BIOGRAPHIES DES AUTEURS ET LEURS OEUVRES -BOUBOU HAMA, POETE, philosophe, histo
BIOGRAPHIES DES AUTEURS ET LEURS OEUVRES -BOUBOU HAMA, POETE, philosophe, historien et historien et homme de lettre née en 1906. Président de l’assemblée nationale du NIGER de 1958 à 1974, décède en 1982. Née dans la brousse sahélienne qu’il évoquera dans ses livres, il étude a la célèbre école William Ponty de DAKAR. En 1929 il devient le premier instituteur NIGERIEN. Il participe aux activités du RDA (Rassemblement Démocratique Africain) crée en octobre 1946. En décembre 1958 il accède à la présidence de l’Assemble Nationale et travaille en concertation avec HAMANI DIORI, le président. Il préside le PPN (Parti Progressiste Nigérien), une branche du RDA jusqu’au coup d’état d’Avril 1974. Il est alors retenu prisonnier à Agadès puis à Niamey. Membre de nombreuse organisation scientifique et littéraire il laisse une œuvre considérable sur la culture africaine. Il reçoit le grand prix littéraire de l’Afrique noire en avril en 1971 pour kotia-nima et le prix Léopold Sédar Senghor pour essaie d’analyse de l’éducation africaine. En compagnie d’André clair il écrit aussi les contes pour les jeunes. Ses œuvres littéraires sont multiples entre autres l’aventure extraordinaire de bi kado, fils de noir présence africaine 1971 et Bagouma et Tegouma, paris, présence africaine, 2 volumes 1973. -AMADOU HAMPATE BÂ est un écrivain et ethnologue malien née à Bandiagara (mali) en 1900 (ou 1901) et mort le 15 mai 1991 à Abidjan (côte d’ivoire). Amadou Hampate Bâ est née en janvier ou février 1900 ou 1901 à Bandiagara chef-lieu du pays dogon et ancienne capitale de l’empire toucouleur du Macina. Enfant de Hampate Bâ et de Kadidja pate Poullo Diallo, il est descendant d’une famille peule noble. Après la mort de son père, il sera adopté par le second, époux de sa mère, Tidjanie amadou Ali Thiam, de l’ethnie toucouleur. Il fréquente d’abord l’école coranique de Tierno boka, et dignitaire de la confrérie tidjaniyya, avant d’être réquisitionné d’office pour l’école française à Bandiagara puis à Djenné. En 1915, il se sauve pour rejoindre sa mère à Katie ou il reprendra ses études. En 1921, il refuse de rentrer à l’école normal de Gorée. À titre de punition, le gouverneur l’affecte à Ouagadougou, en qualité (d’écrivain temporaire a titre essentiellement précaire et révocable). De 1922 à 1932, il occupe plusieurs postes dans l’administration coloniale en haute volta (actuel Burkina Faso) puis jusqu’en 1942 à Bamako. En 1933, il obtient un congé de six mois qu’il passe auprès de Tierno boka, son maitre spirituel. En 1942, il est affecté à l’institut française d’Afrique noire (IFAN) de Dakar grâce a la bienveillance de son directeur , le professeur Théodore Monod . Il y effectue des enquêtes ethnologiques et recueille les traditions orales. Il se consacrera notamment à une recherche de quinze ans qui le mènera à rédiger l’empire peul du Macina. En 1951, il obtient une bourse de l’UNEESCO lui permettant de se rendre à paris et de rencontrer les milieux africanistes, notamment marcel Griaule. En 1960, à l’indépendance de la mali, il fonde l’institut humaine à Bamako et représente son pays a la conférence générale de l’UNEESCO. En 1962, il est élu membre de conseils exécutifs de l’UNEESCO. EN 1966, il participe à l’élaboration d’un système unifié pour la transcription des langages africaines. En 1970 prend fin son mandat à l’UNEESCO. Amadou Hampate Ba se consacre entièrement à son travail de recherche et d’écriture. Les dernières années de sa vie, il les passera a Abidjan a classe les archive accumulée durant sa vie sur tradition orale d’Afrique de l’ouest ainsi car la rédaction de ses mémoire, AMKOULLEL l’enfant peule et oui mon commandant ! qui seront publier après sa morte le 15 Mai 1981 comme œuvre littéraire d’Amadou Hampate Bâ nous pouvons citez l’empire peul du Macina (1955, nouvelle édition en 1984) petit Bodiel (conte peul) version en prose de Kaidara (1976). -LEOPOLD symbole majeur de la francophonie en Afrique, fait d’abord ses études au Sénégal, à la mission catholique de Nagasobil, puis à Dakar et enfin à paris au lycée louis le grand et la sorbonne. IL est reçu à l’agrégation de grammaire en 1935 et commence à enseigne à tours, tout en suivant les cours de linguistique négro-africaines à l’école pratique des hautes études et à l’institut d’ethnologie de paris. Hero de la seconde guerre mondial il est mobilisé en1939, fait prisonnier dès juin 1940 puis reformé pour maladie deux ans plus tard. IL entre