit jusqu'ici traitant du compagnonnage. « Oui, l'ouvrier a besoin de se relever de cet état d'abais- sement qui l'énervé, et le met au-dessous de sa dignité; et, pour sortir de cet abaissement momentané, nous aimons a croire ( sans quoi il y aurait à douter de l'humanité que chaque ouvrier, indistinctement, tira votre livre, afin de se pénétrer des enseignements de la saine morale qu'il renfer- me, et qui, mis en pratique, peuvent le faire sortir de la torpeur où il est plongé et le pousser au bien. « Le principe du compagnonnage pratiqué largement, comme vous le faites judicieusement sentir, peut régénérer la classe ouvrière. <[Cher pays, veuillez recevoir nos félicitations bien sin- cères sur ce travail, et croyez à notre communauté de sen- timent. Aussi vous disons-nous Ne vous découragez pas marchez, continuez; nous sommes avec vous. (( Pour la société des compagnons boulangers du Devoir de la ville de Paris. » (Suivent ~e3 onze signatures du Premier en ville, du Second en ville, du Rouleur, du Secrétaire et des Membres de la commission formant le conseil.) « J'invite les compagnons à suivre vos principes. Tant que vous suivrez la même route vous aurez sans cesse en moi un ami et un chaud partisan. PLANME, dit Viennois l'Ami des Arts, menuisier. Vienne, le 50 juin 1861. » « J'ai reçu et lu avec avidité votre Question vitale. Je vous félicite de la rare énergie avec laquelle vous combattez l'indifférence et l'intempérance malheureusement trop gé- nérales des ouvriers. MoBBAu, serrurier, sociétaire de l'Union. –Ch&teaurenauit, le 10 juin )861. » PRÉFACE, s « J'ai lu votre livre avec beaucoup d'attention et un vif intérêt. Je suis heureux une fois de plus et vous remercie pour le zèle et tes bonnes paroles que vous avez pour sau- ver le compagnonnage en général. Il s'en allait temps. Je puis vous manifester tout le p)aMr que j'ai éprouvé en vous lisant, surtout le chapitre V, critique et morale. Vous avez parlé avec une ardeur, avec une connaissance étendue de la.classe ouvrière qui vous fait honneur. Le tout c'est bien je me plais à vous lire, et ne me lasse pas de vous lire souvent. EspAGMT, dit Bien-Aimé le Bordelais, C. cloutier du Devoir. Bordeaux, le 7 juin <86i. » « L'ouvrage est parfait et je pense qu'il fera son effet sur les aveugles et les négligents. Ceux qui se plaindraient du chapitre V ne seraient pas de mon avis, car on y trouve le vrai principe de la fraternité en un mot, c'est la morale que tous les ouvriers devraient professer.–CoEMMCtEE, dit .Mt-C'ŒMr de .D~My.C. tailleur de pierre de l'Union-En- trepreneur. Béziers, le M juin 18Gt. B a Après avoir lu et relu votre livre intitulé Question :): tale ~M* compagnonnage et la classe ouvrière, je viens vous féliciter sur cet ouvrage qui, j'en ai l'espoir, sera approuvé par tous les corps d'état en général, en exceptant, à la ri- gueur, les hommes de mauvaise volonté, ou trop faibtes de cerveau. Votre œuvre est sublime et ne laisse rien à dé- sirer selon mes vues; mais je crains bien une chose, c'est que le progrès n'arrive pas aussi vite et aussi grand que vous le uploads/S4/ question-vitale-sur-le.pdf

  • 58
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager
  • Détails
  • Publié le Jul 18, 2021
  • Catégorie Law / Droit
  • Langue French
  • Taille du fichier 5.8280MB