M & Mme SENE DE LINGUERE M & Mme SENE SOMMAIRE PRESENTATION GENRALE 1- Objectif

M & Mme SENE DE LINGUERE M & Mme SENE SOMMAIRE PRESENTATION GENRALE 1- Objectif 2- Motivation 3- Les problèmes particuliers des élèves 4- Les problèmes pratiques à résoudre 5- Les types de leçons à aborder 6- Les types d’exercices à pratiquer PREMIERE PARTIE : RAPPEL DES COURANTS LITTRERAIRES 1- La pléiade fascicule 2- Baroque et classicisme 3- L’esprit des lumières et réveil philosophique 4- Le romantisme 5- Le réalisme 6- Naturalisme 7- Le parnasse 8- Le symbolisme DEUXIEME PARTIE : LES COURS DE TERMINALES 1- Le surréalisme 2- Poésie, caractérisation et fonctions 3- Roman, caractérisations et orientations 4- Théâtre, caractérisations et orientations 5- Le théâtre de l’absurde 6- Le nouveau roman 7- La poésie africaine M & Mme SENE TROISIEME PARTIE : ETUDE DES ŒUVRES INTEGRALES 1- Poésie africain : Chants d’ombre de Léopold Sédar Senghor 2- Poésie française : les contemplations de Victor Hugo 3- Le roman africain : les soleils des indépendances d’Ahmadou Kourouma 4- Le roman français : l’étranger d’Albert Camus 5- Le théâtre français : Antigone de jean Anouilh QUATRIEME PARTIE : LES EXERCICES PRATIQUES ET LEURS EXIGENCES 1- Le résumé suivi de discussion 2- Le commentaire suivi 3- Le commentaire composé 4- La dissertation 5- Exercices corrigés 6- Exercices analysés M & Mme SENE AVANT-PROPOS L’enseignement est un métier difficile qui exige à la fois des sacrifices---- des recherches, une disponibilité et une générosité à partager le savoir avec les collègues, les élèves---et un art de véhiculer les connaissances. Il est plus difficile quand enseignants et enseignés souffrent de leur condition de travail : absence de matériels pédagogiques et didactiques, absence de programme adéquat qui puisse éveiller et stimuler la curiosité de l’élève entre autres. Ce sont là quelques exemples convoqués pour illustrer les réelles préoccupations du système éducatif. C’est pourquoi, nous autres enseignants devons imaginer des mesures possibles qui facilitent nos enseignements et orientent les apprentissages de nos élèves vers l’essentiel. Il s’agit, en attendant des changements dans les programmes, d’aider les élèves à comprendre l’intérêt de ce qui se fait dans les classes, à se défaire de leur stresse, de leur angoisse et à s’accomplir dans leur formation. Il s’agit simplement de les encourager à éprouver la nécessité d’apprendre avec plaisir, sans avoir le sentiment de subir des contraintes qui freinent leur épanouissement. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé, humblement, de produire un fascicule en classe de terminale afin de contribuer à notre manière à la diffusion et à la consolidation du savoir scolaire dans nos classes. Loin de rechercher l’originalité ou la célébrité ! Nous sommes simplement motivés par le devoir de remplir notre mission qui est de donner et de partager les connaissances. Certes nous savons qu’avec La Bruyère que tout a été dit et écrit il y a des millénaires avant que nous ne venions sur terre. Mais nous savons également qu’un document scolaire de plus est une nouvelle façon d’appréhender différemment ou semblablement ce qui est destiné à l’élève. M & Mme SENE Ainsi, notre modeste fascicule vise à aider l’élève de terminale à avoir, de manière simple, plus de lisibilité des enseignements du français en classe d’examen et comprendre l’essentiel des compétences recherchées. Nos élèves souffrent actuellement en apprenant ; et ils souffrent encore plus en échouant. Triste sort non ! Ils ont d’abord certains problèmes particuliers liés à la motivation, au désœuvrement et au manque de références intellectuelles… Ils ont ensuite des difficultés liées au manque de documents (même si internet est dans nos écoles ils ne l’utilisent pas ou s’ils usent de cet outil dans les cybers c’est malheureusement pour autre chose), au manque de culture sans oublier leur souffrance dans le maniement des langues en général et du français en particulier. Ils ne sont pas les seuls à vivre de ces problèmes. Nous sommes de plus en plus angoissés dans nos classes ; de plus en plus démotivés ; sans oublier la mauvaise foi et la mauvaise volonté des décisions des autorités de l’éducation. Qui rêve aujourd’hui d’être enseignant ? Pratiquement personne. Même nos élèves ne veulent pas être comme nous. Ne cherchons pas loin ! Ce sentiment est un aveu. Ils ne veulent pas devenir des enseignants. Nous ne sommes pas des modèles ; nous sommes pauvres et voués tôt ou tard à la misère quand l’heure de la retraite sonnera. Tel est du moins la meilleure des leçons à retenir de « la vie d’un prof » pour reprendre le titre d’un film projeté sur canal et qui peint le calvaire des enseignants dans les classes. Dieu sait que nous sommes nombreux, nous enseignant, à penser comme l’homme de la