Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

Fiche de lecture : Paroles, Prévert Date de première parution : 1946 Genre litt

Fiche de lecture : Paroles, Prévert Date de première parution : 1946 Genre littéraire : Poétique, fictif Description de la 1° de couverture : Jacques Prévert qui fixe le lecteur avec une cigarette et les couleurs utilisés du rouge et blanc. Jacques Prévert est une figure du surréalisme et surtout des libertaires, prônant l’indépendance (liberté de pensée). Auteur de recueils de poèmes, parmi lesquels Paroles (1946), il devint un poète populaire grâce à son langage familier et à ses jeux sur les mots. Il est l'auteur de poèmes célèbres comme Barbara ou Le cancre. -Les principaux thèmes de ce recueil sont la famille, la violence, l’amour, la mort et la religion. -La première œuvre s’intitule « L’orgue de barbarie » qui raconte l’histoire d’un groupe de musicien qui tout d’un coup y se met à dire de quelles instruments chacun joue et à parler parler parler sauf un homme alors on lui demanda et répondit « Moi je joue l’orgue de Barbarie et je joue du couteau aussi » puis il s’avança vers les musiciens et les tua tous. Une petite fille qui était sous le piano se réveilla et dit «…» . Du coup l’homme prit sa main et ils allèrent dans la ville tuer le plus de monde possible. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. Mais « l’ainé apprit le piano le second le violon… » et puis les enfants se mirent à parler parler parler et on comprend par la dernière phrase «et tout fut à recommencer !» que les parents tuèrent leur enfants qui jouaient les mêmes instruments et parler parler parler comme les musiciens d’avant. Cette ouvre m’a marqué car c’est l’une des rares du recueil que je comprenne et qui m’a captivé et m’a supris par le fait que les 2 meurtriers ont eu des enfants qui avaient les mêmes comportements que les musiciens qu’ils ont tué et le fait qu’ils les tue juste après cela. La seconde ouvre s’intitule « Le retour au pays » qui raconte l’histoire d’un breton qui retourne dans son pays natal ou il ne reconnait personne et personne ne le reconnait. Puis il va dans une crêperie mais ne peut pas manger une crêpe et ensuite fumer une cigarette mais quelques choses de mauvais dans sa tête l’en empêche. Soudain il se souvient d’une phrase que son oncle lui avait dit « Tu finiras sur l’échafaud » qui l’a empêché pendant des années de ne rien faire. Alors il se mit à penser à sa sœur et son frère mort. Puis alla voir son oncle qui ne le reconnu pas mais lui reconnut et lui dit « Bonjour oncle Grésillard » et le tord le cou. Finalement il finnisa bien sur l’échafaud après avoir deux douzaines de crêpes et fumer une cigarette. J’ai aimé cette œuvre comme la précédente car c’est l’une des rares que je comprenne. Puis car la fatalité que son oncle prédit se réalisa et je ne m’y attendais pas. -Mes attentes de lecteur ont été à peu près comblée car j’ai revu les poèmes « Le cancre » et « Barbara » qui m’avait plu dans mon enfance. J’ai bien aimé certaines histoires car elles étaient écrites avec des phrases courtes, claires et un vocabulaire contemporain contrairement à d’autres qui étaient longues et sans réelles histoires que j’ai trouvé sans intérêt. Les thèmes choisis qu’ils soient sur les animaux, les humains, la joie ou la tristesse ne m’ont pas influencé sur ce que j’ai aimé. -Je pense qu’elle nous enrichit car elle est faite avec beaucoup de rimes et de parallélisme de constructions. Oui je pense que certaines ouvres peuvent être des mémoire de l’ame car elle raconte la vie de personne. -Je ne conseillerais pas cette lecture car je n’aime pas les recueils qui raconte beaucoup d’histoires qui ne sont pas assez développé et captivante. J’aurais préféré une histoire qui est bien développé, plus compréhensible et captivante. uploads/Litterature/ fiche-de-lecture-paroles-de-prevert.pdf