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Commentaire Français Partie 1 : conditions du travail - Les enfants travaillent

Commentaire Français Partie 1 : conditions du travail - Les enfants travaillent dans un milieu hostile. - Ils travaillent sous des meules, c’est un lieu épouvantable. - Au vers 5 « Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement », il y a une hyperbole, on voit la progression du temps, ils montrent que c’est un enfer, une routine sans fin « éternellement », les enfants n’ont plus de vie, ils sont privé du soleil et de leur jeunesse. - Au vers 7, il y a « sombre » et au vers 8, il y a « ombre », on peut dire que les enfants travaillent enfermés dans des lieux mal éclairés, ils n’en voient plus la lumière du jour. - Au vers 6 « Dans la même prison le même mouvement », il y a une répétition des « même », les conditions de travail sont horrible, c’est une routine, du travail à la chaine. Le terme « prison » exprime l’enfermement dans un lieu clos. - Au vers 10 « tout est d’airain, tout est de fer », il y a du parallélisme, dans ce vers, on comprend que les enfants travaillent entourés de fers, dans des lieux froids, dans une usine, ils n’ont pas leur place la bas, « le fer » rime avec « enfer ». - Au vers 6, il y a « prison »et au vers 9, il y a « bagne » et « enfer », c’est de pire en pire, il veut montrer que plus le temps passe, plus c’est dangereux et mortelle, de jour en jour, leur santé physique et mentale se dégrade, ils ont l’impression de partir à l’abattoir tous les jours. Partie 2 : registre pathétique, toucher le lecteur - Dans ce poème, les enfants ne rient pas et ne jouent pas, ils travaillent -Au vers 1, il insinue que en général les enfants rient car il dit « ... Pas un seul ne rit », ils sont malheureux, coincé de se désespoir, dans cet enfer. -Au vers 3, il dit « ces filles de 8 ans … », il veut toucher le lecteur en donnant l’âge des jeunes filles, cela veut montrer la gravité de ce qu’il dénonce et l’innocence des filles, l’âge de 8 ans n’ai pas choisi par hasard, c’est l’âge minimum pour travailler en 1856, c’est vraiment triste de voir que lorsque l’enfant peut travailler il le mettent au travail. -Au Vers 2 « ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit », « la fièvre maigrit » montre que les enfants ne sens pas en bonne santé, or la santé est vital mais ces enfants sont sous une doctrine et n’ont pas le choix que de travailler ce qui met leurs santé en péril, cela suscite de la peine et de la compassion. -Au vers 4, il dit « … sous des meules », la préposition « sous » donne l’effet de soumission, ils n’ont pas de liberté, pas le choix. - Au vers 4 « Ils s’en vont travailler quinze heures », il y a une exagération, il donne l’heure pour qu’on ait la notion du temps, pour prouvait que les enfants travaillent toutes la journée, et sans s’arrêter, pour qu’on éprouve de la pitié pour eux. -Au vers 11 « jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue », ils sont privés de repos, privée de jeu, à cet âge-là les enfants devraient être dehors en train de s’amuser mais non eux, travaillent. C’est pitoyable de voir qu’à cet âge-là les enfants n’ont pas de liberté - Au vers 8, il y a une personnification, il transforme les meules en monstres, les enfants sont devenus de la nourriture pour les meules. On veut les aidé, les sortir de cette enfer mais malheureusement, on ne pouvait pas. - Au vers 1, il dit « on vont tous ces enfants … », il y a une exagération avec « tous » cela veut dire que beaucoup d’enfants subissaient ça. A étudier : - Au vers 10, il dit « ils travaillent », il va à l’essentiel, ce poème défend les enfants qui travaillent. - Réponse de la question du vers 1 « ou vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit » vers 6 « dans la même prison, le même mouvement » - Il y a 3 questions dans ce poème : Les 3 premiers vers, 3 questions rhétoriques - On dirait que la scène se passe sous ces yeux, qu’il est témoin (ex : « vont » est au présent et « ces » est démonstratif - Il y a une répétition du démonstratif « ces » : au vers 1 « ces enfants », au vers 2 « ces doux êtres » et au vers 3 « ces filles ». - Au vers 9, il y a du parallélisme « Innocents dans un bagne, ange dans un enfer » uploads/Litterature/ commentaire-francais 1 .pdf