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Sociologie de l’éducation 3e Carl Marx «1918-1983» l’ouvre de Marx fait partie

Sociologie de l’éducation 3e Carl Marx «1918-1983» l’ouvre de Marx fait partie des base de la pensée sociologique, pourtant il n’emploie jamais le mots sociologique dans ses écrits car il ne se revendiquais pas sociologue, Marx est un ovni dans le monde de la recherche car il a fait de la recherche dans plein de domaines et a été revendiqué dans pleins de domaines ( Économiste, historien, sociologue, philosophe), c’est un auteur inclassable, c’est compliquer de le comprendre car il a crée son propre vocabulaire, ces interprétation sont parfois opposée, on a pas de certitude sur la vrai pensée de Marx. A) Théorie des classes sociales Sont idée et de divisé la société en classe sociale définit par des statuts différents et revenue différents, position de pouvoirs différent et aussi des intérêts divergents. Marx a montrée que ça a toujours exister organisation féodale : 3 grandes classe -paysannerie -aristocratie -clergé Les deux classes principales détenais la terres et les paysan travaillais pour les aristocrates et au milieux il y a le clergé (classe intermédiaire) qui étais a l’écart du conflit A l’époque les ouvriers représente 90% des salariés. Ce qui intéresse Marx c’est la dynamique, le mouvement de la société elle est toujours organisé autour d’un conflit centrale et ce conflit centrale est une lutte entre deux classe ( ici la bourgeoisie et de l’autre le prolétariat ). dans la production du pays il y a ceux qui œuvre et les propriétaires Les bourgeois détiennent le capital (argent ) et les prolétaires possèdent la force de travail, les capitalistes vont utilisé la force de travail des prolétaires. Le mode de production capitaliste est fondé sur l’exploitation du salarié par le capitaliste B) Le rapport d’exploitation Le capitaliste a tout l’argent disponible, cet argent lui sert a acheter la force de travail du prolétaire pour réaliser une production et au bout dégager du profit pour le capitaliste. Marx paye la force de travail au prix de sont entretien ( Moyen de subsistance pour le salarié et sa famille ), c’est-a-dire qu’ils calculent le salaire afin de juste nourrir sa famille rien de plus. Dans une journée de travail un salarié produit un certain nombres de biens dont la vente va permettre de payer son salaire, mais en réalité, une fois tout les biens vendu il reste une grosse part qui ,ne pars pas en salaires, elle alimente le profit du capitaliste, plus celui-ci exploite le salarié ( verse moins de salaire, + de travail, + il augmentera sont profit ). On pouvais pas changer de position, ( fils d’ouvrier deviens ouvrier ), ces deux classes social sont forcément en lutte car chacune essaie de défendre ses propres intérêts. TAYLORISME = La spatialisation des taches. Cela a permit l’augmentation de la productivité. (fais que quelque geste) FORDISME = Chaîne de production, l’ouvrier ne bouge plus, moins de perte de temps. La bourgeoisie va tenter d’exploité de plus en plus les salarié en augmentant la productivité ( taylorisme puis fordisme ), et puis la classe ouvrière va tenter de limité sont appauvrissement, mais ils sont condamné a perdre, a moins qu’il y ai une révolution, Le rôle de l’état est d’empêcher les conflit socio, il doit trouver des équilibres, mais ici l’état est du coté des classes dirigeante, c’est un instrument social de domination qui sert a ce que les classes dirigeante garde le pouvoir - La violence (police, l’armée). - L’idéologie (système des représentation , façon de voir le monde et des pensée caractéristiques d’un groupe sociale) ici Marx nous dis que les dominant arrive a garder le pouvoir car ils ont la maîtrise de l’idéologie (Les média, la communication) (L’école, va permettre de formater les gens depuis tout petits). CHAPITRE 1) L’école de 1945 a nos jours 1) 1944-1958: Des rêves de réforme mais une absence de décision La guerre a fait des dégâts matériels , manque d’instituteur car -mort a la guerre -Régime de Vichy (extrême droite,ceux qui on pactisé avec les nazis) 1) La dispersion de l’institution scolaire Avant la guerre , le système français ne fais que juxtaposée différent éléments qui sont organisé en degrés successif -primaire -secondaire -université Mais qui sont souvent indépendant les uns des autres - L’enseignement primaire A été organisée avec les lois ferry (ministre ) il a fait votée deux lois fondamentales, la première en 1881-Lois de la gratuité de l’école primaire public. 1882-L’école primaire laïque (doit pas la confier a des institution religieuse), Une obligation scolaire entre 7ans et 13ans. Donner au peuple le baguage culturel élémentaire car la plus par des gens sont analphabète. L’école primaire est conçue comme une fin en soit, elle n’est même pas naturellement au études secondaires sauf pour les enfant issue des milieux socio favorisé. Le lycée accueillais les enfant de la 6e jusqu’en terminal. Moins prestigieuse, les collèges (pas financé par l’état), sa adressais au enfant de la bourgeoisie des classes moyennes. Cour complémentaire, étais destiné au enfant des classe populaires/Moyennes, les plus douée, durais 4ans et formé a des métiers intermédiaires (Employées, comptables). Les enfant de milieux favorisée se mélangeais pas avec les autres appelé (les petits lycée). A l’époque, le bac est une sorte de barrière entre deux monde, cela fessait une distinction entre les enfants, le latin aussi. Le bac a lauréat était une garantie contre l’évasion des milieux défavoriser. L’enseignement supérieur: 15 université avec 100 000étudiant a la fin de la 2e guerre mondial en France, Maintenant on a 80 université avec 2 millions et demi d’étudiant, il y a une démocratisation de l’enseignement supérieur. On a aussi l’enseignement technique dans des centre d’apprentissage ou des école technique ou on apprend tout les métiers manuel et sanctionner avec un diplôme (CAP: Certificat d’Aptitude Professionnel) c’est la que l’on envoi les enfants d’ouvriers qui arrive au bout de l’école primaire, puis ensuite faire le métiers des parents. b) La commission l’angevin-vallon (1945-1947) monsieur Paul Langevin est professeur dans ‘les collèges de France’, ici on nomme les meilleurs de l’université, les cours sont gratuits et tout le monde peux y assisté. Henri Vallon succède Paul, ils vont faire un rapport qui ne va conduire a aucune réforme, il est a l’origine des 30 prochain rapport, ce rapport devenu une référence => Ce rapport va poser pour la première fois le principe de ‘justice’ a partir d’une phrase. Il y a l’idée d’une révolution méritocratique c’est a dire que seul le mérite personnel doit distingué les enfant et non plus la naissance, l’appartenance social, tout les enfants doivent avoir accès au même enseignement. L’idée étais noble mais elle étais naïve car il ne suffit pas d’offrir les mêmes enseignements au élève pour que seule leurs aptitudes les différencies, mais a leur décharge on a a l’époque pas conscience car aucune étude na été faite du lien très fort entre la réussite scolaire et l’origine social => Doter l’institution scolaire d’un service de psychologie et d’orientation, chargé de détecter les aptitudes individuels (des jeunes) et de les aiguiller vers la meilleurs orientation. => Organiser la scolarité en cycle, chaque cycle permettant d‘orienté ensuite les élève (7- 11 ans, 11-15 ans,15-18ans) => Proposer des horaires avant-gardiste, ce projet ambitieux n’a jamais été mis en œuvre car, le contexte politique n’est pas favorable (4e république, les gouvernement se succède a grande vitesse) et dans ces conditions il est difficile de conduire a de grande réforme. Très coûteux, a cet époque la reconstruction du pays est prioritaire. Mal-grès cet immobilisme politique, les gouvernement on fait des choses mais la priorité étant de recruté des enseignant mais aussi reconstruit beaucoup d’établissement, le taux de scolarisation après l’école primaire a plus que doublé, il est passer de 20% a 45%. -Croissance économique est forte, le secteur tertiaire se développe vite donc un grand besoin de jeune qualifier. -Très forte demande social d’éducation, les 30 glorieuses c’est l’amélioration des conditions de vie, et cela a suscité de forte aspiration a l’ascension social. -Une grande vague démographique (baby-boom) en conséquence, lorsque le général De gaule est élu en 1958, la réforme de l’enseignement reste un problème entier. 2) 1959-1972, Le poids des grandes décisions a) La réforme BERTHOIN Cette réforme est mis n œuvre en janvier 1959 Berthoin et le ministre de l’éducation national de l’époque. -Obligation scolaire jusqu’à l‘age de 16ans (4 ans au-delà de l’école primaire). -Création des CEG (Collège d’Enseignement Général) qui vont remplacer les cours complémentaires, -Création d’un cycle d’observation en 6e 5e tout ceux qui on un socle de connaissance suffisant, vont pouvoir passer en 6e au cours des deux année suivantes, on va les observé et décider de la direction. Soit: Enseignement général long ou bien le lycée technique , va jusque en terminal mais au bout il n’y a pas de pas, c’est pour devenir technicien supérieur (sont les chef d’équipe),L’enseignement général court , en 2 ans pour former l’élite des employée (comptable) et pour finir l’enseignement technique court pour formé les ouvriers qualifier , au bout il y avait un CAP. La 6e et uploads/Finance/ sociologie-de-l-x27-education-2.pdf