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nouvelle 3ibuothe9ucjVatiûnale - 19 iouLei/arcL ^ontinçcrÔre J^œn's •pMSJjO£J{r DSJA CûMMJSSJû/^ ^//^/r/'c» «<* d -/<y>*-t «9- / "--^«-^ ^^ <i>t.^^ot.^^ <3«:.**-t< ^ C^C^^/ÙjtA^ x- ^^ CONCOURS DE LA L75i?^ P^i? MEMOIRE SUR LES MOYENS PRATIQUES D'ARRIVER A L'ANÉANTISSEMENT DE LA PUISSANCE JUIVE EN FRANGE IL PLEUT SUR LE TEMPLE L'Aryen brise les chaînes qui le tenaient captif du Juif et du Franc-Macon. ConeouK de la Iiibi^^e Pat^ole SUR LES MOYENS PRATIQUES d'aRRIVER A L'ANÉANTISSEMENT DE LA PUISSANCE JUIVE EN FRANGE RÉPUBLIQUE PLÉBISCITAIRE MÉMOIRE DE M. A.-J. JACQUET Hédacteur au Bordeaux-Journal et à C Union Nationale de Bordeaux 1er Prix : Médaille d'or PRÉCaÉDÉ DU RAPPORT SUR LE CONCOURS ET d'un Par m. E. Rouyer, Ingénieur Président de la Commission -r-vû/<3'«*e&Ka*''î>.û^—- PARIS NOUVELLE BIBLIOTHÈQUE NATIONALE 19, BOULEVARD MONTMARTRE. 19 Tous droits réservés OUVRAGES EN PREPARATION : Etude sur la vraie République, 1 volume, par A.-J. Jacquet. Solution de la Question Juive pour la France et tous les pays du monde, 1 volume, par Marie- Joseph-Frangk. — Médaille d'or au Concours de la Libre Parole. Etude et solution de la Question Juive, une bro- chure, par A. DuvAL. — Médaille d'or au Gon~ cours de la Libre Parole. Excellente petite brochure de propagande. L'Esprit de la Révolution, brochure par A. Dcval. DÉJÀ PARUS : Race de Vipères, par Puig, un volume, 3 fr. 50. Ire MÉDAILLE DE VERMEIL au concoui'S de la Libre Parole. Ce volume contieiit une étude fort complète de la psychologie Juive et démontre l'i^isociahilité absolue du Juif Talmudiste. Le Péril Judéo-Maçonnique, un volume, 3 fr. 1er Prix ex œquo. PREFACE Celui de nos souvenirs d'écolier, qui s'est le plus profondément gravé dans notre mémoire, est celui cfui a trait à la découverte de la planète Neptune, par Leverrier,en 1846. Depuis deux tiers de siècle Herschel avait découvert la planète Uranus; cet astre était un véritable casse-tête chinois, pour les astronomes, en raison des irrégularités de sa marche, à travers les espaces, irrégularités que personne ne pouvait s'expliquer. A la périodicité, qu'affectaient ces irrégularités de marche, Leverrier conclut à l'existence d'une cause agissant périodiquement sur la marche d'Uranus. A travers les espaces célestes, les causes de perturbations ne sauraient être très variées, cel- les-ci ne pouvaient être dues qu'à un phénomène d'attraction produit par un astr'e, encore inconnu, et qui devait se trouver le plus près d'Uranus, au moment du maximum d'écart que donnait la marche de cette planète, comparé à son orbite normal. Partant de cette hypothèse, Leverrier, qui était un calculateur émérite, détermina, d'après les données que lui fournissaient les irrégularités de marche d'Uranus, quelle devait être à un moment donné, la position de l'astre hypothétique auquel il attribuait les perturbations d'Uranus. 495733 YI PREFACE Ses inductions étaient tellement justes, ses calculs étaient tellement exacts, qu'un astronome Prussien, braquant son télescope dans la direction déterminée par le Directeur de l'Observatoire Français, découvrit la planète inconnue, dont Le- verrier avait déterminé l'orbite, la marche, la masse. Appliquant cette méthode d'induction aux phé- nomènes historiques, dont les historiens ne donnaient point des explications à notre satis- faction, nous sommes arrivés à un résultat ana- logue à celui de Leverrier. Lorsque nous réfléchissions aux troubles qui ont bouleversé la France, au siècle dernier, nous nous disions qu'il était impossible de les attribuer aux abus que l'histoire officielle nous enseigne avoir été la cause de la Révolution. A cette fin du dix huitième siècle les moyens de •communication étaient fort difficiles et très lents; les provinces avaient conservé leurs mœurs et leur tempérament particulier, fort différents les uns des autres; les abus, dans diverses contrées •qui constituaient la France, affectaient des for- mes et des intensités fort diverses. Et, du reste, après la nuit du quatre août, il ne restait plus grand chose de ces fameux griefs qui auraient été les seuls responsables du cataclysme social, si l'on en croit les historiens. Dans ces conditions-là, nous n'avons jamais pu nous expliquer, par ces abus, la simultanéité, l'universalité et la similitude qui caractérisent, sur tous les points de la France, l'explosion de 1789-1793. De même, si nous considérons les événements -de 1848, époque à laquelle presque tous les trônes de l'Europe furent, en même temps, si fort ébran- PRÉFACE VII lés qu'on poussait s'attendre à les voir tous som- brer dans la tourmente ; et si nous considérons les difficultés de communications qui existaient encore en Europe à ce moment-là, nous ne pou- vons nous expliquer, par des abus plus ou moins hypothétiques, la tourmente du milieu du dix- neuvième siècle. Il y avait donc, à ces événements, une