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'x~ 'M~e. ~.J~ë~ES~ ~?~~M~ CouwettuM !nM<rieute manqmmte r" e~.t) ~ff <J 1.*l î Ë .a~~S~M~~ ,j~.< ?<oj BEN~DB~OURM~NT { Le du Style Ques~Art, de Littérature et de Grammaire 1 1 AVEC UNB M~ACB ET UN ÏNDBX M8 NOMa C!TË8 i PARIS SOCÏÊTË DV MERCVRE DE FRANCE XV, RVE BB t/~CUAVDË-SAtNT'OBMMtM, XV a8s~~=~c"" fM~–m'~J' 'B' t~ '!DD~~T!' ~M'HT TT~'H'Ï C"W1f 'B? JLJ& FMUJiLJ~mi~ H~'U ~iSJL~ DU M~aE AUTEUR ~<MM<M,y~~jPo~MM aMUFMB, a" édMon~ t vol. gr. !m-t8. 3.80 ~~M ou sttBNM, aa ed!t. < vo!. gf. ~.t8. sjso t caaw&ox aa cMM~a, se Mt. < va!, gf. !a-t8. 3.So O'MN fATfa MiNTAMt~ < va!, gp. ia-t8. 3.8o ,y~ M MNoa a'UNBMMHa, ae édit. < vol. gp. !a..<8. 3~Bo "Ba. a"<<Kt. t vo!. gF. !a.t8. 3.So fae8Ea Moaessa, ae ë(Ht!oo, < vo!. m-a4. 3 a 'm~ot(&T, tve!. !a-M. a.Bo MVt6<Hmot,< vo!.in-ta. a.60 ? OMMONSHAovAtsaa.poame, t vol. in.8. a.So tsa aMMBa Bu pABACta, petits poèmes, avec a~ bois ? <'r!g!oaMxde6.d'JEspagaa<,tvo!.M.)tacava!iep. 6 a UMm, ae ëdit!ea, < vo!. gp. :a.t8. 3.50 ameNB, po&me, 1 va!. !a'tCeoaFoane. 3 N CW~M MMaH aifSN&M (Aude son' h poésie latins du ïa&yea &ga). 3<'4dii!oa, t vol. in.8. t<, S MMM! Bsa MASSONS (t et M) (g!oaes et docamenta .earles écrivains d'MM'et d'aajjeard'ha!, aveo 53 portmaits par P'. Vallottonj, a vol. ~r. ü~-i8:~Cb~i- s P q~ portpaïta par F. VattoMen), a vc!. gr. !a-.t8.,CBa. g.g. t B~~MeOBDB&A)U~OCaFaANÇM8B,aeedit.t~V~~ ~~g~ 3:6o t~~K.BCMBBSïo&Bs,a~edit. t vol. gr. tn-t8. 3.6o -$~<~ vEMOns,~baM~MM~oe~tOM <<'<- J~ ~s ~dltion: t vo!.gp.in'.t8. 3.60 .)' ~< MBS~ BB eOWRBSO~T Le Problème du Stylet Questions d'Art, de Littérature et de Grammaire AVBO W)BPaiSpAOB BTNM tNBBX M9 MOMS C<~8 ~J PARIS 1 SOCIÉTÉ DV MERCVRE DE FRANCE xv, RVBBS t.CBAVOë-S&tNT~asaMAtN, XV 1.. i~ ,M~mM~~M~ il ti. A ëïA Tm6 M OM awvRAaBI Sept exemplaires sur papier de ~~tMfe, aam~'eMa da i A y. JUaTtHCATtON BU TtRAGE: .t. CMitxde traduction et de MpMdueMon ~sen~~enf tous paye, y<tO!nt)r!shSaMettaNeM~[aettaBm9ntM& PRÉFACE ~C~ v~ · Le plus ~O~MOM, si ~0~ 06M<, plus long chapitre de ce nouveau recueil <<'eMCM, appar- tient d tMyeW<<!We tout ~0~, /~<c<KM.jPeH<<! <: <-oM~MjoarN'a!p~ceM<r que les bons livres M~~yr~M<e:MM e<yKe ~es~aM- vais M~'K~<eaa:-M~MM. C'eNfa~CF/M~e; mais ee~ serait <?aMM<~e si <o!M&s~~s<M~!<OMM< f<Meou faM~e de ces yMO~ce~o~N ea!<r~cs. 7~ en a <& ~MM faite et de construction ~MNM dont ~~a~e occ!M~an<e trompe sur les pièges M<M!H*S;/C:M!CMOM ? ~0~ ~OMM~e, elle est con- ~<<:6&: oa~ entre, <Mt s'y y demeure; MM<-OK NOr<M*, C'~<MMJO~MO~. J<!M'<!HMe~/M'M<MM d'aucune SO~<e;C'e~~OMr- quoi, entrd CA&S' ~?0! me ~M permis de d~'acMe~ quelques serrures. /? les remplacera, si cela,lui convient, Ca~japrès tout, il estMaMrCC~~ Lu KMMH~tMB DU SWt.B 8 lui; et N'~ ~C~C~contre moi, ~e M*~M!~a!~N, &~K!M<M~Med'excuser mon M!SC~<<OM et ?!<! mauvaise humeur. Car c'est la mauvaise ~MMeM~, &M~plus que <oa< bon sentiment e?oK</e pourrais me uaM)!e!qui m'~c~e à cette petite entreprise. Les coa/?