Les jeunes boivent comme des trous. Ce n'est pas tant qu'ils consomment réguliè

Les jeunes boivent comme des trous. Ce n'est pas tant qu'ils consomment régulièrement mais ils rechercheraient de plus en plus l'ivresse, qu'importent les flacons. Le truc qui monte, c'est donc cette « consommation de la défonce », de jeunes gens par ailleurs souvent très sobres en semaine, dans les soirées de beuverie. Les alcooliers, à l'affût, l'ont bien compris. Whisky-cola ou vodka-pomme, avec packaging fun et accrocheur, et par ici la monnaie. L'heure est à l'ivresse rapide, qui conduit à la prostration et au sommeil profond. Pourquoi cette tendance ? Il y a quelques années, des chercheurs disaient en langage savant que les jeunes étaient d'abord motivés par « la découverte des vertus d'oubli et de dédoublement de soi par l'alcool », une façon d'éprouver son corps et son esprit comme n'étant pas à soi, autorisant des « inconduites » corporelles et morales. Des études européennes révèlent des ivresses six à huit fois plus fréquentes au Danemark et en Grande-Bretagne que dans l'Hexagone... Il est tentant de rapprocher cette constatation de celles consignées par une sociologue ayant ausculté quatre jeunesses européennes : danoise, anglaise, française et espagnole. À l'heure où la période qualifiée de « jeunesse » paraît s'allonger, où l'âge adulte perd de sa stabilité, la sociologue a identifié quatre modes d'entrée dans la vie adulte, liés au contexte social. Au Danemark, on se cherche et on se trouve avant d'être adulte. En Grande- Bretagne, on s'assume et s'émancipe rapidement, après des études autofinancées. Ces deux modèles frappent par la décohabitation familiale précoce (avant 20 ans) qu'ils exposent. À l'opposé, en Espagne, partir de chez ses parents implique qu'on ait d'abord trouvé un emploi, une femme ou un mari, puis un logement. En France, les jeunes vivent dans un entre-deux : une volonté, certes, d'être, mais tout en maintenant une dépendance parentale (notamment financière). Tout cela avec en tête de « se placer ». Car, tout est misé, investi sur le diplôme et la formation initiale, qui détermine de façon quasi définitive le statut social. Boire, en ce sens, permet inconsciemment à certains de l'oublier, tout en se rapprochant des Danois qui se cherchent et des Britanniques qui s'émancipent. D’après Le Monde La tendance actuelle de consommation d’alcool chez les jeunes se caractérise par A. L’importance donnée aux marques et types d’alcool consommés. B. Une consommation occasionnelle mais en grande quantité. C. Une consommation régulière mais en quantité modeste. D. La constante recherche des prix les plus bas. À travers l’ivresse, les jeunes chercheraient à A. Faire comme les autres pour s’intégrer socialement. B. se sentir plus à l’aise et plus sûrs dans leurs agissements. C. marquer leur entrée contrariée dans le monde des adultes. D. se permettre des actes qu’ils ne feraient pas en état de sobriété. Selon l’article, A. Les Espagnols ont des responsabilités familiales très rapidement. B. les Danois et les Anglais ont moins d’inhibitions que les Espagnols. C. les Danois et les Anglais quittent plus rapidement le cocon familial. D. les Espagnols ont moins de libertés que les jeunes Danois et Anglais. L’alcoolisme chez les jeunes Français pourrait s’expliquer par A. la volonté d’oublier la pression sociale liée au futur emploi. B. une profusion de marques d’alcool à destination des jeunes. C. la nécessité de compenser des études trop lourdes et fatigantes. D. le souhait de s’émanciper d’une trop grande dépendance familiale. Vivre en forme plus longtemps Nous restons plus actifs en prenant de l'âge que ne l'étaient nos parents. …. (9) . … chercheurs et médecins ont quelques pistes pour nous aider à vieillir moins vite et en meilleure forme. Quel âge a notre corps ? …. (10) .… on vieillit, et cela commence bien avant qu’on ne le voie. « À partir de 18- 20 ans », assure un gériatre de renommée internationale. …. (11) .… le vieillissement ne doit pas être vu comme un mécanisme de dégénérescence, mais comme une affaire de régénération de cellules. « Le corps est un chantier en continuelle construction-déconstruction », explique un professeur d’une université belge. …. (12) .… avec ses unités de production, nos 60 000 à 100 000 milliards de cellules. Chacune d’elles est chargée de fabriquer des protéines spécifiques selon l’endroit où elles se trouvent. …. (13) .