ACCEUIL FLEXIBLE Test CO- Septembre 2017 / Message 1 ; Mes réponses sont ; 41-B

ACCEUIL FLEXIBLE Test CO- Septembre 2017 / Message 1 ; Mes réponses sont ; 41-B/ 42-B/43-D Journaliste ; Irene Bosman, vous êtes à l’origine de l’initiative d’accueil flexible des enfants au Limbourg. Comment est-il organisé ? Irene Bosman ; les enfants peuvent être accueillis dans 4 centres de 05h30 à 22h00, même le weekend et les jours fériés. Journaliste ; n’y a-t-il pas de parents irresponsables qui déposent leurs enfants à 06h00 et viennent les chercher à 21h00 ? Irene Bosman ; vous savez un accueil prolongé des enfants est parfois nécessaire pour diverses raisons. Les parents font ce choix sciemment, il peut s’agir d’une famille monoparentale dont le parent a un programme plus que chargé (41). Dans les familles à problèmes, ce n’est parfois pas une mauvaise chose que l’enfant se retrouve dans un autre nid social mais personne ne se débarrasse de ses enfants. Journaliste ; et vos clients sont satisfaits ? Irene Bosman ; la plupart des parents se sentent vraiment aidés par cette initiative. Près de 30 % d’entre eux ont-ils le temps de trouver un nouvel emploi et peuvent mieux associer la vie privée et l’activité professionnelle (42). Un sur quatre est moins stressé et quand ils viennent chercher les enfants, cela se passe plus calmement. Journaliste ; le projet a-t-il démarré aussi ailleurs en Flandre ? Irene Bosman ; il ne pouvait pas en être autrement. Le travail à temps partiel et à horaires flexibles exige un accueil atypique. 13 villes proposent déjà ce système (43). 05 initiatives vont s’y ajouter l’année prochaine. BENIN Test CO- Octobre 2017 / Message 1 ; Mes réponses sont ; 41-C / 42-C/ 43-A Journaliste ; depuis votre premier film Barbecue Peujeot, Jean Odoutan, vous arrivez à exister dans ce milieu du cinéma de manière totalement indépendante avec très peu de moyens. Comment vous vous débrouillez ? Jean Odoutan ; Bah j’ai la chance d’avoir ma propre distribution de films qui s’appelle 45 RDLC, je n’ai rien d’autre que 45 Rue de la Comète, mon lieu d’habitation à Asnières et que je suis mon propre attaché de presse mais en même temps je mets d’autres cordes à mon arc comme Quintessence le festival annuel de films de Ouidah au Bénin. C’est ce qui me tient le plus à cœur mais c’est pas de la tarte il faut quand même le faire. Pour beaucoup c’est monstrueux tant que là-bas la langue qu’on parle chez nous le fond et fouëne on m’appelle le surhomme. BIBLIOTHECAIRE D-A-A - jounaliste Laurence Brunet lit. Parlez-nous de votre métier de bibliothécaire. - bibliothecaire Je travaille dans cette bibliothèque depuis 1989. Je renseigne les lecteurs je participe au choix des ouvrages. Je ne rechigne pas à porter des objets lourds. J'ai toujours été passionné par les livres ce qui me plaît c'est informer les lecteurs répondre à des questions pointues. -C'est votre premier emploi. -Non. Avant j'ai travaillé à la Bibliothèque administrative de l'Hôtel de Ville de Paris pendant 15 ans. Le public était composé d'élus et de chercheurs et il était plutôt élitiste mais je préfère la bibliothèque où je travaille maintenant. - jounaliste Comment vous êtes arrivé là. - bibliothecaire Je suis entré comme employé à la mairie de Paris il y a 22 ans. Après avoir étudié l'anglais pendant trois ans un peu plus tard j'ai passé un concours pour devenir titulaire. J'ai été bibliothécaire adjointe et maintenant je suis adjointe principale. Finalement je n'ai pas besoin de parler anglais dans mon travail et je trouve ça dommage. - jounaliste Le salaire est intéressant dans cette profession. - bibliothecaire Je gagne 1800 euros par mois. CIRCUIT COMMERCIAL Test CO.16-028/ Message 3 : Mes réponses sont ; 47- D / 48- B / 49-A / 50- B Journaliste; Bernard Ledoux vous êtes chercheur au Credoc, spécialiste de la consommation. Tout le monde constate actuellement une ruée vers les magasins pratiquant en permanence les prix bas, même dans les beaux quartiers. Cette tendance est-elle une conséquence de la hausse des prix ? Bernard Ledoux ; d’une certaine manière oui. La valse des étiquettes, la tension sur le pouvoir d’achat, la désorientation des consommateurs suite à l’euro ont profité à ces magasins. Et je crois que cette explication est superficielle. En fait, ces enseignes répondent à une nouvelle demande. En l’occurrence, ils proposent des produits moins chers de qualité basique (47) avec un service minimum mais fonctionnel. Ils décollent parce qu’ils ont lancé un nouveau circuit. On peut même ajouter qu’ils n’ont pas encore fait le plein des foyers de consommation (48), contrairement aux surfaces