L'occultisme et le spiritualisme : exposé des théories philosophiques et des ad
L'occultisme et le spiritualisme : exposé des théories philosophiques et des adaptations de l'occultisme / par G. [...] Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Encausse, Gérard (1865-1916). L'occultisme et le spiritualisme : exposé des théories philosophiques et des adaptations de l'occultisme / par G. Encausse (Papus),.... 1902. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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ENCAUSSE ( PAPUS ) Docteur en Médecine de la Faculté de Paris Directeur de l'École supérieure libre des Sciences Hernu'-iiiiiiCA IWHIS FEUX AI.CAN, ÉDITEUR ANCIENNK l.imiAIItli: C.EHMKK BAII.UKIIK KT O IO8, IIDUI.KVMII) S.MX'I'-CKHMMX, loH 1902 Tous droite réservés. ~A~'t~~J~OP~ '?">À4tet»jP â<s l'Esquisse dàToûf iaitiiipfd,lï,"i"><l: • Pe~m~t~pQ~tefee~o~SstMt~A~ losophiquecomposé et misdu point dansle merveilleux ej~~<s~'o~e~a~h )^queg"fêifc,fi^^s>ui^ssenl~$ni&i hauteé causeries < attsç ardents'chevcdfiera de làiitôîm ldà"€$adif* Ceux • ^qutjshîMiflsseHi e(-^àëêe^knî-'pés'^S%bamMatùrtsi'- r ceuocqui se dévouentau Grand Œuvre spirituel, savent nt " pe|dij»ia%NS envousundeleursen fants et moi-même,' r\ ,"• '~péùt>rèlhty^ear^iurf,là%ra^iï^ suis lieÉtpwx: 'sènt^ïa sinuliiude de vos enseignementa et de ceux de mesmaîtres, pour la plus grande gloire .>! ^î«C^««/^CT«f»i^aî'V'rrrs1'v,S' t'ft;1' 5 »?, ''M^é^i%ï^^s^W-:yi^s^^ ': science ell^inême les réponses aux preinières objec-" _e~.i~j~ï~'A~ë-etN '~M.,BMate!~t.p~ ~(~B-i~N~Nevoifeai-:y. 'a~~iee~t~~i~ C~N~~as 'MUM~ei'E~ëen8'à~ns?' ,MNal&tee~èn~o& en sor, seiettct~~ite-m~me l@s z~)masies~aNj&p)'~tères ot~e~ ~~ns'sp~v~ ~~s't~t~i~~contr~ q~t eon~H~e~i~ phHp~oj~MB sp!ritmd~ëciatBitpted~ La yoïe qui nousa conduit à nos conceptionsactuelles ." wii«g'niant:|vHoMiiaft l'IJaivétéét' Dî|u| «%J''loind'ê.tre; nouvellepuisqu'elle se rattache à ces idées enseignées dans lestemples d'Egyptedès 2600avant Jéâns-Christ et qui onteonstituë plus tard le Platonismeet, en grande ,~r~M~~a~nec;e~<J~:j~y~ ~i i$`xv'ây'h.° `;i% .d, E'p = .f N- r "?Wf,¡1FU~,E :èT~'L,QU~I"l$M£ çy2. ~.7t;j~ +, g -q~"l'J> t;. "à'cl'm'tÚi~'Qn, ":18' ~l,êpa~c6;,àÍlX:'f~¥~j;¡- ~i~âft~a~ns~'Ié.