Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

1 LA NATURE DE LA VIE ET DE LA MORT 2 DU MEME AUTEUR Mémoire de vies 2000 3 MAX

1 LA NATURE DE LA VIE ET DE LA MORT 2 DU MEME AUTEUR Mémoire de vies 2000 3 MAXIME CAZALS LA NATURE DE LA VIE ET DE LA MORT Publibook 4 Dialoguez avec l’auteur, et retrouvez cet ouvrage accompagné de la cri- tique de notre club de lecture, des commentaires des lecteurs, sur le site PubliBook.com : http://www.publibook.com PubliBook.com, Paris, 2001 Ce texte publié par PubliBook.com est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. PubliBook.com, Republic Alley 18 rue du Faubourg du Temple 75011 Paris France Tel: 33 (0)1 47 00 05 07 5 Â Joseph, Â Jean-Paul, Sébastien, Serge et Nicolas, Â mes filles, Â ma femme, Et à tous ceux qui cherchent. 6 7 Avant-propos L’intelligence, c’est, entre autres choses, la faculté d’analyser des données pour comprendre des situations. Mais la grande intelligence, n’est-ce pas de savoir juste- ment que l’on ne peut pas tout comprendre ? 8 Introduction Comme dans mon précédent livre, avant toutes choses, je voudrais vous proposer un mode d’emploi de cet ou- vrage. Pourquoi un mode d’emploi me direz-vous ? Parce que si vous lisez ces lignes, c’est que vous êtes à la recherche de quelque chose que vous n’avez pas encore trouvé jusqu’à ce jour. Les méthodes de recherche que vous avez appliquées sont sans doute autant en cause que les terrains de recherche. Prenez donc le temps d’y réfléchir quelques instants et acceptez l’hypothèse selon laquelle vous pourriez gagner en largeur de champ en adoptant un autre angle de vue. L’intelligence logique, l’analyse critique et la culture écrite sont la base de notre environnement culturel. En corollaire, il faut savoir que, dans notre immense majorité et plus particulièrement les hommes, nous reje- tons spontanément, sans même en être conscient, tout ce qui est contraire à ces piliers : intuition, tradition et trans- mission orale. De même, l’expérience personnelle est tou- jours suspecte alors que l’expérience scientifique est un gage de sérieux pour son auteur. Pourtant, l’Histoire, même récente, nous montre que l’expérience scientifique peut être falsifiée par l’auteur lui- même poussé par le besoin de légitimité, pour les autres ou pour lui-même. Son hypothèse lui tient tellement à cœur qu’il n’hésite pas, un jour, à tordre la réalité pour justifier “scientifiquement” ses idées. De même, les scientifiques qui adhèrent à une thèse of- ficielle, confrontés à un chercheur isolé proposant une nouvelle vérité, ont tôt fait de crier à la falsification. Eins- tein lui-même n’a pas été tendre avec les tenants de la physique quantique qu’il traitait de charlatans à l’annonce 9 des premières découvertes et en particulier du principe d’incertitude si dérangeant pour notre logique cartésienne (1 Principe dit d’Heisenberg, qui veut que nous ne puis- sions n’avoir que deux informations sur les trois (vitesse, masse, direction) qui permettent de déterminer habituelle- ment un objet dans l’espace.). À l’inverse, la tradition peut être source de vérité : ainsi la ville de Troie a revu le jour grâce à la ténacité d’un chercheur qui croyait que les indications données par le récit d’Homère pouvaient participer de la réalité. Cependant, nous avons toujours un peu peur d’être pris pour des crédule si bien que nous nous obligeons à une at- titude de retrait pour tout ce qui ne correspond pas à nos critères coutumiers. En agissant de cette manière, nous pensons être à l’abri des escrocs et autres manipulateurs. Pourtant nous restons des proies faciles pour ceux qui uti- lisent les mêmes outils rationnels que nous : tout le poids de centaines de citations universitaires ne transformera pas une erreur, fût-elle partagée par le plus grand nombre, en une vérité. Malheureusement, nous nous coupons de nombreuses sources d’informations qui, jointes à nos techniques intel- lectuelles, nous enrichiraient considérablement. Aussi, je vous propose d’adopter pour la lecture de ce livre une attitude plus ouverte que celle que vous pratiquez de coutume : vous pourrez toujours revenir à vos préjugés une fois le livre refermé ! 