Figures: Figure1 : organigramme du groupe CALDIR. Figure 2 : circuit de facture

Figures: Figure1 : organigramme du groupe CALDIR. Figure 2 : circuit de facture d'achat. Figure 3 : circuit de facture de vente. Tableaux: Tableau1 : Etats fournisseurs Tableau2 : circularisations fournisseurs Introduction..........................................................................................3 Chapitre1 : mise en place d'une comptabilité dans la société PERTES 1. Organisation comptable.................................................................6 1.1. Comptabilité informatisée.......................................................6 1.2. Circuit des pièces justificatives..................................................7 1.3. Processus de traitements comptables..........................................10 2. Les taches comptables au sein de PERTES 2.1. Responsable des opérations bancaires..........................................11 2.2. Responsable du cycle actif.......................................................15 2.3. Responsable du cycle passif......................................................16 2.4. Responsable du contrôle de gestion.............................................19 2.5. Responsable administratif et financier..........................................20 Chapitre2 : les aspects fiscaux et sociaux dans la société PERTES 1. les aspects fiscaux 1.1. L'impôt.............................................................................24 1.2. Les différentes déclarations......................................................25 2. les aspects sociaux 2.1. La déclaration sociale.............................................................28 2.2. Le régime du personnel étranger................................................29 Evaluation des immobilisations corporelles Juste Valeur VS Coût Historique Présentation des méthodes d’évaluation des immobilisations 1. Les normes internationales 2. Les normes comptables marocaines III. Le passage du coût historique à la juste valeur : DEUXIEME PARTIE Evaluation des immeubles selon les normes IFRS (cas de la Juste Valeur) 1. Présentation de la Juste Valeur 2. NORMES IAS/IFRS RELATIVES AUX BIENS IMMOBILIERS III. L’AMORTISSEMENT PAR COMPOSANTS 1. Présentation de la Juste Valeur L’évaluation à la juste valeur, qui concerne potentiellement un grand nombre d’actifs et de passifs non financiers, pourrait être le fondement d’un nouveau modèle de représentation comptable de l’entreprise visant à mieux traduire dans les états financiers l’incertitude affectant les prévisions de flux financiers et les opportunités d’investissement. 1. Les mesures de la juste valeur L’évaluation fiable de la juste valeur repose sur quatre méthodes : – Une cotation reconnue sur un marché organisé, – Un calcul destiné à actualiser les cash-flows futurs générés par un actif, – Une valeur déterminée par un modèle statistique (modèle de Feltham Ohlson) créant les conditions d’un marché organisé; les données et hypothèses constituant le modèle doivent être fiables, – Une analyse comparative à partir d’une évaluation d’actif similaire. 2. Avantages de l’évaluation par Juste Valeur – La prévisibilité: La « juste valeur » permet de prévoir, au mieux, les flux de trésorerie futurs dans la mesure où elle intègre, par construction, ces flux financiers futurs. La « juste valeur » privilégie les objectifs des investisseurs lors de la diffusion des informations comptables. – Une comptabilisation globale de la valeur : En appliquant le coût historique, tout ce qui n’a pas de coût n’est pas comptabilisé. Ce principe implique de ne pas comptabiliser certains instruments financiers notamment les produits dérivés (engagement de couverture) qui, par définition, ne nécessitent généralement pas de flux financier à l’origine. La juste valeur implique la comptabilisation de gains latents et donc non Conclusion Si la nécessité d’harmonisation des normes comptables internationales et la légitimité des organismes normalisateurs ne sont pas contestées, la comparaison des méthodes d’évaluation des actifs, au coût historique ou avec prise en compte de la valeur, n’est pas aisée. À défaut de prix de marché observé, l’évaluation à la juste valeur sera déterminée soit par la valeur d’échange sur laquelle s’accorderaient deux parties indépendantes, soit par le prix de marché d’un élément aux caractéristiques proches, soit encore par le calcul de la valeur actuelle nette des flux futurs générés. Cette dernière méthode, satisfaisante a priori sur le plan conceptuel, présente de grandes difficultés pratiques (estimation des flux, choix du taux d’actualisation). Ainsi, l’application, pourtant limitée à ce jour, du principe de juste valeur crée une inquiétude certaine auprès des praticiens qui redoutent autant les difficultés techniques et les coûts qu’ils auront à surmonter qu’ils contestent son intérêt réel. La fronde des banquiers européens en 2003 face aux normes IAS 32 et IAS 39, qui concernent les instruments financiers, fait craindre des oppositions voire des conflits entre les autorités normalisatrices et les professionnels non demandeurs de ce brutal changement. Non pas que les banquiers, comme les assureurs d’ailleurs, soient fondamentalement opposés au principe de la comptabilisation à la juste valeur. Leur argument est que ce concept de juste valeur, qui induit l’existence d’une valeur de marché, est en fait théorique puisque aucun marché n’est réellement efficient au sens de la théorie