<~MC~ ~MM possesseur de la me font rire e~aMM jourset, d'autres, Me~C~~<? est aussi absurde de chercher la ~r~ <~e&! ~oH~y,– yaaM<? on a <ïMe~<f~e de raison, que de mettre ses sou- ~rs dans la cheminée, la nuit de Noël. « Acette heure, medisait l'un des créateurs d'une Nc~ep nouvelle, nous ne pouvonsétablir aucune. <~o~ mais nous pouvonsc~Mo~r toutes cc~~ y~'oa ~0~ &~tr< » /H~ Mc~y e~e~rester <o~oa~ ce stade /<: NCM~ reclaerche fécondeest ~t recA~c%e '– du non-vrai. .( Ainsi, et seulement ainsi, C~~e~ M~ o~M~~~ap~MN~. a ~fo~M~My <~s~er ~pa<es. ? Ce mot de Pierre Boy~ eû~<~< <oa~ M~ M~ocfe toute- une Mor< Za! ~r~ est. ~'<Mif!e; <~K~M)! ~&a!ifeK/ ~K.!c <~rMc:<Mns a~ ~%a;&<!t ~h~sa&s- <<<fa~<!?~ <~oa~. Cela est MOHM~Kt~~QMj!' KU~FACE 9 commun des hommes, qui U<< de vérités, exacte. ment commed'herbe le &??/ n'y a pas que des 6<B~; sans quoi comment~~a~ dans les o~O!- nMM~ A«MC!~ la ~<t<MW des ~MN~S? Le « problème du style p M<important, ~t fart est important, si la civilisation est importante. 7~ est insoluble dans le sens où ~f. ~L%N!&)!< a voulu le résoudre. On ~a~jprene~as~ ~Mwe,e*cMrc à acquérir un style personnel; sans quoi rien ne serait plus commun, et rien n'est plus rare. C'M< le C<MJ pédagogique de la question et le Cd~ vain. Le véritable problèmedu style est -une, questionde ~y~ ~<tMposst&~ d'~e~a~oo~ exact, nécessaire, c?e style d telle NeMs<&<t'A'< on peut cependant q~wMr une étroite dépen- ~«MC~Nous éérivons, commenous sentons, comme nous pensons, avec notre corps tout entier. Z'M- <e~eMCe n'est yM'MMe des ~e de.la seMïM~ ?0~ pas la plus stable, encore moins la plus volontaire. En disant que cette étude appartient au genre ~<~0~ n'entends aucunement dire qu'elle soit une r~<~<<o~ véritable. ~OM &a<,bien moins r~roareH.B, est ~K<d< de développer cinq ou six ~M. jMPttOB~MBBUSTVihB ~<- ~0~. gf JMO<~<~ ne-pas croire ??? rCMMMde la rA~O- ~S~Me.M ~<<~<~MC,M~ ouvrages didactiques de ~f. ~?0~, je M'OM~M~ea~~ ~<MMOM ~<~< sur ces yaM<MMM; ~<~H< mon J90M!< de e~par~ je ~M* dois beaueoup: js uoH- ? <<'M aweM' e!!oMa~ eN!/)HM<c~&M ya'<& ae M'o~ ?? ¡, Cela ~ro~ mon e.!ccase. ~~?~are rien dans le reste du volume qui M~M oa~M~ ~~a'</ ~MM efe ~'o~MM oa <~ ~c~M~Ne de /a joo<~M N~- boliste, de la destinée de l'art nouveau ~N de yae~HeNsN6~~y~MMa<~M~ ~&~i" t LE PROBLÈME DU STYLE ÈME DU STYLE 1 Lss DRux OLEPS DU COFFRE. –- M. Albalat vient d'entreprendre encore une fois de .nous guider par la main vers la conquête du style. Il nous donne le manuel du métier d'écrire, après en avoir rédigé d'abord la théorie (t). Ce manuel porte un titre redoutable, tout pareil à ceux que Fon épelait avec eSroi jadis sur les grimoires et les clavicules, ou naguère au front chauve des traités d'économie politique. Le voici, formidable; c'est tout un programme, c'est un monde De daFormation <~N S<~p«rf<MSMM!<a<<0~<~S«t!~M~(2). 