cause cachée qui a échappé aux historiens qui ont écrit l'histoire. Tous, cependant, n'étaient pas dans la même ignorance, car Louis Blanc avait déjà signalé cette cause perturbatrice. Mais les historiens, officiellement considérés comme les seuls véridiques, n'avaient point pris au sérieux l'explication donnée par Louis Blanc. Nous ne partageâmes point cette indifférence générale, au sujet de la cause signalée par Louis Blanc. Il n'en administrait point à la vérité la démonstration rigoureuse; mais, comme l'on dit •en langage du Palais, les faits, signalés par lui, étaient pertinents et admissibles, ils méritaient donc une sérieuse attention. Nous fûmes servis par les circonstances, et sans doute par la Providence. Pendant plusieurs années, que nous consa- crâmes aux voyages, nous utilisions les loisirs de nos soirées en bouquinant. Notre attention était attirée sur les idées que nous venons d'exposer; c'est particulièrement ce qui avait trait à la Révolution qui attirait notre attention. Nous pûmes ainsi, avec de la patience, faire une cueillette abondante de documents des plus intéressants, à l'aide desquels nous pouvons jus- tifier Faffirmation de Louis Blanc et établir la VIII PREFACE part qui incombe à la Franc-Maçonnerie, dans les événements qui se sont déroulés en France de- puis plus d'un siècle. Du reste, aujourd'hui, la Franc-Maçonnerie met une certaine coquetterie à dévoiler elle-même ses agissements. Lors du Couvent du Centenaire, en 1889, deux des fils de la veuve, les plus marquants, firent un historique très complet des faits que nous avions trouvés consignés dans la très volumineuse collec- tion bibliographique que nous avons en mains. C'est précisément cette diffusion infinie de documents, dans des ouvrages qui deviennent extrêmement rares, qui rend si difficile l'étude de l'action sociale de la Franc-Maçonnerie . Cela explique que les historiens n'aient point pu suivre l'œuvre ténébreuse des Enfants cVHiram^ Ces documents sont fort incomplets dans les bi- bliothèques publiques, dont les intéressés les font disparaître chaque fois qu'ils le peuvent. A la lumière de ces documents nous avons alors pu nous expliquer, clairement, les mystères historiques dont nous ne trouvions pas la clé dans les ouvrages d'histoire officiels. L'annuaire du Grand Orient de 1789, nous montre la France couverte de 700 Loges, environ, et les lumières (1) de ces Loges se recrutent en grande partie parmi la Noblesse et le Clergé. Nous avons alors compris que la Révolution était faite ^ dès l'instant où le F.*. Negker fit consentir Louis XVI au doublement du Tiers et, où, comme conséquence, l'Assemblée substitua le vote par tête au vote par Ordre, qui avait été pra- tiqué dans les Etats Généraux précédents. (1) On appelle lumière de la Logé un digyiitaire. PREFACE IX Les députés du Tiers-lCtat étaient à peu près tous Francs-Maçons, quelques-uns de la Noblesse et du Clergé l'étaient aussi; en doublant les dépu- tés du Tiers-Etat on assurait dans TAssemblée la majorité aux Francs-Maçons. Mais il fallait, pour cela, abandonner le vote par ordre qui aurait rendu illusoire et inutile le donblement du Tiers . Dès lors, tous les actes de la Révolution por- tent la marque d'origine Maçonnique, et l'on s'explique pourquoi la Révolution poursuit son cours après la nuit du 4 août qui avait supprimé les abus. La cérémonie de réception du Roi à l'Hôtel de Ville, où il entra en passant sous la ^•o^^^e d'acier^ consacra la victoire de la Franc - Maçonnerie sur la Royauté; car la voûte d'acier est une céré- monie essentiellement et uniquement Maçon- nique. Cette suprématie fut également consacrée dans la substitution du drapeau tricolore au drapeau blanc. Le Uanc couleur Royale fut emprisonné entre le Ueu couleur de la Franc-Maçonnerie symbolique, et le rouge, couleur de la Franc- Maçonnerie écossaise. Il suffit, pour s'en convaincre, de lire le dis- cours 23rononcé, à cette occasion, par Mirabeau. Il n'est pas jusqu'à la croix des braves qui, de croix à quatre Wanclies, s'est vue transformée en, étoile à cinq bras, qui rappelle l'étoile /?am- Ifoyante maçonnique. Ces symboles de la Patrie et de l'Honneur ont été, depuis, trop souvent lavés de la tache origi- nelle dans le sang des enfants du Pays, pour que l'on puisse craindre, en rappelant leur origine, d'être accusé de déverser sur eux le mépris. X PRKFAC: L'on ne peut, dans une préface, entrer dans de bien longs développements; mais ce que nous venons de dire sera commenté et développé d'une manière suffisante, dans I'exposé dont nous avons fait précéder le Mémoire de M. A.-J. Jacquet. En étudiant l'action sociale de la Franc-Maçon- nerie, et l'organisation uploads/Ingenierie_Lourd/ jacquet-augustin-joseph-concours-de-la-libre-parole-sur-les-moyens-pratiques-d-x27-arriver-a-l-x27-aneantissement-de-la-puissance-juive-en-france.pdf

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