1 La science et la place de l’homme dans l’univers Réalisée par : Fatima-ezzahr

1 La science et la place de l’homme dans l’univers Réalisée par : Fatima-ezzahra BOURIM 2 Remerciement Je tiens a remercie l’université d’avoir organisé ,« la semaine de la science »,dans sa première édition, qui présente une série de webinaire pour rendre hommage à la #Science aux #Scientifiques qui a été érigé du 1er au 5 novembre 2021 . ainsi je remercie tout les équipe de l’um6p implique dans la réalisation de ce très beau projets . Mes sincère remerciements à monsieur Najib EL MOKHTARI pour sa conférence autour de la science et la place de l’homme dans l’univers , et également à Monsieur Bruno GUIDERDONI pour sa conférence autour de les derniers nouvelles de l’univers. pour sont importants conférence , et j’ai l’honneur de vous rédiger ce rapport sont qui sont vraiment intéresser pour moi . Mes meilleurs remerciements pour tous experts et professeurs pour leur participation a la semaine de la science et plus largement pour leur contribution multiforme à la promotion de la science sur notre territoire . 3 1. Introduction……………………………………………………….…4 2. La Révolution Copernicienne : vision nouvelle du monde …….....5 2.1. L’apport personnel de Copernic……………………… ;………………...…5 2.1.1. L’Almageste de Ptolémée………………………………… ;………………………5 2.1.2. Le Système de Copernic………………………… ;…………...……………………6 2.1.3. Mise en parallèle des systèmes de Ptolémée et de Copernic……..….…7 2.1.4. Un exemple de l’avantage de l’héliocentrisme : interprétation des rétrogradations de Mars………………………………………………..….………...8 2.1.5. Les éléments du Système de Copernic qui restent ptoléméens….…….….9 2.1.6. Bilan de l’apport de Copernic………………………………..…………………..10 2.2. L’apport des Successeurs………………...……………………....…………..10 2.2.1. Tycho-Brahé. (1546-1601)……………………………………..…………………10 2.2.2. Kepler (1571-1630)…………………………………………………………….……11 2.2.3. Galilée (1564-1642)………………...……………………………………………….11 2.2.4. Newton (1642-1727)……………….……………...………………………………..12 2.3. Pourquoi Copernic est-il à l’origine de cette révolution ?.......................13 3 . Henrietta Swan Leavitt (1868 – 1921) ………………………………………….14 4. Big Bang……………………………………………………...…………..15 4.1. Edwin Hubble (1889-1953)……………………………………………………...15 5. Conclusion…………………………………………………………………………15 table de matière : 4 1. Introduction La nuit se retrouve au cœur de débats actuels, qu’ils soient sociétaux (faut-il ouvrir les magasins la nuit ou la consacrer au sommeil ?), écologiques (comment limiter la pollution lumineuse qui nous empêche de voir les étoiles ou qui dérègle la vie animale ?), politiques (nuit debout, traversées clandestines de frontières) ou scientifiques (on repousse sans cesse notre connaissance de la nuit). Ce monde de la nuit, avec tous ses questionnements, est omniprésent chez les artistes, notamment depuis la fin du XIXème siècle. La nuit a évolué et nous a transformés, à travers des révolutions majeures comme l’électrification et l’éclairage, la psychanalyse ou la conquête spatiale : autant de bouleversements dans la définition et le rapport que l’on entretient avec la nuit. Du 13 octobre 2018 au 15 avril 2019, le Centre Pompidou-Metz consacre une exposition de grande ampleur au thème de la nuit dans la peinture moderne et contemporaine, accompagnée d’une publication et d’une riche programmation d’événements associés. Source d’inspiration majeure de l’histoire de l’art, la nuit demeure aujourd’hui encore un terrain d’expériences fécond. Revenir à un sujet aussi vaste que la nuit permet de poser des questions essentielles sur notre condition et notre place dans l’univers Il y a un peu plus de cent ans, les astronomes pensaient encore que seule la Voie lactée existait, et que tout ce qu'on pouvait voir au télescope en faisait partie. Nous savons maintenant que la Voie lactée n'est qu'une galaxie parmi des milliards d'autres ! L'Univers est incroyablement vaste ! Il semble que beaucoup de ces galaxies ressemblent à la nôtre, avec des bras spiralés. Mais d'autres ont des formes différentes, par exemple les "galaxies lenticulaires. Alors le sujet de notre rapport est intitulé : ‘’ La science et la place de l’homme dans l’univers ‘’ 5 2. La Révolution Copernicienne : vision nouvelle du monde. 2.1. L’apport personnel de Copernic. Quel est l’état de l’astronomie dans cette fin du XV èmesiècle ? C’est le règne de Ptolémée et de sa « Grande Syntaxe mathématique » qui nous est parvenue par les Arabes sous le nom « d’Almageste ». Cette véritable somme de l’astronomie antique date de 140 après J. C. Claude Ptolémée d’Alexandrie, qui en est l’auteur, est le dernier représentant de l’astronomie grecque. Il expose dans son ouvrage son système du monde : un modèle mathématique qui rend compte des observations astronomiques. Ce modèle amélioré en particulier par des astronomes arabes dominait toujours l’astronomie à l’époque de Copernic, soit depuis plus de treize siècles. 