10 CHAPITRE I — PROLOGUE Pendant les trente-trois premières années de ma vie, je me suis employé à être un bon fils, un bon élève, un bon étudiant, un bon salarié, un bon cadre puis un bon diri- geant d’entreprise, un bon époux et un bon père. En même temps que j’essayais d’être toujours à la hau- teur des espérances des gens qui m’entouraient, je m’interrogeais sur ce qui me poussait à relever ce qui res- semblait de plus en plus à des défis. Autour de moi, des personnes mourraient, emportées par la maladie ou tuées dans des accidents. Certains refusaient les événements de leur vie qui leur semblaient trop durs, injustes, immérités. D’autres encore sombraient dans la dépression pour des raisons qui, objectivement, ne m’en paraissaient pas. Peu à peu, je me suis rendu compte que, depuis des mil- lénaires, et en particulier durant les deux derniers, l’homme avait appris des quantités de choses, comment faire, comment construire, comment acquérir, comment faire fructifier, comment tuer, mais curieusement, il sem- blait ne pas avoir appris grand chose sur la nature de la Vie et la Mort : Pourquoi sommes-nous là ? Pourquoi vivre ? Comment faire pour vivre heureux ? Comme préparer notre mort qui, elle, est inéluctable ? 11 Et quand il proclamait le savoir, cela ne changeait pas grand-chose à son mode d’existence. Toutes mes études jusqu’à l’université, m’avaient en- seigné des quantités de techniques, de savoir-faire mais ne m’avaient pas appris à vivre. Je vivais sans y réfléchir, sans réelle préparation, de façon totalement intuitive sans aucune analyse ni réflexion critique. Bien sûr, mes professeurs m’avaient appris l’existence de philosophes qui avançaient chacun des théories sur la chose. Mais leurs idées magnifiques ne semblaient pas tou- jours destinées à leur propre usage, ce qui ne laissait pas de me surprendre. Quant aux formes totalitaires de pensée qui, elles, four- nissent des modèles complets prêts à vivre, et plus souvent à mourir, l’absence d’autonomie qui les caractérise m’a toujours semblé être le signe de leur manque d’autorité naturelle dû à leurs vues fragmentaires et erronées. La société, en tant qu’organisation humaine, ne paraît pas se préoccuper de fournir à ses propres composants un mode d’emploi qualitatif de la Vie et encore moins de la Mort, ni d’objectifs réels en dehors de ceux qui concernent le groupe social et sa pérennité. Je voyais donc bon nombre de mes semblables errer comme des âmes en peine dans un monde qui leur appa- raissait comme une gigantesque partie de poker menteur. Ma conviction profonde m’interdisait de penser que nous n’étions que des moisissures à la surface de la pla- nète : le hasard ne me semblait pas être la bonne réponse. Je rejetais de même viscéralement l’existence d’un Dieu omnipotent, jaloux et coléreux punissant ses propres créa- tures dès qu’elles s’écartaient du chemin qu’Il avait tracé. J’étais tous les jours plus convaincu que la Vie avait un sens, que donc ma vie en avait un aussi et qu’il fallait d’urgence que je m’intéresse à ce sens avant tout autre chose, sous peine de ne pas savoir où porter mes efforts. 12 “Il n’y a pas de vent favorable au marin qui ne connaît pas sa destination”, ce dicton me semblait plein de vérité. Et puis, en mai 1980, toute ma vie a basculé en quel- ques minutes lorsque j’ai été invité par mon guide, à une rencontre que je n’avais pas sollicitée et qui a bouleversé mon existence. Ce guide est un être spirituel, non incarné, que j’ai rencontré dans un état modifié de conscience que je n’avais absolument pas recherché (2 Voir du même au- teur Mémoire de vies chez Publibook. com). Cette rencontre a été suivie par d’autres qui, d’ailleurs, continuent. Dès le départ, j’ai eu l’absolue conviction de récupérer à l’occasion de cette aventure une partie de ma mémoire éternelle. Dans ces souvenirs que j’ai récupérés, il y a les informations que je vous propose dans ce livre, qui concernent la vie spirituelle et notre passage ici-bas, telles que je les ai re-trouvées. Or, immédiatement en retrouvant ces données, il m’est apparu très clairement que ce qui m’arrivait ne concernait pas uniquement mon usage personnel, que cela n’était pas fait pour enjoliver ma biographie, mais essentiellement pour le transmettre. J’ai mis presque 10 ans à l’accepter. Mon guide m’a aimablement, gentiment mais fermement poussé, de là- haut, jusqu’à ce que je comprenne bien que c’était un de- voir de service qu’il fallait que je prenne en charge. J’ai fi- nalement accepté de diffuser ce message, avec un peu de difficulté au départ car je n’étais pas préparé à aborder publiquement ces sujets-là. J’avais beaucoup trop peur d’être taxé de gourou ou uploads/Litterature/ la-nature-de-la-vie-et-de-la-mort 1 .pdf