&ë'~ *>• f|^nflflJ5peefll«jî|SttB/1ônâîémanée^4e l'iiominBrôtappelîSf* ,ptj''B~d!M6tH~&s~cÏ~ch~nr~ 'itfoi on < à ~dejDaddel' 4ütre 0 se 4i~, ~~t~~t~M~~iMM M !es6YoeKtloNSiJ~~ < ,^t f J|?jhallweiàa^<m# 'Air caeheiit' un ^pi¥ maf dissbr' #> J J-Béjaûppup de, ces /pluàSeheurs se sont adressés à cette f£> "•' i^ti^fpMog^fe, Pit^awshes^es i --Çni|i^teù^;r 'J!I'j\J~~e.es, :~I)osüque!i ef d~s ItÏHt~&és ,j;f-tUo:msi6~s,A'\éhi1lÜ$tes et des BOS6~Cl'(jjXi" qùi.jàmais:, r' 'm~:i~é'*d~seignement8'à.trave~.&s~ct~ 'rj'- » et qui explique ^ujâu^ f ;C ;i|i^B\JEi,jdé^*AypiBOserpK>ïonde qu'elle Expliquait |; • .lll^^é'-iaâ^îfehal^dfnastift égyptienne ^léf < rap^ j- . ports du Ma et du Mou, du corps physique et du corps }*••. -'• 5 lumineux dansleuraetion sur le Baï, sur rEsprit in tel- ' 'l ligeritv Cette philosophi* est connue actuellement sousi j; 'i^fisinejàe'esrga.rB'anièrè d'eiavisâffjtr'fe. î\>\ /' "j^^f^àBÛm qu»,«*'uï ^^de^ons résumer de notre mieux (:>' .~amsje~'p~M'°'st)~a)~s. "< ~Tmt~ Y: ' mieux un exposé de philosophie que nous sommes- rï'.ji' 'f^à'Mt^é'imm sommes Wi^plêirfrpWlo* '> f ?©J>ne£ ainsi ,-l&e |es critiques avisés ne manqueront l: • • ^j^&ï^SaiHfpy.; ^7:lèj'v^iS>?i^P Les études de médecius, telles qu'elles sont comprises '0 à l'heur« actuelle, font de rares cliniciens, de vagues " ànàtomistes, quelques jphysiologisteSj mais pas de phi- ;"t; ,.|jtes<#J^'Jtt «e*f?#hH^*e ce ,mot/; > /7>>V^>;S:, X Nous ne parlerons pas du lycée qui fait faire aux as- pirants bacheliers quelques mois d'histoire de la philp- • sophie panachés dé métaphysique enfantine comme, :«a, tout cié que fait le lycée, il fout -le refaire plus tard, si; -roa^ut^eaiïréip" >t -; -; Wï.t-îîvXr x.V- ' r e " y;r_Y::=~ ~T'MMë.wS~eS~t'~M'etci~ ~.jeem:: & Ttenah. "td~i~t~~Mt%N~N~'M~ -pààV14pi^#îVl*fe)fVfe<iïI4pa(P*i;1d'to* ^âSfpJiïs qa^de'ï .'s«mrs.|et p^\ipSiejiiâ,^5É qu'ils apportent enfin la.f^ï'- ~as'Mi~Mie~S~~rti~ q~)MerMé;cdnû, :si|4:^)^^»; ^Ips^îj'^Bgj^s^Bè, nné'phi-^ rlosophie très ancienne. ?' 5? Vv"-Ï vT '• •^Si;B»%^aftffl»Jë' ^*Mèt teahfti.iiijé^fM' M Sagesse-" ~.[~e!taest ctacg~ ~tMd)~BOms'.p~<m& ~es dteF-~ s.çK^ifr&dé^coiirii? aîÈt'or%4bïnx4l™dft .tf^ttàMer 'le»# 1 ermfijs'q^ï^i^|^œ6jwnï!_e "et jKito^» '^ÈB^oe 4'êlfî- •q'ueiice, C'esj|C«lfe garantie qui, seule, nous donne le l,nrà^à^À^e^'|ql Si les quelques pages suivantes poussent certains es- q^'ni obsctiràîs^pl^'siles ^^àê^s.^jux sé'rén-Ii deftMJom|W^éié^^Sffle é^kiëux-^e cet ensemble d'Idée»j?agù,es.'îçt,:oB^®»i^s<wÇÈ'-lesquelles ses adver- J»jfesC.cKeçclie^t 'à^lSièç^bïW'fàai^ on pressent < s r~mi~q~e celte ~il~phteïaspiENart~ pafl'escNttMS ~'mit~iq~s,: dé~à~oa~~t~-t.