DELF A1 AUDIO – UNITÉ 1 Piste 1 Brooklyn, Time Square, manucure, deli, rat, piz
DELF A1 AUDIO – UNITÉ 1 Piste 1 Brooklyn, Time Square, manucure, deli, rat, pizza, 80 secondes ce matin sur un petit livre qui capte en 100 mots l’esprit de New York, la ville la plus incroyable du monde, voir à ce sujet l’entrée « best » sur la passion locale pour les superlatifs. Atmosphère, us et coutume, ce lexique détaille l’exotisme new-yorkais. L’étonnant amour pour les chiens, par exemple, il y en aurait 600 000 en tout, avec des races spécifiques selon le quartier. L’émoi qu’entraînent les tempêtes de neige, ces « snow days » qui paralysent la ville, la laissant silencieuse alors que New York est la « Ville Bruit » comme Paris est la « Ville Lumière ». Piste 2 • Bonjour à tous ! Aujourd’hui, notre émission est à propos du tourisme de ruines. Diderot disait d’ailleurs : « Il faut ruiner un palais pour en faire un objet d’intérêt. » Alors, le tourisme de ruines, c’est beau ou c’est pas beau ? Pour en parler, je donne la parole à quatre auditeurs et auditrices ayant un avis bien tranché sur la question. Personnellement, je ne vois aucun intérêt… et aucune beauté à visiter des villes ou des lieux laissés à l’abandon. Je suis allé à Détroit, et j’ai trouvé que cette ville était tout simplement hideuse ! Je ne suis pas du tout d’accord ! Moi, je suis allée à Kolmanskop. Vous savez, cette ville fantôme du désert de Namib au sud de l’Afrique. Un régal visuel ! J’ai été envoûtée par ses maisons délabrées envahies par le sable. Pour moi, ce lieu est splendide et m’a conduite à une contemplation tranquille. · ·Je partage ton avis ! Moi, je suis fasciné par les lieux défigurés. Je suis allé à Prypiat, ville abandonnée à quelques kilomètres de Tchernobyl. J’ai trouvé que les lieux explosés, ainsi que l’ambiance, étaient d’une grande poésie. N’importe quoi ! Je suis tout à fait contre le tourisme de ruines ! Non seulement ces paysages déchirés sont austères et disgracieux mais surtout, je considère cet engouement comme voyeuriste et irrespectueux envers les populations locales ou la mémoire de ceux qui y ont habité. • Merci à tous les quatre ! Et vous, qu’en pensez-vous ? Donnez- nous votre avis en appelant le standard au 01 45…. Piste 3 • Et le décryptage éco c’est Vincent Giret, bonjour Vincent. Bonjour Fabienne, bonjour à tous. • Vous me paraissez bien loin et en même temps si prêt, vous êtes à Lyon ce matin Vincent, vous allez nous parler de la transformation spectaculaire des villes dans le monde d’aujourd’hui. Et vous allez remettre ce matin Vincent, avec votre journal Le Monde et avec un jury international, des prix de l’innovation urbaine. Et oui Fabienne nous avions lancé à l’automne dernier un appel à candidature sur des projets de transformation, d’innovation, un peu comme on jette une bouteille à la mer et on a reçu comme une déferlante de candidatures venues de Rennes, de Marseille, de Toulouse, de Bègles, d’Issy-les- Moulineaux, de Bastia et je ne vous parle bien sûr que de la France. Cela donne d’ailleurs une toute autre image de notre pays que celui d’un pays en crise, un peu dépressif, qu’on décrit souvent. Il y a en France des jeunes, des start-up, des grandes entreprises, des institutions publiques petites ou grandes qui innovent partout pour changer l'habitat, pour le rendre plus écologique, pour, avec des applications numériques, changer la mobilité en ville, pour réguler l'énergie de manière complètement révolutionnaire. Tout cela pour bâtir ce qu'on appelle en anglais, pardon, des smartcities, c’est-à-dire des villes intelligentes ou des quartiers intelligents, à la fois plus conviviaux, plus économes en énergie, plus écologiques, plus agréables, plus solidaires aussi. • Allez Vincent, quelque exemples. Alors oui Fabienne mais c’est, bon, c’est difficile de choisir. Partons d'abord de choses très simples, par exemple Mon ptit voisinage, c'est le nom d’une application, une plateforme collaborative gratuite accessible sur votre téléphone qui vous met en relation avec vos voisins pour tous types de services, de coups de main, de problèmes, d’échanges. C’est une projet qui est venu de Saint-Malo. Deuxième exemple, on change totalement d'échelle, c'est à Issy-les-Moulineaux, le projet s'appelle IssyGrid, c'est le premier réseau énergétique intelligent de France où les habitants peuvent gérer eux- mêmes leur consommation d'énergie. Dernier exemple Fabienne, c'est une start-up qui s'appelle ForCity, créée à Lyon, en fait c'est une plateforme