Le culte de l'épée - Liste des épées légendaires. Angurva, l'épée magique de Fr
Le culte de l'épée - Liste des épées légendaires. Angurva, l'épée magique de Frithjof dans la mythologie nordique. Son nom signifie « le ruisseau de l'angoisse ». Elle porte des runes sur sa lame qui brillent fortement en temps de guerre et moins en temps de paix. Angurvadel est l'épée de Thorstein dans la Þorsteins saga Víkingssonar. Blutgang, épée de Hieme dans la saga de Thiðrek. L’épée de vie de Freyr, qui avait le pouvoir de combattre seule. Tyrfing, l'épée maudite possédée par Svafrlami dans la mythologie nordique. Balmung est l'épée de Siegfried dans la Chanson des Nibelungen. Gram, épée de Siegfried dans la mythologie nordique, grâce à laquelle il tue le dragon Fáfnir. On l'appelle aussi Balmung. Hrotti, une des épées du trésor du dragon Fáfnir que Siegfried prend comme butin, après l'avoir tué. Ridill, une des épées du trésor du dragon Fáfnir que Siegfried prend comme butin, après l'avoir tué. Dyrnwyn est l'épée du roi écossais Rhydderch Hael et l'un des Treize trésors de l'île de Bretagne (en) dans la mythologie celtique (600 après J-C). Hrunting, l'une des deux épées magiques de Beowulf. Næglind/Nægling, l'une des 2 épées magiques de Beowulf. Orna, l'épée de Tethra, un des chefs des Fomoires, et l'archétype des « épées chantantes », dans la mythologie celtique irlandaise. Dans le Lebor Gabála Érenn (Le Livre des Conquêtes de l'Irlande), elle est dérobée par Ogmios, un des Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana, après la seconde bataille de Mag Tuired (Cath Maighe Tuireadh). Skofnung (en), l'épée de Hrólf Kraki, roi de Danemark, serait habitée par l'âme de ses douze gardes du corps, les berserks, et aurait été volée dans son tertre funéraire par des Islandais quelques siècles plus tard. - Excalibur. Caladbolg / Calacholg, épées magiques de Fergus Mac Roeg dans la mythologie celtique irlandaise. Son nom signifie « Dur tranchant ». C'est une épée de lumière qui inflige des blessures mortelles à ses ennemis, ce pourquoi on l'appelle aussi Claíomh Solais, ce qui signifie « épée de lumière » en irlandais. Elle fut amenée par les Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana et constitue l'un de leurs trésors avec Fragarach. La présence de Caladbolg dans plusieurs mythologies explique pourquoi elle porte autant de noms différents. Elle s'appelle aussi Caledfoulch ou Kaledfoulc'h, qui signifie « dur éclair », et prendra le nom de Kaletfwlch, en gallois et deviendra Excalibur dans la légende arthurienne. La Dame du Lac l'appelle Caliburn dans la légende arthurienne. - Claíomh Solais, l'épée de Nuada, du dieu celtique Nuada. Elle fait partie des cinq talismans apportés par les Tuatha Dé Danann en Irlande. D'après la légende, elle pouvait trancher le fer et l'acier, elle était infaillible et ses blessures étaient mortelles. Elle luisait en permanence d'une lueur blanche, ce qui lui valut le nom de Claíomh Solais (Épée de Lumière en irlandais). Elle était réputée si tranchante que les corps s'ouvraient spontanément en deux pour l'accueillir. Au moment de frapper l'ennemi, elle se transformait en arc-en-ciel. Aujourd'hui, nous la connaissons plutôt sous le nom d'Excalibur, épée magique ayant appartenu au Roi Arthur. - Fragarach, l'épée de Manannan Mac Lir (Lir «océan»; dieu-guerrier), gardien de l'île de Man, dans la mythologie celtique irlandaise. Manannan conduit son char sur les flots et dans les plaines, et son bateau se manœuvre seul. Nul ennemi ne peut survivre à ses morsures. Elle constitue l'un des trésors des Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana avec Caladbolg. - Le culte des épées scandinaves. L'idée étant de reconnaître les objets sacrés vikings ou scandinaves pour ce qu'elles sont. Ce qui ressemble à une croix a mieux de représenter une épée symbolique, anthropomorphique et vivante. Le cercle solaire est la force de l'épée-âme, son casque. La chaîne est la force de "l'esprit guerrier", la foi en l'épée. L'épée est très souvent couplé au dragon, la bête qui surgit de l'ombre, vaincu. L’entrelacs est l'indivisible, ou invincible force qui s'établit en terre; autrement les nœuds difficiles à couper du dragon. La pointe est rarement présente, on doit supposer qu'elle est plantée en terre. Les Hautes-Croix sont le fond évangélisant de ces mêmes monuments réaffectés à des croix chrétiennes. - Les pierres runiques de l'île de Man. Le transept nord de l'église de Michael expose plusieurs croix de pierres datées du VIIe au XIe siècles. On connaît le nom d'un des sculpteurs : il s'agit d'un certain Gaut Bornson (milieu du Xe siècle). La croix du dragon (image droite) sculptée au XIe siècle est considérée comme une des plus belles de l'île de Man. Des deux côtés de la croix on aperçoit un dragon qui se mêle aux entrelacs de la croix. Sur la «Croix de Gaut» (image gauche) un texte court le long de la sculpture : "Mael Brigde fils d'Athakan le forgeron a érigé cette croix pour sa propre âme [et celle de] la femme de son frère. Gaut l'a faite, comme toutes sur Man". (Encore ici, avant l'évangélisation du XIIe siècle, n'est-ce pas la foi en l'épée, une image de l'âme. Le chrétien prie Dieu de le sauver plutôt que son âme. L'axe ressemble à une colonne vertébrale.) - Comparer avec un pommeau d'épée scandinave. [Museum of Scotland, Viking sword hilt, 9th century, from Kildonnan, Eigg] - Comparer une épée scandinave du VIIe siècle. [1] Épée probablement votive. La pointe est arrondie et l'échine sont telles que sur les croix runiques. La croix au centre de la lame est anthropomorphique, formant à son tour une épée-âme. La tête regarde vers le pommeau ou le ciel, le corps est allongé comme une lame, et le bas du corps et ses jambes sont un pommeau tout au bas. 1 Detail of scabbard from warrior sword, 7th century, "The Vikings Begin" exhibit, Nordic Museum, Seattle, Washington, U.S. Swords were described as coming from "Valsgärde boat graves 5 & 7" https://commons.wikimedia.org/w/index.php?title=File:The_Vikings_Begin_57_- _warrior_sword,_7th_century.jpg&oldid=689956267 - Uppland 164, du XIe siècle à Taby, en Suède, par exemple n'aurait pas présenté la croix inversée. Les pierres runiques par exemple évoquent souvent un dieu non nommé. «Jarlabanke a fait élever ces pierres à sa propre mémoire durant sa vie, et a fait bâtir ce pont pour son esprit, lui qui possédait seul tout Tábýr. Puisse Dieu aider son esprit.» - Östergötland Side A of runestone Ög 81 (image de droite). On peut aussi deviner l'épée vers le haut (souligné ici). La garde varangienne ou varègue apparurent en 839 quand l’empereur byzantin Théophile négocia avec eux pour obtenir des mercenaires pour son armée. «The runestone commemorates Özurr, one of the first Varangians who is known to have died in the service of the Byzantine Emperor, and he is estimated to have died around 1010, or in the late 10th century. "Þorgerðr(?) raised this stone in memory of Ôzurr, her mother's brother. He met his end in the east in Greece."» - Croix carrée. La croix carrée à branches égales peut représenter un masque de face, et une couronne solaire plutôt sous la forme d'un casque. Plus spécifiquement, c'est la voile du navire. Le centre circulaire pouvant désignant l’inviolabilité. - Södermanland 164. Cette pierre runique se trouve à Spånga (nord de Stockholm en Suède) et comporte des runes diverses. L'ornementation représente un navire dont le mât est une croix stylisée. Elle fut érigée à la mémoire d'un homme qui prit part à une expédition à l'ouest où il a été enterré, et renvoie à lui héroïquement en vers allitératifs ou en prose. Cette pierre runique est attribué à un dénommé Traen, maître des runes. "Guðbjôrn (et) Oddi, ont érigé cette pierre en mémoire de Guðmarr, leur père. Celui qui est mort était un vaillant membre d'équipage d'un navire ; il est (maintenant) inhumé dans l'ouest". Södermanland 65 (photo ci-joint). Avec une même sorte de croix carrée que So 164. «Inge a fait élever cette pierre en mémoire d'Oleif, son.... Il est parti labourer avec sa proue dans l'est, et a rencontré son destin dans le pays des lombards» Autre pierre runique, origine inconnue, en forme d'épée et portant les cornes. - Comparer. Les cornes d'or de Gallehus du Ve siècle sont découverts en 1639 et 1734 à Gallehus, dans le Sud Jutland au Danemark. Les cornes originales ont été volées en 1802, mais des copies fidèles ont pu être réalisées et sont exposées au Musée national du Danemark à Copenhague. - Uppland 1016. Ici la croix a encore la forme d'une épée, à défaut de quoi elle aurait la forme peu probable d'une croix ankh. "Ljótr the captain erected this stone in memory of his sons. He who perished abroad was called Áki. (He) steered a cargo-ship; he came to Greek harbours; died at home ... ... cut the runes ..." - Premier Sac de Rome (410) par Alaric. 407 : abandon de la province de Bretagne par les troupes romaines. Fin 409, Alaric assiège Rome et contraint le sénat à décider la déchéance d'Honorius et à proclamer Attale comme Auguste. Le sac de Rome a lieu du 24 au 27 août 410. Les Wisigoths conduits uploads/Geographie/ une-fresque-templiere-du-roi-arthur-a-travers-le-cinema.pdf
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- Publié le Jui 28, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
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