بسم هللا الرحمن الرحيم و به نستعين والصالة والسالم على قائدنا وقدوتنا محمد صلى
بسم هللا الرحمن الرحيم و به نستعين والصالة والسالم على قائدنا وقدوتنا محمد صلى هللا عليه وسلم ه، ومن$ أعمالنا، من يهده هللا فال مضل ل$الحمد هلل، نحمده ونستعينه، ونستغفره، ونعوذ باهلل من شرور أنفسنا، وسيئات أن محمدًا عبده ورسوله$يضلل فال هادي له، وأشهد أن ال إله إال هللا وحده ال شريك له، وأشهد. Sujet n=01 Texte : Parmi les causes qui travaillent, de nos jours, à un fâcheux abaissement du niveau de la culture, on voit l’étonnante et exorbitante primauté de l’information sur la connaissance. Les hommes d’aujourd’hui, quels qu’ils soient, s’ils trouvent chaque jour, tout compte fait, une demi-heure pour la lecture donneront ces trente pauvres minutes à l’information, et non pas à la connaissance. S’ils ont vraiment trop de soucis, trop de taches fatigantes, ils fuiront peut-être toute occasion de lire quoi que ce soit et feront marcher la radio ou regarderont la télévision pendant l’heure du repas. Or l’information, dont il faut bien convenir qu’elle n’est pas dénuée de valeur et dont on s’accommode d’ailleurs assez volontiers, quoiqu’elle nous permette de prévoir, de comprendre, parfois de ressusciter le déroulement de l’histoire vivante, tout habile qu’on la suppose, n’est pas la connaissance. La plupart des journaux oublient, semble-t-il, que la presse d’autrefois s’était donné pour mission d’aider au développement du sens critique, du jugement ou du gout du public. Trop nombreux, en tout cas, sont ceux qui abusent des gros titres, abusent des images, aguichent le lecteur par l’étalage impudent du vice et du crime, bref ne songent qu’à flatter le public au lieu de le renseigner utilement ou de le cultiver un peu. D’après G. DUHAMEL, Problème de l’heure, Mercure de France, édit. I- compréhension 1- Dans son texte, l’auteur fait la comparaison entre deux thèmes différents. Précisez de quels thèmes s’agit-il ? 2- Dites quelles sont les raisons de la mauvaise diminution du niveau de la culture ? 3- D’après l’auteur, pour se distraire, que fera une personne après avoir accompli une tache épuisante ? 4- Quel est le rôle de la conjonction « Or » qui introduit le deuxième paragraphe ? 5- « L’information n’est pas dénuée de valeur ». Cette phrase signifie : a- L’information est dépourvue de valeur. b- L’information à de la valeur. c- L’information n’a que peu d’intérêt. Recopiez la bonne réponse. 6- L’auteur semble privilégier la connaissance et l’opposer à l’information : Qu’accorde-t-il néanmoins à cette dernière ? بسم هللا الرحمن الرحيم و به نستعين والصالة والسالم على قائدنا وقدوتنا محمد صلى هللا عليه وسلم 7- Quelle différence fait l’auteur entre la presse d’autrefois et celle d’aujourd’hui ? 8- « S’ils ont vraiment trop de soucis» « Tout habile qu’on la suppose ». « Sont ceux qui abusent des gros titres. » A qui et à quoi renvoient les mots soulignés ? 9- « La presse aguiche le lecteur au lieu de le renseigner. Remplacez la locution prépositive soulignée par « bien que ». 10- « S’ils ont vraiment trop de soucis, ils fuiront peut-être toute occasion de lire quoi que ce soit et feront marcher la radio ou regarderont la télévision pendant l’heure du repas. »Réécrivez le passage ci- dessous en commençant ainsi « S’il……………………………. » 11- Proposez un titre au texte. II- Production écrite Sujet 1 : Faites le compte-rendu objectif du texte. Sujet 2 : Dites en quelques lignes, dans quelle mesure l’information peut-elle contribuer à la culture des hommes ? Sujet n=02 Texte : Aujourd’hui, plus que jamais, compte tenu des exigences de la mondialisation et des échanges effrénés de personnes et de marchandises, l’enseignement des langues étrangères ne doit pas rester à la traine. (…) évidemment, il faut établir certaines réserves et se fixer des priorités par rapport à notre environnement géographique, culturel et historique. Cet enseignement des langes étrangères, nous ne le répétons jamais assez, est incontestablement nécessaire, voire vital pour le progrès culturel, scientifique, socioéconomique et surtout, en ce qui nous concerne, historique. Et c’est là où doivent intervenir certaines priorités dans le choix des langues étrangères à enseigner dans nos institutions et établissement. Nos rapports avec nos voisins historiques d’hier et d’aujourd’hui sont toujours là, et l’on continue de traiter avec eux de manière indispensable et continue dans tous les domaines. Par conséquent, la langues française continue d’occuper une place prépondérante et à juste titre, compte tenu, d’abord, de notre histoire contemporaine et de tout le précieux legs historique et documentaire rédigé en langue française, qu’il faut réétudier et exploiter de nouveau pour nos compatriotes vivant en France, en Belgique, au Québec…,etc., qui privés de la langue arabe , ont besoin d’être