ELECTROMECANIQUE (F3) PREMIERE METFIP / Soutien Pédagogique Page 1 PREFACE METF
ELECTROMECANIQUE (F3) PREMIERE METFIP / Soutien Pédagogique Page 1 PREFACE METFIP / Soutien Pédagogique Page 2 SOMMAIRE PREFACE.............................................................................................................. 1 FRANÇAIS ........................................................................................................... 3 ANGLAIS............................................................................................................ 14 HISTOIRE-GEOGRAPHIE/ECM ...................................................................... 25 MATHEMATIQUES .......................................................................................... 34 SCIENCES PHYSIQUES ................................................................................... 42 CONSTRUCTION MECANIQUE ..................................................................... 53 ELECTROTECHNIQUE .................................................................................... 64 TECHNOLOGIE ................................................................................................. 78 AUTOMATISME ............................................................................................... 84 ESSAI ET MESURE ........................................................................................... 88 METFIP / Soutien Pédagogique Page 3 FRANÇAIS METFIP / Soutien Pédagogique Page 4 METFIP SUJET DE REVISION Classes :1eres G-F SUJET N°1 Matière : FRANÇAIS Durée : 4H SUJET I : Contraction de texte TEXTE: Pendant un très long temps, l’idée ne pouvait même venir à l’homme qu’il eût à user de ménagements envers la nature, tant celle-ci lui paraissait hors de proportion avec les effets qu’il était capable d’exercer sur elle. Mais voilà que, depuis quelques décennies, la situation se retourne… Par suite de la prolifération effrénée des êtres humains, par suite de l’énormité des pouvoirs qui découlent du progrès des sciences et des techniques, l’homme est en passe de devenir pour la géante nature, un adversaire qui n’est rien moins que négligeable, soit qu’il menace d’en épuiser les ressources, soit qu’il introduise en elle des causes de détérioration et de déséquilibre. Désormais, l’homme s’avise que, dans son propre intérêt, bien entendu, il lui faut surveiller, contrôler sa conduite envers la nature, et souvent protéger celle-ci contre lui-même. Ce souci, ce devoir de sauvegarder la nature, on en parle beaucoup à l’heure présente ; et ce ne sont plus seulement les naturalistes qui en rappellent la nécessité : il s’impose à l’attention des hygiénistes, des médecins, des sociologues, des économistes, des spécialistes de la prospective, et plus généralement de tous ceux qui s’intéressent à l’avenir de la condition humaine… Multiples sont, de vrai, les motifs que nous avons de protéger la nature. Et d’abord, en défendant la nature, l’homme défend l’homme : il satisfait à l’instinct de conservation de l’espèce. Les innombrables agressions dont il se rend coupable envers le milieu naturel - envers « l’environnement », comme on prend coutume de le dire – ne vont pas sans avoir des conséquences funestes pour sa santé et pour l’intégrité de son patrimoine héréditaire… Protéger la nature, c’est donc en premier lieu, accomplir plus une tâche d ‘hygiène planétaire. Mais il y a, en outre le point de vue intellectuel mais fort estimable, des biologistes qui, soucieux de la nature pour elle-même, n’admettent pas que tant d’espèces vivantes – irremplaçable objet d’études – s’effacent de la faune et de la flore terrestres…. Enfin, il y a ceux-là – et ce sont des artistes, les poètes et donc un peu tout le monde – qui, simples amoureux de la nature, entendent la conserver […] Certes, défendre la nature sur tous les fronts est chose malaisée car on se heurte à l’indifférence, à l’ignorance, au scepticisme ; et surtout l’on a contre soi plus ou moins ouvertement, tous ceux qui donnent aux convoitises personnelles le pas sur l’intérêt commun, tous ceux qui, prêts à compromettre le futur pour un avantage immédiat ne font pas objection au déluge pourvu qu’ils ne soient plus là pour y assister. E. BONNEFOUS, L’Homme ou la nature ? Questions 1- Faites le résumé ou l'analyse du texte ci-dessus au ¼ de son volume 2- Vocabulaire/ Grammaire a)- Expliquez dans le texte : funestes (… conséquences funestes) METFIP / Soutien Pédagogique Page 5 b)- Justifiez l’accord de « effrénée » dans (… la prolifération effrénée des êtres humains) 3- Discussion « Désormais, l’homme s’avise que, dans son propre intérêt, bien entendu, il lui faut surveiller, contrôler sa conduite envers la nature, et souvent protéger celle-ci contre lui-même. » Vous direz si aujourd’hui la protection de l’environnement préoccupe l’homme comme le prétend l’auteur. SUJET II : Commentaire composé TEXTE : Je rêve d’un monde Je rêve d’un monde où aucun homme Ne méprisera un autre, Où l’amour règnera sur la terre, Je rêve d’un monde où chacun Connaîtra la douce liberté Où la cupidité ne rongera plus l’âme, Où l’avarice ne consumera plus