ALEPH, le Roi et la Reine – Valeur numérique : 1 – Élément : Air – Corps : poit

ALEPH, le Roi et la Reine – Valeur numérique : 1 – Élément : Air – Corps : poitrine – Signification : Le Bœuf (bête à cornes) – Rayonnement : Une Rose épanouie, rouge foncé et or Notions – Clefs : – Le Commencement – L’Unité parfaite – Le Silence – Prendre Conscience de notre Royauté – Le Père Première des Lettres, Aleph les contient toutes. La rencontrer, c’est rencontrer notre Splendeur, la Couronne éternelle qui nous attend depuis toujours. Aleph est l’élan premier, le commencement de toute chose, le début du Chemin, mais aussi le Chemin lui-même, puisqu’Elle contient en Elle l’énergie de toutes les Lettres. Elle peut évoquer un nouveau départ, Elle encourage l’élan créateur des pionniers du Nouveau. Mais pour cela Elle nous invite tout d’abord au silence, au recueillement dans notre sanctuaire intérieur. Elle n’est pas le Bélier fonceur mais le Taureau, invincible puissance virile qui féconde la matière et la façonne selon la Volonté divine. Celui qui porte le fabuleux fardeau de la Création. Dans ce silence intérieur, Elle nous aide à laisser émerger la volonté de notre âme, et prendre ainsi une décision sans hâte, basée sur une conviction intime inébranlable. Avec le sentiment de la Justesse viennent la paix et la confiance. Nous pouvons avancer dans la direction choisie, dans la force tranquille de ceux qui se sentent accompagnés par le Divin. Entreprendre une action dans la conscience d’Aleph demande l’Unité, sur un plan intérieur, mais aussi, si deux ou plusieurs sont concernés, entre tous les participants, Aleph nous enseigne que la conscience d’Unité est la base de toute action pour l’évolution, que celle-ci concerne les plans matériel, affectif ou spirituel. Toute entreprise qui ne repose pas sur le fondement de l’Unité est vouée à l’échec. Aleph est la Rose qui fleurit sur la Croix. Elle rayonne dans le chakra du cœur, le centre de cette croix humaine qui se dessine lorsqu’on ouvre les bras. Elle invite au dépassement suprême. Unis à Elle, nous sommes réellement invincibles, nous pénétrons dans la conscience de l’Unité absolue, où plus rien d’extérieur ne peut nous nuire, car l’univers entier fait partie de nous, et agit avec nous. La Question d’Aleph : « Bien-aimé fils du Vivant, Je suis Aleph, et Je suis toi. Je suis la réalité flamboyante de ton être divin. Et voici ma question, réponds-moi du plus profond de ton âme : Que veux-tu ? Quelle volonté anime tes pas actuellement Viens avec moi, bien-aimé, et entre en toi-même. En toi cohabitent de nombreux niveaux de conscience, de l’animal à l’Ange. Aucun n’est à renier. Tous ces niveaux de vie sont légitimes, car tous aspirent à boire à la Source de Vie, même si parfois l’appel est détourné ou dévié. JE SUIS en chacune de ces expressions de ton être. Mais aujourd’hui l’Univers est à l’écoute du niveau de toi-même à qui tu remettras les rênes et qui répondra à ma question. Que veux-tu vraiment, bien-aimé ? Formule ton intention, et l’Univers sera ton allié. Je suis ton Père véritable, la Source de tout ce qui est. De Moi tout jaillit, à Moi tout revient. Et tu es fait à mon image. Toi, aussi tu as le pouvoir de féconder la matière, de réveiller la Vie et d’animer la beauté en toi et autour de toi. Si tu comprends ce que Je suis, donc qui tu es, la matière même deviendra ton alliée pour tout ce que tu entreprendras. Avance en confiance, bien-aimé, dans la conscience de cette couronne invisible, mais réelle qui s’ouvre sur ta tête, illumine ton cœur et motive ses pas. » Prière à Aleph : Ô Aleph, commencement et fin de toutes choses, Je me tiens devant Toi, puissance de Vie, Et ta grandeur ineffable bouleverse mon âme. J’ai accompli la longue Alchimie, Et aujourd’hui je viens t’offrir l’expérience de mes vies. Je dépose en toi ce trésor précieux, La quintessence de mon grand Voyage. Je comprends que rien ne fut vain, Que toujours Tu étais là, Pour recueillir le Sel d mes larmes, Et me guider vers la Splendeur Que me cachait les apparences. Et je reçois de Toi, ô Aleph, La couronne de royauté, Tu déposes sur mes épaules Le manteau de majesté, Je me reconnais en Toi, ô grand Roi, Et je marche debout dans ta lumière. Car en vérité Tu es l’Unique, Et rien n’existe en dehors de Toi. La rose pourpre à fleuri sur la Croix. Elle vient s’offrir au