compris par les citoyens de leur pays d’origine. Evidemment, l’anglais, l’allemand, l’italien, le portugais, le russe et autres ont leur importance et leur place dans nos institutions. Cependant, il faudra les canaliser par rapport aux besoins régionaux, économiques, voire scientifiques. Tout cela nous ramène à mettre en exergue l’intérêt que revêt pour بسم هللا الرحمن الرحيم و به نستعين والصالة والسالم على قائدنا وقدوتنا محمد صلى هللا عليه وسلم nous l’enseignement des langues étrangères, notamment certaines dont les rapports avec notre histoire et notre patrimoine culturel sont incontestables et contribueront, sans aucun doute, à une meilleure connaissance de l’évolution de nos sociétés et conscience de notre passé, aussi bien à l’époque moderne que contemporaine. Ahmed Ali Ayad , Le Quotidien d’Oran, 27/12/2007. I- Compréhension : 1- L’auteur se manifeste-t-il explicitement dans ce texte ? justifiez votre réponse. 2- Quel est le problème posé par l’auteur ? 3- Quel point de vue l’auteur est entrain de défendre? 4- Quelles sont, d’après l’auteur, les deux raisons pour les quelles l’enseignement est nécessaire ? 5- Précisez quel est le but de cet enseignement ? 6- « L’enseignement des langues étrangères ne doit pas rester à la traîne ». Expliquez cette phrase. 7- « Un précieux legs ». le mot soulignee signifie : a- Document. b- Héritage. c- travail Recopiez la bonne réponse. 8- Pourquoi, d’après l’auteur, la langue française continu d’occuper une place importante en Algérie ? 9- Proposez trois exemples de langues étrangères non citer dans le texte. 10- « nous ne le répétons jamais assez ». « Compris par les citoyens de leur pays d’origine ». Dites à qui renvoient les mots soulignés ? 11- « Nos rapports avec nos voisins historiques d’hier et d’aujourd’hui sont toujours là, et l’on continue de traiter avec eux de manière indispensable et continue dans tous les domaines ». Réécrivez ce passage en commençant ainsi : « ‘Notre…………………………………………………………………… » 12- Donnez un titre au texte. II- Production écrite : Sujet 1 : Faites le compte rendu critique du texte. Sujet 2 : Etes-vous de l’avis de l’auteur concernant l’enseignement des langues étrangères ? Justifiez votre point de vue à l’aide d’arguments précis. Sujet n=03 Texte : بسم هللا الرحمن الرحيم و به نستعين والصالة والسالم على قائدنا وقدوتنا محمد صلى هللا عليه وسلم LES FEMMES AU VOLANT « Femme au volant, accident au tournant !», résume si bien l’image attribuée par une partie des conducteurs algériens à celles qui partagent «leur» chaussée. C’est en tout cas le sentiment qu’ont certaines femmes interrogées àpropos du regard de leurs compagnons de parcours sur leur façon de conduire. «Sur la route, j’ai tout le temps le sentiment d’être la cible de tous les regards. A la moindre petite fausse manœuvre, c’est unerafale de klaxons et de commentaires qui se déferlent sur moi. Au début, j’en ai bavé, mais actuellement je sais surmonter le regard des autres et j’ai acquis de la confiance. Quandun automobiliste me lance un de ces regards méchants, je lui souris et sa colère ne fait que décupler, ce qui me donne un sentiment de vengeance au fond de moi», avoue Ghenima,32 ans, commerciale dans une entreprise privée. Les gens sont-ils plus sévères avec les conductrices ? Oui, répond une autre femme interrogée, Madjda, la quarantaine, responsable de service dans une banque nationale. «Si un homme grille un feu rouge ou passe volontairement ou pas un stop, c’est pardonné, mais gare à la femme qui conduit si elle se hasarde à une telle indélicatesse. C’est toute la file de voitures qui suivent la ‘‘pécheresse’’ qui se mettront à klaxonner. Des hommes sortiront certainement leur tête au travers de la vitre pour lui dire que c’est une infraction, et les plus méchants iront jusqu’àlui suggérer d’abandonner la conduite.» Pour certains, les femmes conduisent mal. «Elles n’ont pas les réflexes nécessaires en casde danger», commente Mohammed, 45, commerçant, reprenant un propos utilisé à tort et travers. Ce dernier estime que les femmes «ne lâchent pas lavoie de gauche réservée aux dépassements.Elles s'y éternisent en roulant à 40 km/h.Elles s’entêtent et bloquent la route. Pourdoubler, elles accélèrent brusquement, sanssignaler qu'elles vont changer de voie.» Malika, 45 ans, travaillant dans le secteur de la communication, estime «que lesfemmes qui ont bravé les interdits et menéle combat pour se trouver côte à côte avecl’homme sur le milieu du travail et se croisentconstamment dans la rue, malgré la réticencede certaines mentalités, doivent aujourd’huifaire face à la même pression sur la uploads/Litterature/ des-sujets-proposes-debats-d-idees-3-as.pdf
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- Publié le Mar 17, 2021
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