~&iz et~de >^atfà'au6ès^|partf "*»»§ .'lâ-'iqufi^fe'dè la Science et é ,<Ô^la 'g^sg^BY alors nplm;B»of<fe*eiessâî àprk largë- \,mënt-àttèîntilvtts:qa^onJïMt?r" \£:- "=- Situationdela Philosophie desCiccultiBtea devant le Malé- '(iriâlisine st la Théoloi8Se.î.~ 0^raa|risttapi8 d* rOejsul- tismeen philosophie,– La psychologie' del'occultisme. – LeCorps astral montrant le passage deTEsprit(moO au • corps (non-raoi).– La Constitutiondel'Être humain en ftrojs prinol^g. &analyse desjrMdtpÊ» ôt' aflapteften? troisprine1pe. ayse des,princ't1ies>ilt adaptation, 1 psychologique et anatomique. – Constitution del'être hu-, main et analysé 'd»fsautres principes Le càipp pky-.V • siquè. – ,L'e corpsaêh-sOij-^ L'êtféptiychtupf.' – L'esjjrtt" La PhilosophiespiriUiaiiste, telle que la comprennent j ] leBclasBiques, a toujoursété caractériséeparlin extrême I dédain du fait, anatomique et de la loi physiologique.|, Sous prétexte quel'Esprit est seul formateur de la*! Matièise©t;qu'Uin'ia!a?lMi;4îcter, 8«â lofe*sansJesj, subir,un«xiome, àhasesyllôgistiqueeu non,étaitcon- sidéré comme bien: plus probant qu'une expérience quelconque.Délà les subtilités dela scholastique,lest entraves apportées dans tous les-systèmes philoso- phiques,par la Théologie et la difficulté éprouvée par FEsprït humain à sortir deses lisières et à reprendre «aliberté au milieude tous ces obstaclescréés, dès, M xv»siècle, par la npn-corapréhension da V AnMagna t5i^f/jft.^i^eàB*^V^f^^ï|5*ï«'?'5 :gX'£"¡"~j, a.4r., i .\WC· ,`° 'Î; -¡,Ç~"< ;dô ~i:~i"3~, aqut ~nva~t sx,é~~î ~lès Es~~xts~~end~~c` i'("j^s trois siècles, ce qui est bien; betajâ jpVîiB-fth'-s^i* ;tèitie philosophique doublé d'un instrument de ràison- ~ement`'malcani~ue2 <w`-' ~<- ^j'Aîaïpatiiafèc; base expérimentale que possédaient les henriétistes et les alchimistes, les théologiens noyé- '0~~ft)_ri~li~So\lsJles>4élll~é!J\,Qç'FÁ~m:p~Y:> '5ï^u»ï«ssï àfeias®"qae;grétéft&eûse qu'on, n'^retroiîf^ ~~t&jtt~OiBt'~nd~~s toute sa grandeMr ~au !5ë~- ^#ùâjKi|jèBi'^iiid<|^s .toute." sa grandeur •<|ïi'au'jSlëifli-, ï~%lrf Mi elle éloigne les cerveaux (les futurs prêtres jû© ^p$efytâim$rêfM%à!iss fois de la N|turev^?^l jf^ ;>*4CS|: DSw^fe,a"flite itiS un taipx;pytha^oirî:eieii qWun* %iBiteê*iijuanCil-ai*#I'èpris de rao»eH"er"la*>pln*}osôphie> |?Sf^|»|^ d®t;ftflts, fû -eXaltont-lâ' méthode dériySejdte' ;|V^)èiâ4ncé ai* "piâee de t'axiome m^tephy^ique.aii,; ^^Siâsjl. t%jM>a«e sabrer le ceryeati en 1|» tirant fiçirs' vïè;V^riil6re, ftéoloi^fiue. Les œuvres ;deTal>l<éJâe .