I~. National Library of Canada Bibliothèque nationale du Canada Acquisitions an
I~. National Library of Canada Bibliothèque nationale du Canada Acquisitions and Direction des acquisitions et Bibliographic S<'rvices Branch des services bibliographiques 395 W~lhnglon Str~l 395. rut:' Wellington Qnawa. Ontano Onawa (OntariO) K1AON4 K1AON4 NOTICE AVIS The quality of this microform is heavily dependent upon the quality of the original thesis submitted for microfilming. Every effort has been made to ensure the highest quality of reproduction possible. If pages are missing, contact the university which granted the degree. Sorne pages may nave indistinct print especially if the original pages were typed with a poor typewriter ribbon or if the university sent us an inferior photocopy. Reproduction in full or in part of this microform is governed by the Canadian Copyright Act, R.S.C. 1970, c. C-30, and subsequent amendments. Canada La qualité de cette microforme dépend grandement de la qualité de la thèse soumise au microfilmage. Nous avons tout fait pour assurer une qualité supérieure de reproduction. S'il manque des pages, veuillez communiquer avec l'université qui a conféré le grade. La qualité d'impression de certaines pages peut laisser à désirer, surtout si les pages originales ont été dactylographiées à l'aide d'un ruban usé ou si l'université nous a fait parvenir une photocopie de qualité inférieure. La reproduction, même partielle, de cette microforme est soumise à la·Loi canadienne sur le droit d'auteur, SRC 1970, c. C-30, et ses amendements subséquents. • • • Thèse présentée à la FacuIté des études avancées et de la recherche de l'Université McGill comme exigence partielle du doctorat en communications Communication et interculturalité en Afrique de l'Ouest francophone par Alain Péricard Progmmme d'études supérieures en communications Université McGill Juillet 1995 CS> AlainPéricard, 1995 . National Library of Canada Bibliothèque nationale du Canada Acquisitions and Direction des acquisitions et Bibliographie Services Branch des services bibliographiques 395 Wellj~ton Street 395. rue wellington Ottawa. Qntano Onawa (Ontario) K1A ON' K1A ON' The author has granted an irrevocable non-exclusive licence allowing the National Library of Canada to reproduce, loan, distribute or sell copies of hisjher thesis by any means and in any form or format, making this thesis available to interested persons. The author retains ownership of the copyright in hisjher thesis. Neither the thesis nor substantial extracts from it may be printed or otherwise reproduced without hisjher permission. L'auteur a accordé une licence irrévocable et non exclusive permettant à la Bibliothèque nationale du Canada de reproduire, prêter, distribuer ou vendre des copies de sa thèse de quelque manière et sous quelque forme que ce soit pour mettre des exemplaires de cette thèse à la disposition des personnes intéressées. L'auteur conserve la propriété du droit d'auteur qui protège sa thèse. Ni la thèse ni des extraits substantiels de celle-ci ne doivent être imprimés ou autrement reproduits sans son autorisation. ISBN 0-612-08145-1 Canada • • • AVANT-PROPOS ·Si vous trouvez la linérarore scientitique ennuyeuse, eh hien c'est simplement qu'elle a été conçue pour cela», écrit un philosophe s'intéressant à l'Afrique (Horton et al" 1990, p. 131). Des objets d'érode comme celui dom il est question dans ces pages tont effectivement ressortir la singularité et les limites d'une démarche scientifi- que qui, dans ses productions formelles, est avant tout caractérisée par l'artifice d'infinies précautions dans la façon de dire des choses parfois fort simples. l'espère, malgré les contraintes du genre, être parvenu à rendre un peu de la simplicité de quelques idées, peu connues par la science, qui proviennent des expériences et des perspectives d'un groupe de personnes vivant en Afrique de l'Ouest francophone, En effet. je dois d'emblée préciser que non seulement les d0Il11ées présentées ici, mais également beaucoup d'analyses sont le fruit de la généreuse collaboration de près d'une centaine d'interlocuteurs africains. Ce travail aurait été impossible sans leur concours; il m'est impossible de tous les nommer (voir dans l'annexe A : «Liste des collaborateurs à la recherche», ceux avec lesquels des entrevues fonnelles ont été faites). Je ne peux non plus leur rendre justice, car pour des raisons éthiques la plupart <les citations qui se trouvent dans ce texte restent confidentielles, J'ai toutefois .fait exception à cette règle pour des considérations non personnelles qui ont été formu- léès p:a..!" Ü';:; gens de science ou par des personnalités publiques, Parmi mes collabora- teurs africains. j~ tiens à remercier particulièrement Kadari Bamba, dernier secrétaire général de la Communauté économique de l'Afrique de l'Ouest (CEAO) et Modibo Boly, conseiller éco~omique et infrastructures à la CEAO, Dans des circonstances critiques, il ont fait beaucoup plus que de me permettre de traVailler dans leur organisation, Merci également aussi à ma «grande soeur», Monique K. Awouba, ainsi qu'à mon ami Harounan Ouédraogo, pour leur aide durant plus d'une décennie de séjours réguliers parmi eux. et pour m'avoir appris à ne plus être seulement un «toubab>o, comme le sont la plupart des Blancs en Afrique, Ils sont devenus pour moi une famille qui me permet de ne pas être un étranger sur mon continent natal. • • • III Par ailleurs. j'ai trouvé au Programme d'études supérieures en eommunications (GPC) de l'Université McGilI un exceptionnel soutien et une vaste ouverture d'esprit durant les quatre années qu'ont duré une recherche. somme toate. assez peu confor- miste. Je ne saurais dire toute ma gratitude à Gertrude J. Rohinson. directrice de cette thèse. pour son aide et pour sa constante disponihilité. qui dépao;saient largement ce qu'un étudiant peut attendre. Je dois également souligner que le fruit de mes conversations avec R('n Burnett, directeur du GPC, est présent ici et là au détour des pages qui suivent. Merci également à Lise Ouimet et à Pierre Gaudreault. Le lien entre runiversité et r Afrique de rouest fut poSl>ihle grdce au concours d'un homme qui a été géologue, archéologue, professeur et haut responsahle au ministère français de la Coopération et du Développement, avant de devenir con.o;eiller en fonnation du secrétaire général de la CEAO. En Afrique, plus d'une porte s'est ouverte en prononçant son nom. Michel Grappotte, codirecteur de cette thèse, est à la fois un homme de science et d'esprit; il est aussi une des rares personnes qui pou- vaient partager, confirmer et orienter les interrogations qui sont à la base de mon travail, La valeur d'une tâche théorique comme celle-ci est avant tout affaire de qualité de relations humaines, m'a t-il confirmé, ce qui implique que la recherche ne devrait pas être dénuée du plaisir qui accompagne les meilleures de ces relation.o;. Un grand merci également à ma conjointe, Danièle Blain, et à ma fille, Éloïse Lévesque-Péricard, pour leur immense compréhension et pour leur aide. Je dois également signaler que ce travail n'aurait pas pu être réalisé sous cette fonne sans l'appui financier de plusieurs organismes. La fondation J. W, McConnell et le Fonds pour la formation des chercheurs et raide à la recherche (FCAR) m'ont permis de me consacrer exclusivement à mes études. Le Centre de recherche pour le développement international (CROI) à rendu possible toute la part de la recherche qui fut réalisée en Afrique, Merci à CoJlstanœ Lim, à Gisèle Morin et à tous ceux qui, dans ces organismes, ont favorablement évalué mon travail, ainsi qu'au recteur de l'Université McGill, Bernard Shapiro, qui m'a accordé une bourse de rédaction. • • • IV Sur un plan technique, la rédaction du texte qui suit soulevait des prohle:mes dans l'orthographe des mOl~ venant des langues africaines pour lesquels il n'y a pa~ de re:gle constante. J'ai en général choisi les orthographes usuellement utilisées par les anthropologues. Une pratique désormais courante exclut le s au pluriel pour les noms d'ethnies, sauf exceptions (Maures, Haratines, etc.). J'ai cependant laissé de côté les choix linguistiques des anthropologues pour les termes venant du mooré, la langue des Mossé du Burkina Faso, pour lesquels j'ai adopté l'orthographe de Titinga Frédéric Pacéré (1979; 1991) en hommage à un chercheur ..fricain hors du commun. Quant aux citations extraites d'entreVUes (toutes les citations sans référence bibliographique), elles ont parfois été légèrement modifiées comme cela se fait couramment en journalisme, afin d'en conserver le sens tout en éliminant certaines redondances et certaines impropriétés de langage qui apparaissent particulièrement flagrantes lorsqu'elles sont transerÏtes, Afin d'alléger le texte, j'ai en général consi- déré que la forme masculine incluait le féminin, J'ai également évité de féminiser les titres de fonctions, sachant qu'une telle pratique ne serdit pas appréciée par mes interlocutrices africaines. Enfin, au cours de la partie solitaire de la mise en forme de la recherche, j'ai tenté de garder à l'esprit ce qu'écrivait le philosophe, Laborieusement, j'ai essayé de faire en sorte que ce texte ne soit pas seulement un/aire-valoir mais aussi un/aire- savoir de la passion que nous sommes quelques uns à partager pour les cultures africaines. Une telle passion ne peut venir que d'un espace de communication créé et maintenu avec des membres de ces cultures. Elle mène à la conviction que l'échange interculturel peut nous enrichir profondément, à la fois sur le plan humain et scientifique. Dans l'espoir d'y être parvenu, je vous souhaite une bonne lecture. Alain Péricard Montréa1, le 9 mai 1995 • • • TABLE uploads/Litterature/ pericard-communication-et-interculturalite-en-afrique-de-louest-francophone.pdf
Documents similaires
-
22
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Jui 23, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
- Taille du fichier 10.9752MB