Résumé-Il était une fois : Il était une fois un couple heureux qui vivait dans

Résumé-Il était une fois : Il était une fois un couple heureux qui vivait dans une vallée au rythme des saisons , Bouchaib, au passé agité rencontre à une carrière militaire pour travailler la terre de ses ancêtres et vivre auprès de sa femme dont la suisine le régale et la présence l’inspire et le rassure. En effet , Bouchaib calligraphie en langue Tifinagh un longue poème à la gloire d’un Saint méconnu tout en buvant du thé chinois reçu de France. L’Imam de la Medersa du village trouva le moyen de faire éditer le poème qui est mis aussi en musique , chanté par des raîss , diffusé à la radio et écouté par tous . Même Redwane ,l’ami de Bouchaib , qui vit en France depuis trente ans , prend connaissance du poème de Bouchaib ce qui le décide à lui rendre visite . Malgré l’isolement du village , la modernité commence à s’y faire sentir . Les plus réfractaires finissent par abdiquer par commodité à la facilité . Bouchaib et sa femme garants des traditions, adoptent la podernité dans les limites du raisonnable ce qui n’est pas le cas des parvenus . Ces derniers sont méprisés par le Vieux qui voit en eux des corrompus qui trompent le peuple et flouent l’Etat. Personnages-Il était une fois : Bouchaîb : Le Vieux héros du roman .Il avait beaucoup voyagé dans le Nord et dans une partie d’Europe à la recherche d’une fortune qu’il n’a pas trouvée . Il était un fin lettré et un croyent exemplaire Talaquouit : La vieille voisine du couple , C’est une Saint aimée et respectée par le voisinage . Elle sait lire et écrire couramment l’arabe classique et le berbère. Elle était capable d’engager une soute avec n’importe quel alim . Cette vieille pouvait aussi soignait les anciens car elle maîtrisait la pharmacopée de l’époque Les Touaregs : ce sont des nomades qui possèdent d’immenses troupeaux mais qui ne mangent pratiquement pas la viande . Ils vivent de lait de chamelle et de dattes. Leurs femmes sont lettrées . Elles lisent et écrivent le Tifinagh et elles composent des poèmes et des chansons Lalla Tiizza Tasemlait : Saint et savante dont on disaità tort qu’elle fut la maîtresse attitrée de Sidi Hmad Ou Moussan’Zzaouit , le saint au mille et un miracles et prodiges Le Mokaddem : Il a fait la prison pour trafic du kif . Ces trafics ne l’ont pas enrichi . Il est revenu avec sa femme arabe qu’il a totalement berbérisé Le guide touristique attitré : c’est un polyglotte né au village .Il habite le chef-lieu ou’ se trouve l’administration du Souk. Il a une femme et des enfants au village, une autre femme et enfants à Tiznit et une troisième épouse au Souk , Le Vieux parle de lui en terme de baroudeur et d’aventurier Le père du guide : IL était un baroudeur , une dorte de bandit mais pas un tueur . Il aimait faire le coup d feu Le jeune noir Salem : Le fils du ferblantier qui fabriquait aussi des sandales à semelles de caoutcouc Le circonciseur : Vêtu comme un Imam , il portait une longue barbe blanche de patriarche biblique et un impecable turban à rayures dorées de lunettes de vue L’adjudant : Un homme honnête et travailleur . Il a invité le Vieux à la circoncision de ses deux fils Haj Lahcène : Bienfaiteur d’Amzil Amzil : Interlocuteur du Vieux , homme dans la force de l’âge , maigre et grand , qui vivait été dans son temps l’unique maréchal-ferrant du village La doyenne du village : Personne ne l’a jamais vu . Elle se souvenait de l’époque héoîque des harkas et parlais sans cesse des être invisibles qu’elle seule pouvait distinguer L’Ancêtre : Il est venu du Sahara , Il est venu s’installer au village à la tête d’un immense troupeau il y’a plusieurs siècles de cela Imoussak : Un Saint qui avait son tombeau près de la Medersa . Il avait peut-être été un chef de Zaouîa d’ou’ l’existence même de l’école de théologie Haj Belaîd : Un chanteur qui avait toute la consideration de Bouchaib car ses textes étaient longuement mûris Oumouh: C’est un vieux remarié avec une jeune de 18 ans . Il est l’ami des parvenus, leur homme à tout faire et leur guide de chasse . Il a été dédommagé par ces messieurs suite à l’incendie de son verger Radwane : C’est l’ami de Bouchaib , Un immigré qui est devenu un investisseur Khoubbane : Un homme du clan qui représentait le dernier chaînon de sa lignée et qui avait offert le porte-plume à Bouchaib . Il lui apportait aussi des cahiers , des crayons de couleur et des biscuits quand il venait au village . Il était stérile et il est mort à Safi devant sa boutique . Sa veuve s’est remariée et a eu des enfants. Résumé par chapitre-Il était une fois : Il était une fois un vieux couple heureux de M. Khair-Eddine Résumé des chapitres Chapitre 1:Un vieux couple dans un village reculé Le vieux couple, Bouchaib et sa femme, menait une vie au milieu des ruines hantées par les reptiles et les animaux sauvages dans village montagneux au Sud du pays.Après plusieurs périples au Nord et dans une partie de l’Europe, l’homme y avait élu domicile. C’est un bon croyant et fin lettré qui possédait à Mazagan une échoppe lui permettant de vivre à l’aise dans ce village reculé. Les deux vieux vivaient en bons termes avec la nature hostile et les voisins. Et même s’ils n’avaient pas d’enfants, ils n’éprouvaient aucune amertume. Chapitre 2: Un homme d’honneur En sa qualité de policier du village, le Vieux reçut, du temps de la colonisation, un Mozhazni venu chercher des résistants en fuite. Il le rabroua en lui signifiant sèchement que les fuyards n’étaient pas au village, et en informa les concernés qui continuèrent à vivre en toute quiétude. Après s’être délecté de ce souvenir qui lui était cher, Bouchaib alla tendre un piège pour attraper des lièvres. Le lendemain, il en rapporta deux et somma sa femme d’offrir un peu de viande à une vieille voisine.Avant de dormir, il dit à sa femme que le lendemain, deux boeufs seraient sacrifiés à la mosquée, et lui parla d’un rêve qui hantait ses nuits. Chapitre 3; Le rêve lancinant Cette nuit-là, le sommeil du Vieux est troublé par le même rêve: il tombait du haut d’un amandier qu’il grimpait.Le matin, il se rendit, en compagnie du boucher et d’un vieillard vénérable, à “la Mosquée haute” où régnait une ambiance de fête qui se déroulait dans un rituel mémorable. Chapitre 4: Le souvenir douloureux de l’occupation française Le Vieux décrivit la fête du sacrifice des deux boeufs à sa femme qui apprécia lequartier de viande qu’il avait rapporté. En buvant le thé et en fumant, il se rappelal’histoire du Maroc sous l’occupation française et les circonstances qui l’avaientconduit à s’installer définitivement dans le village: il avait fui les villes meurtrières etmisérables pour s’établir dans le giron des montagnes où régnaient la quiétude et lasécurité. 1I y passait son temps à jardiner et à planter des arbres fruitiers, entourant degrands soins les oiseaux qui nichaient dans ses arbres et picotaient ses fruits. Il étaitdevenu l’ami des oiseaux; aussi les gens le prenaient-ils pour un saint ou un magicien.Tout en mangeant les amandes grillées et en sirotant le thé, Bouchaïb parla à sa vieilleépouse du passé colonial en en faisant le procès. Après, il s’endormit pour faire lasieste; mais ne tarda pas à se réveiller en sursaut à cause du rêve qui le persécutait.Il se remit à fumer et à boire le thé en contemplant la montagne où la chasse dumouflon était une entreprise à haut risque pour des chasseurs peu aguerris. Et de serappeler ses anciennes parties de chasse en compagnie d’amis, dont certains avaientété des bandits qui pillaient les campagnes,Après le retour de la Vieille, qui était allée donner à manger et à boire aux bêtesqu’elle affectait, il lui parla d’une scolopendre (mille-pattes venimeux des régionsméditerranéennes et tropicales, dont la première paire de pattes est transformée encrochets à venin) logeant dans les fentes du plafond et d’un serpent dans le réduit del’âne, en affirmant qu’ils ne représentaient aucun danger pour eux.Ils conversèrent un long moment des rapports entre les bêtes et les hommes et de leur familiarité avec les bêtes. La femme en vint à se désoler de l’absence de progéniture,Searched mais son mari la consola en lui citant les noms de prophètes et de rois qui n’avaientpas d’enfants. Chapitre 5: La modernité envahissante Les deux vieux assistaient à la modernité envahissante qui gagnait du terrain chaquejour. La première maison de béton, dont le propriétaire est un Casablancais, apparut àproximité du cimetière, au lendemain de l’indépendance. Des pistes furent aménagéeset des voiturent les sillonnèrent. Les anciennes maisons se ruinaient graduellement,surtout celles qui trônaient au sommet de la montagne. Des pompes d’eau firentirruption dans le uploads/Geographie/ il-etai-une-fois.pdf

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