^B^r ,;j||g&*t Mrtbiît seà dissertations énoncées par'.leeôinteij l^jitacbalià montrent avec quelle défiance !es Rosé Croix de l'époque étudiaient la révolution philosophique ten- < pa~r rT~3esQn~~es~ .)"> "J"` '= yfll îaut^oieto^ d'abord ne pas-co^fpnd^v|ej;Sp1rî4 "/jteaî&Be'âesoieti^Jiès contemporains i^Vée ces piirement métaphysiques! Les occultistes peuvent, en •|-i|p|aÂ''(ianBjeS habitudes des mystiques, énoncer des affirmations qui paraîtront folles ou très hypothétiques aux contemporains, du moins ces affirmations seront | appuyées par l'étude d'un fait, d'où les dêducHôns se- ^,fekt ïi|^#S,jiaii,la "taêdiode anïilogiqiie.^Àtesi.tqàof^el; plus étrang-e pour un astronome qued'enténdre.dire que ;j les astres sont des êtres organisés ayant leur intelli-V gence et leurs facultés physiologiques? C'est là cepen»- dant une. affirmation des oecultistes, déduite, par ana- H, logie, de l'observation attentive des faits astronomiques -'tS;-ùiSté©roJ^iqaes.^¥- • .yj\?: ]'^>y j' Pï ?p$ nepjêut placéB, la philosophie occulté dàii la^ (section de l'idéalisme pur, à cause de ses tendances; ,,<, 1-' ,1 -if s t'l'iêii.ïr-f"'vJ' >«j/$ t^ï-al 'V-i .'S 'h, t, pr~mo~tal~ d~5tutr~l'gaw~t~le ~iu,a~ --1'j:i: 'l' ,p.J'?:Í1t~i~V1~tr ~i1 R,e,l;J' /davantage. ta^ilÉfe^lâiâ^tfsjme^&j'ap'^M^s^^f1 -~se-e~~<~ Pri~1n~$1i~s; (1'~A'P!~)IV~'Î'~i;fi :SjJe!iç,e~l'U:squ.J.R'O~t'ù:uiie:vi~} j~ ''4pa#J©l^4^SV^ >,bJIi~1à' w:tre,¡;â~ ,'S;{}1uét.bodè1~alb~u~$. •ïanee^iwÀsimi 'â^'e<e:~Âokpàmh'4&Tiïicoittï& âiiïx: ~sM'm~~l~M~io.a~ ,(' è'< ;r~: ` ~st 1~ c~ ~qu~, r~~r~ d~fx~ë p;~r~l~e~t~,qué 1a ~~â~~ ,à"alsig4to ljtfé*sâfl|s^ap |n ^J^ôsop^^fc'6*' évident^, 't"W(¡;JÎ¥$~~t: ~æ~j111J~r~i,.fi6!à~«f:: Miift|soféri%Ô:de r^lptecé» dccWea£ puisque tfesi chrétiens iùitiésygnosHques et autres, les alchimistes ~Hérta'iils; 'kàbbat:æt6!l'jèb!ré1ie¡¡is;}~ :1e~platonisll)e'~ des occultistes s'adapte à la science positive et au ca- ractère de chaque époque ajpc «në:|el|| WupleSs^ que'J. la critiqué devient hésitante. C'est la même philosophie -'gé^rM^a^ê ^rartérîstfajné df la «ephareneMela; TrinitédansrHomme, dans laNature et dans Dieu, avec :à~~ ju)nî¡eu ad1ma~al4sm~Bi uploads/S4/l-x27-occultisme-et-le-spiritualisme.pdf
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- Publié le Oct 10, 2021
- Catégorie Law / Droit
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