nos jours, Je rêve d’un monde où Noirs et Blancs Quelle que soit leur race, Partageront les bienfaits de la terre Où chaque homme sera libre Où la joie, comme une perle éclatante, Répondra aux besoins de tous les humains, C’est d’un tel monde que je rêve, Notre monde. Langston HUGHES, extrait de la revue "Littérature américaine". Vous ferez de ce poème un commentaire composé. Vous montrerez, par exemple, comment l’auteur condamne le racisme et toutes autres formes d’injustices entre les hommes et son rêve pour un monde de paix. SUJET III : DISSERTATION Berthelot disait ceci : « La science finira par résoudre tous les problèmes énergétiques et alimentaires que connaissent les hommes en l’an 2000». Consigne : Dans un contexte des succès qu’on attribue à la science depuis des siècles, expliquez ce propos. Ensuite vous direz si cette science mérite encore des éloges en l’an 2020 d’après une analyse critique des derniers événements ayant épinglé l’humanité entière. METFIP / Soutien Pédagogique Page 6 METFIP SUJET DE REVISION Classes : 1ere G-F SUJET N°2 Matière : FRANÇAIS Durée : 4H SUJET I : CONTRACTION DE TEXTE TEXTE : PAIX La guerre est un fruit de la dépravation des hommes ; c’est une maladie convulsive et violente du corps politique ; il n’est en santé, c’est-à-dire dans son état naturel, que lorsqu’il jouit de la paix ; c’est elle qui donne de la vigueur aux empires ; elle maintient l’ordre parmi les citoyens ; elle laisse aux lois la force qui leur est nécessaire ; elle favorise la population, l’agriculture et le commerce ; en un mot, elle procure au peuple le bonheur qui est le but de toute société. La guerre, au contraire dépeuple les Etats ; elle y fait régner le désordre ; les lois sont forcées de se taire à la vue de la licence qu’elle introduit ; elle rend incertaines la liberté et la propriété des citoyens ; elle trouble et fait négliger le commerce ; les terres deviennent incultes et abandonnées. Jamais les triomphes les plus éclatants ne peuvent dédommager une nation de la perte d’une multitude de ses membres que la guerre sacrifie. Ses victoires même lui font des plaies profondes que la paix seule peut guérir. Si la raison gouvernerait les hommes, si elle avait sur les chefs des nations l’empire qui lui est dû, on ne verrait point se livrer inconsidérément aux fureurs de la guerre. Ils ne manqueraient point cet acharnement qui caractérise les bêtes féroces. Attentifs à conserver une de qui dépend leur bonheur, ils ne saisiraient point toutes les occasions de troubler celle des autres. Satisfaits des biens que la nature a distribué à tous ses enfants, ils ne regardaient point avec envie ceux qu’elle a accordés aux autres peuples ; les souverains sentiraient que les conquêtes payées du sang de leurs sujets ne valent jamais le prix qu’elles ont coûté. Mais, par une fatalité déplorable, les nations vivent entre elles dans une défiance réciproque ; perpétuellement occupées à repousser les entreprises injustes des autres ou à en former elles- mêmes, les prétextes les plus frivoles leur mettent les armes à la main. Et l’on croirait qu’elles ont une volonté permanente à se priver des avantages que la providence ou l’industrie leur ont procurés. Les passions aveugles des princes les portent à étendre les bornes de leurs Etats ; peu occupés des biens de leurs sujets, ils ne cherchent qu’à grossir le nombre des hommes qu’ils rendent malheureux. Ces passions, allumées ou entretenues par des ministres ambitieux ou par des guerriers dont la profession est incompatible avec le repos, ont eu dans tous les âges, les effets les plus funestes pour l’humanité. L’histoire ne fournit que des exemples de paix volée, de guerres injustes et cruelles, de champs dévastés, de villes réduites en cendres. L’épuisement seul semble forcer les principes à la paix ; ils s’aperçoivent toujours trop tard que le sang du citoyen s’est mêlé à celui de l’ennemi, ce carnage inutile n’a servi qu’à cimenter l’édifice chimérique de la gloire du conquérant et de ses guerriers turbulents ; le bonheur de ses peuples est la première victime qui est immolée à son caprice ou aux vues intéressées de ses courtisans. DIDEROT, Article extrait de l’encyclopédie. QUESTIONS : 1- Faites le résumé de ce texte 2- Vocabulaire Expliquez les mots ou expressions suivants : - Les lois sont forcées de se taire - Défiance réciproque 3- Discussion METFIP / Soutien Pédagogique Page 7 SUJET : « la guerre dépeuple les Etats ; elle y fait régner le désordre » Expliquez et discutez ces propos de DIDEROT SUJET II : COMMENTAIRE COMPOSE Poème : Chez soi Aux voix qui vous disent la ville et ses merveilles, N’ouvrez pas votre cœur, paysans mes amis ! A l’appel des cités n’ouvrez pas vos oreilles, Elles donnent, hélas ! Moins qu’elles n’ont promis La cité pour son peuple en vain se dit féconde. Le pain de ses enfants est plus amer que doux, Sous un luxe uploads/Litterature/ annales-1f3.pdf
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Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Jui 09, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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