'Il y a un maître et des apprentis. La leçon com- (t)Eeunp!'e!n!eF «uyrage:L'~r< <f~cr<M,enM~tt~e!!MN~< fe~oM. (a) rariB, A. Colin, <~ttNr, tsot, ia'ïS. t *4 M paoMt~tHB au a~Yt-a menée et développece principe il faut lire. Tout le monde !it, pour se divertir, pour' s'instruire; ce n'est pas cela. Il faut lire bien.Lire bien,c'est lire avec fruit. Lire avec fruit, c'est « lire les auteurs dont le style peut apprendre à écrire et laisser de côté ceux dont !e style n'apprend pas à écrire a. Car il s'agit de s'assimiler des procédés; et là où il n'y a point de procédés, là où legénie fleurit dans toute l'innocence de sa sensibilité, la lecture sera improductive. Alors, à quoibon ? La simplicitéde ce raisonnement charmera tout d'abord les intel- ligencespratiques. Il est d'aiMeursirréfutable. S'il y a un art d'écrire, et si cet art se peut apprendre, il faut fréquenter les écolesoù on l'enseigne. C'est avec des déductions de cette netteté et de cette forceque M. Albalata réuni autour de sa chaire, ses livres, un auditoire fidèle et reconnaissant. Ainsijadis du Bellay,maissur un autre ton, tout de môme,et pour des besognesun peudinerentes, poussait au pt!!age la troupe ardente des jeunes poètes: «Là doncques, François, marchezcoura~" geusement vers cete superbe cité ~ommne et des serves despouiHes d'elle (commevous à~ez ?11 plus d'une fb!s)ornez vos temptesetaute!s. bon- nez en cete Grece menteresse, et y~semez en<!oye un coup la fameusenation des GaMogrecs. Pit!!ez- t.EPMM~~ME OU 8tVt.E t6 2. moi, sans conscience, les sacres thresors de ce tem- ple Delphique. ? Du Bellay ne fut que trop bien compris. M. Albalat, venant, à son tour, nous enseigner la formation du style par l'assimilation des procédéshomériques, vient-il à sonheure? Est- J'; il un héraut ou un nécrophore? Donc, et encore comme du Bellay qui rejetait toute la vieille littérature française, éducatrice de l'Europe au profit de~IaFrance, vous mépriserez, candidats à l'assimilation, tous ces inutiles dont la compagnie est sans bénéfice. Vous ne lirez point Descartes; il n'a que des idées, et pas deMyle visible. Sa pensée a une peau qui tient à la chair et point de robe à ramages; et celle de Pascal non plus elle est toute nue et parfois suante de Sevré, jaunie par lé jeûne, ou tout d'un coup rouge d'un sang qui fuit !e cœur et le laisse glacé. Elle est nue comme une âme. Vous ne lirez point Pascal. Vous ne Mrezpas non plus ce dédaigneux Retz, qui n'est couvert que d'une impudeur transparente, ni au- cun de ces écrivains qui se rapprochent de la na- ture. jusqu'à parfois se confondre avec elle. C'est du temps de perdu. Autant vaudrait, presque, vivre et sentir par soi-même, ouvrir les yeux, tendre les oreilles, exercer ses mains, méthode lente qui n'ap- prend à écrire qu'à ceux qui en ont reçu le don. <6 M f)noa)~Me ou a~vt.)! Ces écrivains nus ont un autre défaut, nous dit M. Albalat. Ils n'ont pas de goût. Or !e~oût, c'est la clef de la méthode. Qu'est-ce que le goût? « Onle définit un discernement spéciat, un juge- ment rapide, davantage dedistinguer certains rap" ports. ? Maisje me récite J?oHoo!rc? et J~cacA~. Repre- nons. Qu'est-ce que le goût? Rien du tout, ceci: ~'<~<if .?MN: quemque w~~s. Cependant, on arriverait, en décomposant cette notion, à ridée de beauté (Pécuchet aussi y arrive), et le goût serait la tendance à ressentir certaines émotions qui éveiHent l'idée de beauté. Ce que uploads/Litterature/ remy-de-gourmont-probleme-du-style.pdf

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