2.1.1. L’Almageste de Ptolémée Dans l’Almageste se mêlent trois composantes bien distinctes. D’abord une vision globale du monde : une cosmologie. Ensuite un outil mathématique, essentiellement la trigonométrie, au service de la résolution des triangles plans et sphériques. Enfin une astronomie pratique présentant un ensemble de modèles géométriques, de tableaux de nombres et de méthodes de calcul, véritables « recettes de cuisine » permettant de localiser à un instant donné les astres vagabonds (les planètes, la lune et le soleil) sur le quadrillage immuable des étoiles fixes. Si la trigonométrie et la pratique astronomique sont des disciplines innocentes ; il n’en est pas de même de la cosmologie. Une cosmologie suppose une physique. C’est plus précisément par la théorie du mouvement que cosmologie et physique sont intimement liées. Or la cosmologie de Ptolémée est tributaire d’une physique qui l’a précédée de cinq siècles, celle d’Aristote : physique fausse bien sûr, et en particulier dynamique fausse où les vitesses sont directement proportionnelles aux forces (il faudra attendre Galilée et Newton pour savoir que ce sont les accélérations qui sont proportionnelles aux forces). Pour Aristote, plus généralement le mouvement n’est qu’un processus fini dont la fonction se borne à assurer la translation d’un objet concret d’un point A à un point B. Le mouvement ne saurait être étudié pour lui-même, indépendamment de l’objet considéré. L’abstraction isolant l’objet du mouvement n’existe pas pour lui. Il en découle, concernant l’astronomie, un certain nombre d’axiomes qui seront autant de verrous pour les astronomes. Le premier verrou : le géocentrisme qui veut que la terre soit au centre de l’univers et le seul centre de tous les mouvements célestes. Un deuxième verrou : l’existence d’une dichotomie dans le monde : le monde terrestre (terre et lune) d’une part- c’est le monde du changement- c’est le monde du mouvement rectiligne (vers le haut pour les corps légers : l’air, le feu. Vers le bas pour les corps lourds : la terre, l’eau). Le cosmos d’autre part, au-delà du monde terrestre : c’est le monde de l’immuable, du permanent, dans ce domaine seul est possible le mouvement circulaire uniforme qui ramène les objets à leur emplacement initial. 6 Figure 1 : système géocentrique de Ptolémée et ses épicycles Dans son système Ptolémée veut satisfaire les axiomes d’Aristote qui apparaissent comme des évidences et arriver à rendre compte également des observations faites sur les mouvements des planètes. Cette double contrainte le conduit, lui et ses successeurs, en particulier arabes, à construire un système compliqué mais très ingénieux faisant appel à des cercles déférents combinés à des cercles plus petits ou épicycles (voir fig. 1) puis à des cercles excentriques et enfin à l’introduction de ce que l’on appelle le point « équant Q » : un point par rapport auquel le mouvement de la planète considérée reste uniforme mais qui n’est plus le centre du cercle déférent sur lequel se déplace cette planète. 2.1.2. Le Système de Copernic. Trois documents permettent de connaitre la pensée de Copernic. Deux sont de sa main : le Commentariolus (1514) et essentiellement sa grande œuvre, le De Revolutionibus (1543) publié l’année de sa mort. Le troisième : la Narratio Prima (1540) a été écrit par Rheticus, son seul élève. Le Commentariolus est en fait une présentation claire de sa pensée sans démonstration appuyée sur des calculs. Il commence par dire à ses lecteurs que la façon dont les Anciens concevaient la course des astres n’était pas satisfaisante. Il pose ensuite ses hypothèses en sept brefs chapitres : dans le premier, il affirme que tous les corps célestes ne se déplacent pas autour du même centre. Dans le second, que la Terre n’est pas le centre de l’Univers, mais seulement de l’orbite de la Lune. Dans le troisième, que le Soleil est le centre de l’Univers. Dans le quatrième, 7 que la sphère immobile des étoiles fixes, l’ultime sphère, est bien plus éloignée de nous que Ptolémée le pensait. Dans le cinquième, que la Terre tourne sur elle-même, sur son axe, en un jour ce qui donne l’illusion d’une course diurne du Soleil, des planètes et des étoiles fixes. Ainsi le ciel ne roule pas, mais la Terre se mouvant, chaque astre donne l’impression de fuir. Dans le sixième, que la Terre fait en un an le tour du Soleil en gardant son axe fixe. Dans le septième, enfin, que si les planètes semblent parfois s’arrêter ou retourner en arrière, c’est parce qu’elles aussi tournent autour du Soleil. Il terminait cet exposé proprement révolutionnaire en affirmant qu’il remettait à plus tard les preuves mathématiques de ses sept hypothèses. À plus tard, c’est-à-dire dans son « Grand Œuvre » … En latin la formule était banale. Mais qui la traduirait en arabe lirait « Almageste ». Copernic se uploads/Litterature/ rapport.pdf

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