financière (information parfaite des agents, aversion au risque, liquidité, etc.). Il n’est donc pas d’un grand soutien à la comptabilité dont l’objet est aussi de réduire l’asymétrie d’information entre les agents sur les marchés. L’objectivité et la neutralité de la juste valeur sont contestables et la position de l’IASB est inconfortable car les incidences de ses propositions ne sont pas totalement maîtrisées. Manquant de recul, les professionnels craignent des coûts élevés d’obtention, une volatilité accrue des données comptables et des difficultés pour évaluer et comparer les actifs non négociés sur des marchés efficients. Le nouveau modèle risque de renforcer l’incitation au pilotage de court terme de l’entreprise et la prégnance des marchés financiers. De plus, aucun travail scientifique empirique ne permet à ce jour de montrer une supériorité du modèle conçu sur la juste valeur par rapport au modèle traditionnel au coût historique. En revanche, certains auteurs anticipent un lien entre la pratique de l’évaluation à la juste valeur et le cours en bourse. Ainsi, on peut dire que beaucoup de ces critiques ont trait à l’accroissement de la volatilité des mesures comptables en juste valeur ainsi qu’à ses conséquences. Elles renvoient cependant à une interrogation fondamentale sur la fonction du modèle comptable et sur la pertinence de filtrer, ou au contraire de mieux traduire, la volatilité réelle de l’activité économique. Inversement, d’autres critiques soulignent l’accroissement injustifié de la volatilité du résultat et des fonds propres qui serait lié à un abandon implicite du principe de continuité de l’exploitation. Les critiques les plus nombreuses concernent la valorisation des actifs qui ne sont pas négociés sur des marchés efficients et dont l’estimation renvoie à des modèles internes. Elles mettent en évidence le manque d’objectivité et de neutralité de ces valorisations. Elles mettent aussi l’accent sur la réduction de la fiabilité et de la comparabilité engendrée par l’utilisation de modèles internes. Mémoire : Evaluation des immobilisations corporelles Juste Valeur VS Coût Historique Consolidation en normes IFRS des établissements de crédit Partie préliminaire : Obligation de la consolidation Chapitre 1 : La consolidation au Maroc Section 1: Généralités 1.1. Cadre légal 1.2. Projet de Loi Section 2 : CGNC Section 3 : PCEC Section 4 : Obligation émise par le CDVM Chapitre2 : Intérêts de la consolidation Section 1 : Insuffisances des comptes individuels 1.1. Sources de ces insuffisances 1.2 Nature de ces insuffisances Section 2 : Intérêt des comptes consolidés : l’information délivrée 2.1. L’information délivrée au groupe 2.2. L’information délivrée aux tiers PARTIE I : Passage des comptes consolidés des établissements de crédit aux normes IFRS Chapitre 1 : L’adoption des normes IFRS Section 1 : Projet ROSC Section 2 : Projet IFRS par BAM Section 3 : Obligation de consolidation sous normes IFRS par BAM Chapitre 2 : méthodes et périmètre de consolidation Section 1: Définition du Périmètre de consolidation 1.1. Principes de consolidation 1.2. Entités ad hoc (SIC 12, IAS 22, IFRS 1, IAS 39, IAS 30) Section 2 : Retraitements de consolidation 2.1. Retraitements à effectuer 2.2. Passage des comptes sociaux aux comptes retraités Section 3 : Présentation et Publication 3.1. Présentation des comptes consolidés 3.2. Audit des comptes consolidés 3.3. Publication des comptes consolidés Chapitre 3 : Difficultés de mise en place de la consolidation sous normes IFRS : Cas du groupe CDG Présentation de la CDG Section 1 : Contraintes d’ordre financier, humain et sectoriel 1.1. Coût financier 1.2. Contraintes humaines 1.3. Pluralité des plans de compte Section 2: Difficultés d’application de certaines normes 2.1. Au niveau des comptes individuels 2.1.1. Problématique IAS 32 39 2.1.2. Problématique IAS 16 2.2. Au niveau du processus de consolidation : Problématique IAS 36 2.3. Un système d’information limité 2.3.1. Ancien système 2.3.2. Nécessité d’un remaniement du système de consolidation Groupe Partie II : Elaboration des comptes consolidés du groupe CDG Chapitre 1 : mise en œuvre du référentiel IFRS : Section 1 : mise en place d’un projet groupe 1.1. Phase de diagnostic 1.2. Phase de mise en œuvre : le pilotage du projet Section 2 : Comptabilisation du changement : position groupe par rapport aux problématiques d’application des IFRS 2.1. Mise en place d’une procédure amortissement immobilisation 2.2. Instruments financiers 2.3. Mise en place d’une procédure pour les tests de dépréciation (IAS36) : Goodwill Chapitre2 : mise en place d’un processus de consolidation dans le groupe Section 1 : Prise de connaissance du groupe 1.1. Identification et définition du groupe 1.2. Identification de chaque société du groupe Section 2 : Mise en place du plan comptable groupe 2.1. La réalisation d’un tableau de passage 2.2. Le problème des sociétés étrangères Section 3 : Organisation de la mission 3.1. Dossier de travail 3.2. Calendrier de mise en œuvre Chapitre 3 : Mise en œuvre du nouveau système d’information Section 1 : Enjeux Section 2 : Oracle-Hypérion 2.1. Pourquoi Oracle Hypérion ? 2.2. Hyperion Financial Management : Processus de consolidation statutaire 2.2. HFM: Adéquation par rapport uploads/Finance/ figures.pdf

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  • Publié le Dec 08, 2022
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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