rue. Beaucoup sont les collègues qui cherchent leurs modèles et leur survie ailleurs. Mieux, certains parmi nous cherchent, dans leurs pratiques de classe, des exemples qui « pervertissent » inconsciemment M & Mme SENE l’élève. Ce qui est une mort subite de la vertu intellectuelle, une déperdition de la valeur absolue du savoir, de la mort de la vertu tout court. En effet, qui, à la place de l’enseignant va faire valoir la connaissance comme source de richesse ? Qui revalorisera notre métier mieux que nous ? Qui détruira les mirages qui brouillent la conscience des jeunes qui sont sous nos responsabilités ? Bref, qui combattra le complexe d’infériorité dans lequel on voudrait confiner les enseignants--qui n’est pas d’ailleurs vrai-- si ce n’est qu’eux-mêmes ? Heureusement ce qui était considéré au début comme un tremplin est resté de nos jours un temps plein de travail. Là au moins, c’est la plainte la mieux partagée pour tous les enseignants du monde. Nous reconnaissons tous que la tâche est immense ; les moyens sont loin d’être présents. A cela s’ajoutent les conditions de travail et les baisses de niveau constatées dans tous les pays du monde. Et curieusement, c’est au moment où les enseignants et les élèves possèdent ensemble un outil magique qui facilite le travail : internet. Ironie du sort ! C’est présentement que nous notons des taux d’échec jamais égalés dans l’histoire de l’éducation. Qu’est –ce qui est proposé comme solutions ? La réponse est, nous le garantissons, possédée par les enseignants. Nulle voix étrangère à notre univers ne saurait répondre à cette question délicate. C’est pourquoi, nous souhaitons apporter notre modeste contribution pour la bonne marche de l’école. Certes rien de nouveau, mais seul le souci d’aider nos élèves à avoir plus de repère et de lisibilité nous anime. Aucune ambition—et pourtant chacun a le droit d’en avoir—aucune prétention n’est sournoisement nourrie. Nous voulons simplement pousser les élèves à fixer certaines notions fondamentales, à cerner certaines méthodes ou M & Mme SENE méthodologies essentielles pour réussir un examen : plus précisément le bac. Nous avons choisi sous ce rapport de travailler sur les cours en classe de terminale : les repères du futur bachelier. Loin d’être les analyses d’un docte, notre fascicule se veut simplement un parcours des « nécessités » qui permettent de pallier nombreuses des inquiétudes de l’élève de terminale. Ainsi, comme ce dernier vient de franchir la classe de première, avouons-le, quelquefois, sans cerner l’essentiel des enseignements ou bien sans mesurer ce qui l’attend en classe supérieure, il est important de revenir sur certaines notions antérieures qui faciliteront les connaissances ultérieures. En effet, le rappel des courants littéraires depuis le XVII° siècle jusqu’au XIX° siècle permet d’asseoir d’abord la chronologie de l’histoire littéraire, de mémoriser les pensées importantes à manier et/ou à manipuler dans les exercices d’analyse et de composition française. Ensuite, nous aborderons directement les cours de terminale en fermant la rubrique des mouvements littéraires avec le surréalisme afin de mieux fixer les préoccupations morales, idéologiques et esthétiques du XX° siècle. Cette leçon est une occasion pour pénétrer l’univers hermétique de la poésie. Cette dernière pose en effet beaucoup de problèmes liés à sa définition, à ses origines, à ses orientations et à ses formes multiples entre autres. N’oublions pas qu’il existe toujours un débat important sur l’essence de la poésie (on va y revenir) qui n’est pas encore résolu. Mieux, l’étude métrique et technique de la poésie prouve davantage sa complexité. De la même manière, nous allons explorer les autres genres littéraires : le roman et le théâtre en cernant leurs caractéristiques, leurs orientations et certaines tendances du XX° siècle. M & Mme SENE Comme ces notions sont accompagnées d’œuvres pour illustrer les leçons, il serait nécessaire d’exploiter les œuvres au programme afin de faciliter les analyses textuelles et thématiques. Ainsi les œuvres de Senghor, Hugo, Kourouma, Camus et Anouilh seront lues de façon linéaire pour orienter et réveiller le goût littéraire des élèves. Il s’agit de Chants d’ombre, Les contemplations, Les soleils des indépendances, L’étranger, Antigone entre autres. Enfin, n’oublions jamais qu’au delà des connaissances théoriques, le bac exige également un savoir-faire ; c’est-à-dire des « astuces » qui facilitent les travaux pratiques. C’est pourquoi, la dernière partie de cette contribution est réservée aux exercices méthodologiques et pratiques en relisant leurs théories certes, mais surtout en rédigeant et corrigeant certains exercices rencontrés souvent uploads/Litterature/ fascicule-cours-et-exercice-francais-terminale.pdf

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