commerciales classiques. Journaliste; Certaines de ces enseignes cadraient vraiment les grandes agglomérations. Ils ouvrent régulièrement de nouveaux espaces. Comment expliquez-vous cette explosion ? Bernard Ledoux ; Il est vrai qu’on remarque une véritable montée en flèche du phénomène dans les grands centres urbains. On estime aujourd’hui que plus d’une personne sur deux fréquentent ce type de commerce et les consommateurs appartiennent comme vous l’avez signalé à toutes les catégories de population. Cette évolution est constante depuis 10 ans. Leur part de marché augmente en gros d’un point chaque année et ils ne sont pas arrivés à saturation. Journaliste; Sont-ils alors le glas des supermarchés de proximité ? Bernard Ledoux ; Non ! Car ils fonctionnent comme circuits d’appoint. Les consommateurs mieux informés zappent entre leurs envies d’une marque précise et d’un prix plus juste (49), mais il est certain que l’arrivée de ces pratiques commerciales a bouleversé le paysage de la grande distribution. Concrètement les super marchés se retrouvent face à une alternative. Soit ils tentent de les concurrencer sur le terrain des prix, en créant des marques très bon marché, mais cette stratégie semble risquée, soit ils affirment leur complémentarité en jouant sur la qualité, les services offerts ou l’étendue du choix, (50) mais la politique du bas prix n’est en aucun cas avouée à devenir un circuit dominant. DIVORCE Test CO- Septembre 2017 / Message 2 ; Mes réponses sont ; 44- D / 45-A / 46-D Journaliste ; pour un couple, la séparation en présence d’enfants ne rend pas la tâche easy. Maria Comes ? Maria Comes ; dans un tel évènement, tout se joue sur l’état d’âme des parents. Ils ont l’impression que c’est une catastrophe, l’enfant le ressent et ça dramatise les choses pour lui. Il ne s’agit pas de banaliser le divorce, c’est un acte important mais la vie n’est pas toujours rose. C’est dur, surtout pour l’enfant qui doit faire le deuil de sa vie d’avant, mais ça reste passager et pas si destructeur si on lui explique bien les choses. Journaliste ; tout est bien qui finit bien alors ! Maria Comes ; il arrive que l’enfant veuille prendre la place d’un des parents ou essaie de les réconcilier. C’est à eux de prendre les choses en main. Malgré leur séparation, ils sont pour autant culpabilisés, ils ne doivent pas diverger dans leur principe d’éducation. EVALUATION MESSAGE AUDIO de CO : réponses possibles : 47 – C ; 48- D, 49- A, 50-C 1-L'évaluation s'est diffusé dans tous les secteurs, pourquoi une telle prolifération? Réponse: c'est une méthode qui engendre pression, stress et compétition voir triche et baisse de performance. Nous nous en plaignons et nous en redemandons. Nous voulons être évalués et seulement également évaluer. Quand bien même nous ne connaissons pas le domaine, nous nous sentons légitime de donner notre avis. Des émissions de télé sollicitant le vote des téléspectateurs aux enquêtes de satisfaction des clients, nous sommes tous susceptibles de juger. 2- Mais l'évaluation donne à l'attitude l'illusion de se démarquer Réponse: Dans un monde du travail de plus en plus individualisé, c'est une promesse narcissique: celle de s'améliorer, d'être meilleur. Mais cela crée aussi des modèles pour tous. Sous prétexte d'évaluer on nomme, on impose, on encadre des comportements en enfermant et en uniformisant les façons de travailler. 3- Elle permet une forme de reconnaissance? Réponse: elle invente une forme de reconnaissance tout en prétendant y répondre. Avoir un nom, une profession, une filiation, donne une place d'où l'on peut agir. Or l'évaluation donne non pas des places mais des positions incertaines, relatives où tout se rejoue à chaque épreuve JEUX VIDEOS Test CO-16-029/ Message 3 ; Mes réponses sont ; 47- D/ 48-D/ 49-B / 50-C Journaliste ; la console ne rend pas les ados accros au ultra violant. Céline Stora, psychanalyste et spécialiste des mondes virtuels et pense même qu’elle a plus d’une vertu. Alors Céline Stora, pourquoi les jeux vidéo ont-ils une mauvaise réputation ? Céline Stora ; sans doute parce qu’ils concernent prioritairement les enfants et les adolescents, c’est un monde que les adultes ne connaissent pas, ils ne retiennent que des images de violence qui ne cadrent pas avec la vision idéale qu’ils ont de l’enfance. Ils trouvent ces jeux peu créatifs, bien moins en tout cas que les jeux d’entant. Les 45, 60 ans font de la résistance devant ce média, et n’arrivent pas à le prendre pour ce qu’il est, une uploads/Geographie/ aaa-tous-les-textes-co-by-ghassen.pdf

  • 34
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager