FRANÇAIS B1 EXEMPLE D’EXAMEN Candidat ID: Date: Lisez attentivement: • Vous dis

FRANÇAIS B1 EXEMPLE D’EXAMEN Candidat ID: Date: Lisez attentivement: • Vous disposez de 180 minutes pour compléter l’examen. • Tous les items ont la même valeur. • Lisez les consignes attentivement. • Complétez l’information demandée. • Écrivez au stylo noir de préférence. • Remettez tous vos papiers au surveillant à la fin de l'examen. Expression orale Expression écrite Compréhension orale Compréhension écrite Total 25 25 25 25 100 EXEMPLE D’EXAMEN – NIVEAU B1 Compréhension écrite Exercice 1. Lisez ce texte sur un établissement qui aide les enfants en difficulté d’apprentissage et répondez aux questions 1-10 par une réponse courte entre 1 et 7 mots comme dans l’exemple 0. Contre le décrochage scolaire, une initiative qui redonne goût aux études. Dans cet établissement de Meudon (92) qui accueille des collégiens de 13 à 16 ans en décrochage scolaire, les professeurs font bien plus qu’enseigner. Ils redonnent confiance à ces jeunes et les aident à construire leur avenir. A première vue, cette classe ressemble à toutes les autres. Des cartes de géographie et des tableaux de conjugaison pendent, accrochés au mur. Tables et chaises sont alignées par rangées, les élèves répondent avec intérêt aux questions de leur professeur. L’enseignant, Matthieu Laurent, est aussi leur directeur. Sa leçon du jour : le décryptage d’un film d’animation japonais, « Le tombeau des lucioles ». L’occasion d’un rappel historique sur l’attaque de Pearl Harbour et d’une analyse détaillée de l’œuvre, l’histoire des arts figurant au programme du brevet des collèges à la fin de l’année. Une heure de vie scolaire apparemment banale, donc. Pourtant, les dix-sept élèves de cette classe de 3e reviennent de loin. Ils ont en commun d’être fâchés avec l’école, d’avoir grossi les rangs de ceux qu’on appelle les décrocheurs. « Avant d’arriver chez nous, ils étaient tous en échec depuis longtemps, entre six mois et deux ans, résume Matthieu Laurent. Ils se réconcilient lentement avec l’institution ». Ce lieu qui panse les plaies de collégiens en grande difficulté s’appelle le DSEO (Dispositif de soutien éducatif et d’orientation). Géré par les Apprentis d’Auteuil, il est situé dans l’enceinte du village Saint- Philippe, vaste domaine de 13 hectares bâti à la fin du 19e siècle sur les hauteurs de Meudon, dans les Hauts-de-Seine. Créé en 2009, le DSEO accueille 65 jeunes par an, répartis en quatre classes de 4èmeet 3ème. Les profils sont variés, dans un souci de mixité. Certains adolescents sont suivis par l’Aide sociale à l’enfance, d’autres vivent chez leurs parents. Plusieurs ont été happés par la rue ou le quartier, flirtent avec la délinquance. Les filles ne représentent qu’un quart des effectifs. Tous sont là sur la base du volontariat. « Avant leur admission, je les reçois avec leurs parents ou leur travailleur social, explique le directeur. L’implication des familles est essentielle, notre rôle consiste aussi à les légitimer, à les faire bouger en même temps que leur enfant. Tous ensemble, on mûrit un projet individuel ». L’emploi du temps est aménagé pour optimiser les apprentissages : remise à niveau scolaire le matin, sorties culturelles et ateliers professionnels (en horticulture, menuiserie et stylisme) l’après-midi. Au nombre de six, les enseignants créent eux-mêmes leurs cours, sans le support de manuels scolaires. « On mise sur la participation orale, on fait une croix sur les devoirs à la maison, on dialogue beaucoup en classe, explique Cécile Paillé, professeur principale. Entre les élèves et nous, il y a une phase d’apprivoisement mutuel. Les premiers résultats se font sentir à la Toussaint ». Par Charlotte Fouilleron Source: Femme Actuelle le Mag. EXEMPLE D’EXAMEN – NIVEAU B1 0 Quel âge ont les enfants qui vont dans cet établissement de Meudon ? Entre 13 et 16 ans 1 Comment sont disposées les tables et les chaises dans la salle de classe ? 2 Quelle ressource utilise le professeur pour apprendre l’histoire à ses élèves ? 3 Qui sont ces élèves appelés « décrocheurs » ? 4 Où se trouve cet établissement de Meudon ? 5 Depuis quand cet établissement existe-t-il ? 6 Combien de classes propose le collège ? 7 Quelle est la proportion de filles dans cette école ? 8 Qui participe à la construction du projet éducatif pour chaque enfant ? 9 Quelles branches professionnelles peut-on y suivre ? 10 Combien d’enseignants y a-t-il ? 