monde, Elle est la Guérison suprême. Écoutez, ô mes frères, l’appel du Nouveau, Il vient le Sauveur, le Messie, sur les nuées… Christ est ressuscité dans le cœur de l’Humanité Amen BEITH, la Demeure éternelle – Valeur numérique : 2 – Planète : Saturne – Signification : La Maison – Rayonnement : Bleu azur et or Notions – Clefs : – La Maison, « revenir chez soi » – L’action de bénir – La trame de la création – Les arcanes du temps – Les Noces Mystiques Objet de toutes les quêtes, splendeur de toutes les splendeurs, quel que soit le nom qu’on lui donne, Beith est la Maison originelle, le berceau de notre âme. Elle est la substance même de la Mère divine, la trame qui soutient les univers et les mondes. Elle est aujourd’hui la Terre Nouvelle, la Demeure de l’Homme Nouveau. Dans sa Présence, nous sommes chez nous sur cette planète, dans un corps physique en parfaite harmonie avec le corps de Lumière. Beith dans le tirage nous transmet un magnifique message. Le but de notre quête est proche. Elle nous invite à regarder une situation avec l’œil de l’Intelligence Binah), qui ne se laisse pas tromper par les apparences. Elle nous hausse dans la conscience souveraine de l’Unité. Également, sur un plan plus « matériel », elle peut attirer notre attention sur le lieu où nous résidons, ou que nous prévoyons d’habiter. Nous devons l’aimer, le respecter, peut-être changer notre façon d’y vivre, et même l’identifier à la beauté de Beith. Beith est la claire lumière qui remplit toute chose, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Celui qui est revenu chez lui ne craint plus rien, car plus rien n’est » extérieur « , séparé de lui. Il peut goûter aux Noces Mystiques, et connaître l’eucharistie de l’ère nouvelle, où le corps lui-même est Pain de Vie animé par le Sang Lumière. Beith régit la planète Saturne. En effet le temps est aussi notre demeure dans l’incarnation, offert à notre libre arbitre. Cette Lettre extraordinaire est une clef précieuse pour le transcender et goûter la paix rayonnante de l’éternel présent. Beith est l’initiale du mot « Baroukh », utilisé pour bénir ( Baraka : bénédiction ). Elle est la Lettre choisie par l’Éternel pour présider à la création du monde. Cela signifie que nous sommes tous bénis, quels que soient nos choix ou nos erreurs, car nous sommes les enfants d'Aleph-Beith, le Père-Mère. Nous portons tous sur notre front la marque invisible de cette bénédiction sacrée. La question de Beith : « Âme de lumière, te souviens-tu que tu es mon Enfant ? Te souviens-tu de la Demeure de Soleil qui est la substance même de ta Réalité ? En ressens-tu la nostalgie ? Réjouis-toi, bien-aimé, car aujourd’hui Je viens à toi. En fait, Je suis là et tu es en Moi depuis toujours, mais une partie de toi m’avait oubliée, et souffrait cruellement de l’exil. Veux-tu revenir totalement en Moi, et vivre la plénitude de notre communion ? Tu le peux. Prononces à voix haute ton Intention, regarde-moi et fais un pas en avant. Plonge dans le poudroiement d’or de la spirale tourbillonnante en mon Cœur, dans mon rayonnement bleu azur de l’infini de mon Ciel. Je suis là. Écoute ma voix qui te parle au creux de la Terre vivante. Je suis dans la nature généreuse, mais aussi dans le béton des villes. Je suis l’endroit où tu habites. Aimes-le, qu’il soit un palais ou une humble chambre transitoire. Appelle ma lumière en lui, afin que Je le remplisse. Respectes-le, et souviens-toi que tu es en Moi : partout tu es chez toi. Ne t’attache pas à un lieu déterminé, ne t’attache pas à rien ni personne. Laisse mon Amour te remplir et déborder de ta Coupe. La Terre, l’Univers entier est ta Demeure, ô mon Enfant. Uni à Moi tu es libre. Dans la danse d’amour du temps et de l’espace, les limites s’effacent et révèlent l’éternité de son Être. » Prière à Beith : Ô Beith, ô ma Demeure De vies en vies je t’ai cherchée Sur des chemins innombrables. Depuis toujours mon âme aspire A retourner en toi, ô Lumière infinie. En ce jour béni où la Splendeur m’est révélée, J’ai trouvée ma Maison sur la Terre. Je te reconnais dans la pierre la plus noire, Je te reconnais dans tous mes frères Par la conscience de notre âme unique. Ô Beith, source de toutes les bénédictions, Je suis ton Enfant. Tu as inscrit ton Nom uploads/Litterature/ psaumes-119-et-poids-mystique 1 .pdf

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