Fiche de lecture nom de l’auteur : FRANÇOIS CUSIN ET JULIEN DAMON titre de l’ar

Fiche de lecture nom de l’auteur : FRANÇOIS CUSIN ET JULIEN DAMON titre de l’article : CLASSEMENTS, ENJEUX ET STRATÉGIES URBAINES titre de l’ouvrage : Les villes face aux défis de l‘attractivité date de l’édition : octobre 2010 lieu de l’édition : numéros des pages de l’article : 22 pages articles de même sujet ( références ) : - la présentation et l’analyse fouillée de HOOGE Émile. « La cote des villes ». Futuribles, n° 354, 2009, pp. 45-59. - le site Internet www.citymayors.com. - MONT Gérard-François. Les Métropoles régionales intermédiaires en France : quelle attractivité ? - voir HATEM Fabrice. Le Marketing territorial. Principes, méthodes et pratiques. Colombelles : éditions Management & société, 2007, 292 p. - MEYRONIN Benoît. Le Marketing territorial. Enjeux et pratiques. Paris : Vuibert, 2009, 258 p. - NOISETTE Patrice et VALLERUGO Franck. Un monde de villes. Le marketing des territoires durables. La Tour d’Aigues : éditions de l’Aube, 2010, 271 p. - le site Internet de la société de marketing de la ville de Hambourg www.marketing.hamburg.de. - MOMEN Mervi. « Branding a City: Selling a Product or Creating an Identity? » In COLLECTIF. L’Attractivité des territoires : regards croisés. Actes des séminaires, février-juillet 2007. Op. cit., pp. 33-35. - HOOGE Émile. Op. cit. - HAËNTJENS Jean. Urbatopies. Ces villes qui inventent l’urbanisme du XXe siècle. La Tour d’Aigues : éditions de l’Aube, 2010, 137 p. - Voir également les deux dossiers des Cahiers de l’IAU (Institut d’aménagement et d’urbanisme), « Envies de villes » (n° 149, décembre 2008) et « Stratégies métropolitaines » (n° 151, juin 2009). - FLORIDA Richard. Cities and the Creative Class. New York : Routledge, 2005, 208 p. ; et HAËNTJENS Jean. « Stratégies et avenir des villes européennes ». Futuribles, n° 354, juillet août 2009, pp. 5-18 La problématique que pose l’auteur dans cet article ; - en quoi se distingue la notion d’attractivité de la notion de compétitivité ? - Quels sont les dimensions et les déterminants de la notion d’attractivité ? - Quels sont les grands traits des politiques d’attractivité et de marketing urbain ? Les objectifs de l’article : Nous faire comprendre la notion d’attractivité et les critères de compétition des villes pour rentré dans la mondialisation Résumé : L’auteur commence par nous illustrer le terme d’attractivité par « un terme d’usage relativement neuf qui désigne à la fois de l’attrait et de l’attraction pour des populations, des professions, des implantations » . Ce terme qui est devenue de plus en plus occurrent dans le secteur d’aménagement de territoire au cours de temps , l’attractivité pousse les villes a être toujours en compétition pour rentrer dans la hiérarchie de classement mondiale et des palmarès , ces palmarès ont commencé en 1970 en France qui classent les villes selon le cout et la qualité de vie ( des données fournée par la banque mondial ) Plusieurs chercheurs ont disposer un classement des villes selon cette variation tels que the economiste , Mercer , ECA international , UBS , chacun des chercheur a fournée des données selon des enquêtes différente ce qui nous conduisent a mettre en question la notion d’attractivité des villes , on dit que la force d’attraction d’une ville s’identifie à sa capacité à capter des ressources humaines ou non, matérielles ou immatérielles mais aussi à la séduction au charme, à la beauté un attrait qui exercé sur l’humain et les actions humain dont il varie selon la sphère d’étude ( internationale, nationale, régionale ou encore intra-urbaine). Donc la ou la compétitivité des territoires joue sa rôle car la compétitivité d’un territoire renvoie à son efficacité économique et sa capacité à valoriser ses avantages comparatifs sur des marchés , non seulement créer plus de richesses au moindre coût, stabiliser ses marchés et valoriser son savoir-faire et ses produits, mais aussi à attirer des ressources et des personnes nécessaires au développement de l’activité économique et à l’innovation , on arrive a dire que l’attractivité dépend de la compétitivité car les ressources, lorsqu’elles sont mobiles, ont toutes les chances de se diriger vers les places offrant le plus d’opportunités de gains, C’est la ou l’auteur nous présente la notion de l’attractivité résidentielle, au delà de la fonction économique de la ville , aujourd’hui, la compétition est de plus en plus fondée sur la flexibilité, la variété, la qualité et l’innovation, plutôt que sur la seule variable des coûts. La situation géographique, le climat , l’accessibilité , la démographie , l’organisation politique , l’économie , l’urbanisme , le logement , les condition sociale , l’infrastructure , culture et patrimoine , Environnement et politique de développement durable , deviennent des éléments de plus en plus décisifs dans les choix de localisation résidentielle. Car la population est plus susceptible a s’installer dans un territoire en voient sa réputation d’où l’ attrait des villes repose donc sur des systèmes de croyances . Parmi les politiques d’attraction l’auteur mentionne le marketing urbain , Les politiques d’attractivité visent non seulement à améliorer l’offre urbaine, mais également à valoriser cette offre et promouvoir l’image de marque des villes . elle doit être fondée sur une représentation et une stratégie partagées par les acteurs locaux, elle doit être susceptible de renforcer la fierté des habitants, tout en attirant les investisseurs et de nouveaux arrivants a titre exemple par l’organisation des évènements internationale ( sportif , culturel …) les stratégies du marketing urbain peuvent s’appuyer sur plusieurs démarches souvent complémentaires : 1) créer et diffuser une image de marque (le city branding) 2) assurer la réalisation de projets urbains emblématiques et de manifestations événementielles à fort rayonnement 3) chercher à attirer des populations à fort potentiel économique, culturel et symbolique. Et a la fin l’auteur fini par mettre en question la cohésion territorial en prenant en compte la population de périphérie des ville attractives et les inégalité social qui vont subir et il nous fair prévenir de la répulsivité ( contraire de l’attractivité ) et conclu par dire « villes qui réussissent ne sont pas celles qui attirent les investissements, mais celles qui attirent d’abord les gens. En un mot (à consonances sartriennes), l’attractivité précède la compétitivité » uploads/Geographie/ f-l-attractivite.pdf

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