10 EXEMPLE D’EXAMEN – NIVEAU B1 Exercice 2. Lisez le texte sur la cigarette électronique et complétez les phrases 1-10 en cochant l’option correcte a, b ou c comme dans l’exemple 0. Remplissez la grille avec vos résultats. Les cigarettiers lancent leur propre cigarette électronique. Les industriels de la cigarette tentent de résister à l’invasion de l’e-cigarette en lançant leur propre produit. Camel et Winston lancent des capsules de tabac en France. La contre-attaque des géants du tabac s’accélère contre l’e-cigarette. Fragilisés par la baisse des ventes de cigarettes traditionnelles en raison de la multiplication des interdictions et de la hausse des taxes surtout dans les pays occidentaux, les cigarettiers tentent de reprendre la main. Ainsi, Japan Tobacco International qui exploite les marques Winston et Camel vient de lancer sa propre cigarette électronique. Mais à la différence des e-cigarettes déjà existantes sur le marché, celle-ci ne fonctionne pas avec du liquide aux extraits de nicotine mais bien avec du vrai tabac. C’est sous forme de capsule de tabac que se recharge cette innovation baptisée « Ploom ». Sans flamme, la capsule de tabac n’est pas brûlée mais chauffée et serait donc moins nocive que les cigarettes traditionnelles. Selon Japan Tobacco international (JTI) « une vapeur discrète » se crée en chauffant ainsi les capsules de tabac à usage unique. Plusieurs goûts sont proposés. Une capsule permettrait de vapoter environ dix minutes et équivaudrait à deux cigarettes. Ploom taxé à 80 % Ce produit est donc lancé en France et en Italie après un premier test en Autriche. Et JTI espère créer un nouveau modèle économique autour de la cigarette en s’inspirant du succès des capsules de café. Mais à la différence des e-cigarettes classiques, Ploom reste du tabac et donc taxé à 80 % avec interdiction de publicité et avertissement sanitaire de rigueur. Le prix de vente s’affiche à 33,90 euros et les boîtes de douze capsules (soit 24 cigarettes) qui l’accompagnent sont à six euros. Un prix qui équivaut à celui du tabac mais qui reste bien plus cher que les recharges de liquide. Ploom n’est distribué que chez les buralistes de la région parisienne dans un premier temps avant d’être étendu à toute la France. Cette réaction de l’industrie du tabac suffira-t-elle à porter un coup d’arrêt à l’explosion de l’e-cigarette ? Difficile quand on dénombre une nouvelle boutique tous les trois jours en France. à la fin de l’année, elles seront 2500 ! Mais d’ici quelques mois, tous les géants du tabac auront lancé leur produit substitutif à la cigarette traditionnelle : Philipp Morris prépare un e-cig alors que Lucky Strike vient de lancer Vype en Angleterre. Marlboro se lance dans le vapotage Début février le groupe Altria, anciennement Philip Morris qui produit les cigarettes, Marlboro a racheté pour 100 millions de dollars Green Smoke, un fabricant de cigarettes électroniques opérant aux États-Unis et en Israël. Cette petite société créée en 2008 réalise trente millions d’euros de chiffre d’affaires par an en vendant des e-cigarettes et des recharges. G.B. Source: LADÉPÊCHE.fr EXEMPLE D’EXAMEN – NIVEAU B1 0. Les industriels de la cigarette lancent … a) un produit différent. b) un produit à eux. c) un produit ancien. 1. La vente des cigarettes traditionnelles … a) a diminué. b) est la même. c) a augmenté. 2. La cigarette électronique des marques Winston et Camel contient … a) du liquide avec de la nicotine. b) du véritable tabac. c) un mélange de tabac avec du café. 3. Une autre caractéristique de Ploom est que la capsule est … a) brûlée. b) chauffée. c) réutilisée. 4. Ploom est commercialisé par … a) Altria. b) Philipp Morris. c) JTI. 5. Cette cigarette a été lancée … a) dans quelques pays européens. b) dans tous les pays européens. c) au Japon et en France. 6. On peut faire la publicité de cette cigarette … a) sur Internet. . b) partout. c) nulle part. 7. Comparée aux e-cigarettes à recharge liquide, elle est … a) aussi chère. b) plus chère. c) moins chère. 8. Pour le moment, on peut trouver ces cigarettes … a) dans la France entière. b) uniquement à Paris. c) à Paris et sa région. 9. On ouvre un établissement qui vend des e-cigarettes … a) tous les jours. b) tous les trois jours. c) chaque semaine. 10. Les géants du tabac auront tous leur produit substitutif à la cigarette traditionnelle … a) dans plusieurs mois. b) début février. c) à la fin de l’année. 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 b 10 EXEMPLE D’EXAMEN – NIVEAU B1 Compréhension orale Exercice 1. Écoutez deux fois ce document sonore sur Steve qui nous parle de son travail et complétez les phrases 1-9 en cochant l’option uploads/Industriel/b1-francais.pdf

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