alors dans la résistance. L’année 1945 est cap important dans la vie de Leopold Sédar Senghor. Elle marque le début de sa carrière politique. Il devient député du Sénégal 1946 puis occupe diverses fonctions aux conseils de l’Europe à l’UNECO et à l’ONU. EN France il reste secrétaire d’état a la présidence du conseil dans le cabinet d’Edgar Faure en1955 et 1956 et ministre-conseille du gouvernement de la république française en 1959. Dans sa patrie de naissance, le Sénégal, il devient maire de ties en 1956 avant d’être élu premier président de la république du Sénégal en 1960 . Il ne quittera se poste qu’en 1980 . Cote lettre, il est l’auteur de nombreux ouvrage de poésie et d’ essais . Il est d’ailleurs primé a maintes reprise et reçoit notamment la médaille d’or de la lange française . Docteur honoris causa de trente et septe université , Léopold Sédar Senghor est élu à l’académie française en 1983 .Il décédé le 20 décembre 2001 à versons , en NORMANDIE. Nous avons chants d’ombre hosties noires Léopold Sédar Senghor , seuil . Des milliers paru en 1956 . -CHEIKH HAMIDOU KANE est a Matam le 2 avril 1928 . il a fréquente d’abord l’école coranique , puis l’école française , a l’école primaire supérieure blanchot de saint louis , et par la suite au lycée de Dakar . Apres sont baccalauréat , il poursuit ses étude a paris et s’inscrit en faculté de droit pour préparer le concours d’entre a l’école national de la France d’ouest-mer (ENFOM) et , en parallèle , a la faculté de lettre , ce qui lui permet d’être en 1959 titulaire de deux licence droit et philosophie , a ainsi que du brevet de l’ ENFOM .pendant ses études a la sorbonne , il collabore a la revue esprit et fréquente les cercles intellectuels . il rentre dans sont pays ou il occupe une rapidement d’importante fonction administratives . En mars 1960 il est nommé gouverneur de la région de Thiès . En 1961 , il chef de cabinet du ministre de développement et du plan .C’est alors qu’est publiée l’aventure ambigüe , un récit teinté d’autobiographie écrit des1952 . Cheik Hamidou Kane fut également représentant de l’UNESCO dans de nombreux pays africain. Il dirigea la société Dakar-marine et, en 1981 , le industries chimique du Sénégal . Cheik Hamidou Kane est avant tout auteur de l’aventure ambigüe (juillet 1961). Ce livre reçoit le grand prix littéraire d’Afrique noire en 1962 . Apres un licence littéraire de plusieurs décennies , il publie en 1995 , aux éditions stock , les gardiens du temple , une suite de l’aventure ambigüe, rapportant de façon très romancier le conflit qui opposa ,en 1962 , Mamadou Dia et Leopold Sédar Senghor , deux homme dont il avait été très proche , -AMADOU KOUROUMA est né en 1927 , a Boudiali , au nord de la cote d’ivoire . De 1950 a 1954 ( pendant la colonisation française ) , il est « tirailleur sénégalais » en Indochine avant de rejoindre la métropole pour suivre des études mathématique a Lyon en France . En 1960 , lors de l’indépendance de la cote d’ivoire , il revient vivre dans son pays natal mais est très vite inquiété par le régime du président Félix Houphouët-Boigny . il connait la prison avant de partie en exil dans diffèrent pays , en Algérie (1964 – 1969) , au Cameroun (1974 – 1984 ) et au Togo (1984 – 1994 ) avant de revenir vivre en cote d’ivoire . En 1968 , il publie son premier roman les soleils des indépendance qui porte un regard très critique sir les gouvernement de l’après-décolonisation . vingt ans plus tard , il publie don deuxième livre Monnè , outrages et attendant le vote des bêtes sauvages qui raconte l’histoire d’un chasseur de la « tribu des homme nus » qui devient dictateur . A travers ce roman qui obtiendra le prix du livre inter , on reconnais facilement le parcours du chef d’états togolais Gnassingbé Eyadema . En 2000, il publie Allah n’est pas obligé qui raconte l’histoire d’un enfant orphelin qui, partie rejoindre sa tante au Liberia , devient un enfant soldats . Ce livre obtiendra le prix Renaudot et le Goncourt des lucéens . Lorsqu’en septembre 2002 , la guerre civile éclate en cote d’ivoire , il prend position contre l’ivoirité . Au moment de sa mort intervenue le 11 décembre 2003 , il travaillait a la rédaction d’un nouveau livre quant on refuse on dit non, une suite d’Allah n’est par obligé -BERNARD ZADI ZAOUROU uploads/Litterature/ biographies-des-auteurs-et-leurs-oeuvres.pdf
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- Publié le Dec 20, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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