fascinante en 3D de scénarisation de l'évolution des villes en fonction de leur démographie, de leur géographie ou de toutes autres spécificités. Et cette start- up française a conçu un outil si puissant pour anticiper l’avenir qu'elle est en train de décrocher des contrats à Singapour, à Dubaï, des villes qui ont des défis colossaux à relever. Dans le domaine de l'innovation urbaine, la technologie française, en tout cas, fait des merveilles Fabienne. • Merci beaucoup Vincent, j’irai à Lyon, donc, avec le journal Le Monde, merci. Piste 4 Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Piste 5 a. Nous avons tous des points de repère dans notre ville. b. New York est une ville cosmopolite et pleine de sites à visiter. c. Ma ville préférée dans le monde est Paris. d. Je n’aime pas les villes trop grandes, elles sont déshumanisées. e. Marcher dans une ville est la meilleure manière de la connaître. f. Des villes touristiques, des villes industrielles, elles ont toutes un charme. g. Ushuaïa est la ville la plus méridionale du monde, elle est située en Argentine. h. Notre idée de la ville doit évoluer pour s’adapter aux défis de la vie moderne. Piste 6 a. Les villes du futur devront utiliser de plus en plus d’énergies renouvelables. b. Les murs végétaux et les toits verts sont une solution au problème de la pollution c. Nous verrons, d’ici quelques années, augmenter le nombre de voitures électriques. d. Les autorités devraient encourager l’utilisation du vélo comme moyen de transport. e. Les nouvelles villes seront composées en priorité d’immeubles intelligents. TRANSCRIPTIONS DES ENREGISTREMENTS 86 quatre-vingt-six COMPRÉHENSION DE L'ORAL DELF f. La ville doit être un espace plus vivable pour tous ses habitants. g. Nous devons développer des moyens de transport plus efficaces. Piste 7 a. Mon chien Gin voyage dans une cage. b. Je meurs de rage au bord du Tage. c. Cette fille rougit facilement. d. Il mange des cailles. e. N’utilise pas de pailles. f. C’est une grosse faille. g. Ce boulon est rouillé. Piste 8 a. Passe-moi cette paille. b. Regarde cette belle cage. c. Ce sont des mages. d. Que veut dire « Tage » ? e. Voilà la faille. f. Ils pillent la ville. g. Ce sont des rages. AUDIO –UNITÉ 2 Piste 9 Le riz a une importance capitale à Madagascar. D'une part, parce que c'est l'aliment de base des Malgaches et d'autre part, parce que la culture du riz constitue la principale activité agricole de l'île. Elle ne concerne pas moins de 8 millions de producteurs. Le problème, c'est que cette activité est souvent peu rentable et il est difficile pour les petits producteurs d'en vivre décemment. Une des difficultés auxquelles ils sont confrontés est la conservation du riz. En effet, nombreux sont ceux qui n'ont pas de lieu de stockage pour conserver leur récolte et si le riz n'est pas mis à l'abri, il moisit. Alors, ce problème de conservation a plusieurs conséquences négatives. La première est que, comme tous récoltent et vendent le riz à la même période, ils le vendent à bas prix. La deuxième conséquence est qu'ils perdent une partie de leur production. Et enfin la troisième c'est que, après quelques mois, ils doivent acheter du riz à prix fort pour leur propre consommation et ils s'endettent. Deux étudiants-ingénieurs de Lyon se sont penchés sur cette question. Ils ont imaginé un sac innovant qui permet aux producteurs de conserver le riz pendant 12 mois. Grâce à Tigoun - c'est le nom qu'ils ont donné au sac, ils peuvent répartir les ventes de riz sur toute l'année et ils ne sont pas contraints d'en acheter pour nourrir leur famille. La cerise sur le gâteau ? Le sac est écologique contrairement aux sacs plastiques utilisés jusqu'à présent. L'économie réalisée par les petits producteurs leur permet de payer la scolarité de 3 enfants, une manne dans ce pays où de nombreux enfants ne sont pas scolarisés. Piste 10 La chronique Environnement, maintenant. Christelle nous parle de ces maires qui se rebiffent contre les pesticides. Bonjour ! Oui, les arrêtés municipaux qui interdisent l'épandage de pesticides à proximité des lieux d'habitation se multiplient en France depuis quelques mois. Une manière de soutenir mais aussi de faire pression sur le gouvernement. Rappel des faits : En mai dernier, Daniel Cueff, maire uploads/Geographie/ defi4-iwbk-transcriptions.pdf
Documents similaires










-
31
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Jan 24, 2022
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
- Taille du fichier 0.3710MB