… c’est de se dédoubler pour assurer la pérennité de notre matériel génétique, perpétuant ainsi le chantier de construction- déconstruction. D’après Ça m’intéresse (9) A. Impassibles devant ce constat, B. Malgré leurs différents travaux, C. Sans parler de produit de jouvence, D. Persuadés de l’inexactitude de ce propos, (10) A. On n’y fait rien, B. On n’en sait rien, C. On n’y peut rien, D. On n’y comprend rien, (11) A. Il précise en revanche que B. Il s’oppose en effet à l’idée que C. Il met également en doute le fait que D. De même, il s’attache à contester que (12) A. Le corps obéit à une stricte hiérarchie, B. Le corps est à l’image d’un inventaire, C. Notre corps ne répond à aucune logique, D. Il faut imaginer notre corps comme une grosse usine, (13) A. L’autre rôle des cellules, B. La difficulté de notre organisme, C. La défense du système immunitaire, D. Le résultat de cette réaction chimique, Ecovolontariat La nature et les animaux sauvages vous passionnent ? L’écovolontariat est pour vous ! Des actions, telles que le nettoyage d’une plage ou le sauvetage d’oiseaux blessés, connaissent un succès fulgurant. Mais lorsqu’on s’engage dans une telle action, mieux vaut bien se renseigner avant ! En effet, certains organismes, sous prétexte de préserver la nature, proposent des missions qui ne visent qu’une participation financière. D’autres organismes proposent des activités qui ne correspondent pas à la réalité. Ils promettent aux futurs bénévoles qu’ils vont soigner des animaux sauvages, alors qu’en fait ils ne feront que nettoyer leurs cages, sans jamais les voir. Pour éviter les mauvaises surprises, un site Internet met en contact les écovolontaires motivés avec des associations sérieuses. Pas besoin d’être un expert en environnement pour se lancer et trouver une mission adaptée à ses envies et disponibilités ! L’écovolontariat permet de se sentir utile et d’en apprendre beaucoup sur les animaux et les plantes. D’après Maxi Cet article a pour but A. d’inciter les écovolontaires à s’informer avant de s’engager. B. de présenter les organismes spécialisés dans l’écovolontariat. C. d’alerter les écovolontaires sur les situations les plus urgentes. D. de recenser les missions les plus efficaces de l’écovolontariat. Il met en garde contre A. les pratiques abusives de certaines associations. B. le manque de formation des volontaires concernés. C. les dépenses liées à la protection de l’environnement. D. les nombreuses erreurs dans la sélection des bénévoles. Passer par Internet aiderait à A. trouver un organisme honnête. B. bénéficier de conseils de spécialistes. C. enrichir ses connaissances sur la nature. D. se spécialiser dans les sciences naturelles. Historienne de formation et passionnée de littérature, Isabelle Van Debruck a commencé par envoyer des dizaines de lettres aux grands éditeurs. Sans résultat. "Je ne me suis pas démontée mais j'ai compris que je devais changer de méthode", explique cette brunette de 26 ans. Originaire de Bruxelles, elle s'est donc mise à prospecter dans cette ville. Un matin, elle débarque, dossier de candidature sous le bras, aux Editions Janssens et demande à voir le directeur. "C'est mon expérience de baby-sitter qui a retenu son attention : il cherchait quelqu'un pour s'occuper de ses trois enfants !", raconte Isabelle. Elle a accepté la proposition pour se faire un peu d'argent. Et, lorsque son "employeur" a évoqué devant elle un projet de revue locale, elle lui a rappelé ses dispositions pour l'écriture et l'histoire. Gagné : d'abord embauchée comme stagiaire, Isabelle a travaillé d'arrache-pied et a fini par signer un contrat. Ce texte raconte l'histoire A. d'une jeune journaliste. B. d'une jeune fille au pair. C. d'une auteur pour enfants. D. d'une jeune diplômée en littérature. Au début de sa recherche d’emploi, Isabelle A. ne voulait travailler qu’à Bruxelles. B. a écrit à de nombreuses maisons d’édition. C. a employé plusieurs méthodes sans succès. D. voulait travailler dans une bibliothèque historique. On apprend qu’elle A. a envoyé un dossier aux Editions Janssens. B. s'est présentée d'elle-même aux Editions Janssens. C. a été convoquée par le directeur des Editions Janssens. D. a proposé au directeur des Editions Janssens de devenir sa baby-sitter. Le texte insiste sur le fait qu’Isabelle A. a négocié un bon salaire. B. a dû beaucoup travailler. C. est aujourd'hui à la tête des Editions Janssens. D. a continué à faire du baby-sitting pendant son stage. Alerter les consommateurs sur les conséquences de la contrefaçon. Tel est le but du projet baptisé « Contrefaçon danger » que vient de lancer le gouvernement contre ce qu’il qualifie de « crime économique et social ». Elle sera basée sur l’affichage de panneaux dans les villes et sur la diffusion de spots à la radio. Le gouvernement estime à 6 milliards d’euros le montant annuel du manque à gagner pour l’État en raison du marché du faux. Selon le comité uploads/Ingenierie_Lourd/ cenouveaux-textes-longs-avec-question-exercice.pdf

  • 15
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager