Nihil prosunt : La Généalogie des Princes de Savoye, du latin de Julian Taboet,

Nihil prosunt : La Généalogie des Princes de Savoye, du latin de Julian Taboet, traduit en français par P.T.A. (Pierre Tredehan), 1560. Gabriel Ayala, Carmen pro vera medicina ad reverendissimum ac illustrissimum cardinalem Granuellanum. Ad eundem de lue pestilenti elegiarum liber unus, Anvers : Guillaume Sylvius, 1562. Rien. « Droit et éthique de la guerre dans Gargantua », in Bénédicte Boudou et Bruno Méniel, dir., Éthique et droit du Moyen Âge au siècle des Lumières, Paris, Classiques Garnier (Coll. « Esprit des Lois, Esprit des Lettres »), 2012, p. 127-146. Rien. De morte clarissimi..., Franciscus Merula, Paris : Gulielmus Tibutius (Guillaume Thibout), 1553. Rien d'artillerie. Jacob Marchant, « Neoportuanus », De rebus gestis a Flandriae Comitibus, Elegiarum liber unus. Eiusdem Phaleucii. Louvain : Antoine Marie Bergaingne, 1557. C’est l’éloge respectif de chaque comte des Flandres. Se termine sur un éloge paradoxal de l’hiver, comme saison de l’étude. Sinon Rien. Pierre de la Primaudaye, Quatrains du vray heur, 1586 François Bonade, Ad Augustissimam pacis dominam Leonoram Franciae reginam… rien. Art et humanisme à Florence au temps de Laurent le Magnifique, Paris : P.U.F., 1959 Béranger de la Tour, Le Siecle d’or, Lyon, 1551 Il y a plus loin un « Blason du miroir », un tout petit peu technique, rien de ouf, et une énigme. Pontaymeri, Hymne de La Rochelle. Court et inintéressant pour moi. L’Imaginaire du changement en France au XVIe siècle Nicolai Barptholemaei Lochiensis Epigrammata. Momiae. Et dyllia (sic). Relié avec un certain Neapolitani. Il faudra utiliser les notes pour dire quand le travail mécanique est absent du poème, par exemple chez Nicolas Bartholomey qui est pourtant si peu soucieux de la dignité de ses destinataires qu'il echaîne un « ad correum » (à mon coaccusé) avec un épigramme à un cardinal. Jean Du Bellay, Epigrammata, éd. Geneviève Demerson. C’est à la suite de Salmon Macrin, trois livres des Odes, 1546. Rien. A. de Pontaymeri, Discours d'estat sur la blessure du Roy. Il y a des vers mais surtout prose. Guillaume de Salluste Du Bartas, La Sepmaine ou Creation du monde, éd. Victor Bol, Actes Sud, 1988 La Variatio. L'aventure d'un principe d'écriture, de l'Antiquité au XXIe siècle, dir. Hélène Vial, Paris : Classiques Garnier, 2014. Rien. La Muse et le Compas : poétiques à l’aube de l’âge moderne, anthologie sous la dir. de Jean- Charles Monferran, Paris : Classiques Garnier, 2015. Le Tombeau de reverend pere et venerable docteur fr. Jaques Hugonis religieux de l'ordre de Sainct François, Predicateur ordinaire du Roy. Paris : Nicolas Roffet [sur le pont Sainct Michel, à la Rose blanche], 1574. Rien. Dans l’énorme tome de Christine Pigné, De la fantaisie chez Ronsard, malgré que La Lyre est cité plein de fois, RIEN sur l’allégorie de la naissance d’Athéna !... Le Tombeau de hault et puissant seigneur Jean Lois de la Rochefoucault, comte de Randan, Nicolas Le Digne, 1600 [réimpression de 1844] Rien de technique Turnèbe, contre Joachim du Bellay « Éthique de l’épopée romanesque en France (fin XVIe-début XVIIe siècle) », Cahiers de l’Association Internationale des Études françaises, n° 65 (mai 2013), p. 277-296. Rien. http://gallicaintramuros.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8702509c/f18.ima ge Oracle de Godard. Rien. Sapphicae Petri Busseroni, Lyon : Jacob Huguetan, 1538. Aucun intérêt ; vers pieux. Hugonis Ambertani Colungiani Silvae, Paris : Gormontium, 1516. Rien. L'horreur. S'il est fait mention de l'art de Vulcain, c'est dans une liste topique. Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, janvier 1949, 305- « Un rarissime ouvrage de Pierre Enoc de la Meschinière poète Genevois ». Valerand de la Varanne, poète inutile à mon propos. Rien dans les Hymnes de Salmon Macrin J. Mathorez, Le Poète Olényx du Mont-Sacré, bibliothécaire du duc de Mercoeur (1561- 1610), Paris : Librairie Henri Leclerc, 1912. J. Mathorez, Julien Guesdon, poète angevin et ligueur breton, Paris : Librairie Henri Leclerc, 1913 Filleul, La Couronne, A Henry le victorieux, Roy de Pologne, Paris : Gabriel Buon, 1573. Acta Conventus Neo-latini Turonensis, 1976, éd. 1980, éd. Jean-Claude Margolin. Rien. Acta Conventus Neo-latini Sanctandreani, 1986, éd. I. D. McFarlane. Rien. Acta Conventus Neo-Latini Cantabrigiensis, éd. Rhoda Schnur, Tempe, Arizona : Arizona Center for Medieval and Renaissance Studies, 2003. Rien. Absolument rien alors que c'est un éloge mythologisant. Carmina de Louis des Masures Henri Estienne, « Le I. livre des proverbes épigrammatizez, ou des épigrammes proverbializez », http://gallicaintramuros.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k70514g Il y a cette prose burlesque, La requeste des femmes presentée à Vulcan, Prince des forgerons. Contre l'operateur cephalique dit Lustucru, Éditeur : [S. l, 16..?]. C’est du XVIIe. Hymnes de Jean Salmon Macrin. Rien. Pierre Énoc, Opuscules poétiques. Rien, ce qui est assez surprenant... Hubert Sussanneau, Ludorum libri, nunc recens conditi atque aediti Circulation des matériaux et des objets dans les sociétés anciennes, Ph. Dillmann. C’est de l’archéométrie, on n’en tirera rien. Pierre Le Chevalier, La Parthénie, uniquement sur le repas. Nicolas Rapin. Rien. Philibert Guide. Le livre de 2013 est une comparaison des éditions, il n'en est pas auteur !... Triumphales Odae, 1558, Dorat, Google Books. Rien. Les Forges du pays de Châteaubriand, càd du Maine-et-Loire. Il n’y a pas de forge avant le XVIIe. Hymni aliquot et carmina Jacobi Meyeri Baliolani, Louvain, Rutger [Rescif], 1537. Pieux. Rien. Alain Cuillère, Les écrivains et le pouvoir en Lorraine au XVIe siècle. Rien pour moi. Hierosme de La Pra, Hymne à la louange du Duc de Guyse. Rien du tout. Hiérosme d'Avost, Poésies. Adressés à des nobles de la Cour. Rimes de Christophe Plantin. Rien. Et c’est un typographe ! Jehan Mallard, La Muse cosmopolitique. Pas seulement des vers, très court, et pieux. La Perrière, Morosophie. C’est un livre d’emblèmes qui n’est pas répertorié par le site de Glasgow ! Mais rien sur ce qui nous concerne… Louis de la Bellaudière, Rimes provensalles. Rien. Le retour de la paix en Erance (sic), 1544. Devise : « Plus que moins. » (qui est-ce?) Rien, très angélique. Pierre Sorel, Plaincte sur la mort d’Anne de Montmorency Nicolaus Horius, Poemata, slnd. Rien sur des centaines de pages. Jacques du Perron, Stances sur la victoire du Roy. Rien. Panagius Salius, Varia poemata, 1589.Rien. Margarit Pageau, Les premières œuvres poétiques, essentiellement des tragédies Jean Desplanches, Les Oeuvres poetiques Guillaume Michel, Le Siècle doré, pieux, s’adresse surtout aux clercs. Mais, 1521 !!... On dirait 1490. Ça y est, j’ai écumé les Camenae et les Camnulae. Jacques d'Adonville, La Deffaicte des faux monnoyeurs. Très très court, rien. Les Œuvres du seigneur de La Bergerie [Gilles Durant], Paris : L’Angelier, 1594. Rien sur 500 pages lyriques. S.n., Himne de la guerre et de la paix, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k703127, rien. Guy Coquille, Poemata, Gallica intra muros. Rien de rien. Jehan Grisel, Les premières œuvres poétiques. Les « Vœux aux dieux antiques » écrivent un poème par dieu… mais Vulcain en est absent, même en 1599 ! Jean-Jacques Boissart, Emblemata François Girault, Le Moyen de soy enrichir, court et théorique. Jean Robelin, Poemata, rien de rien. C’est un hellénisant ; en général quand il y a du grec il n’y a pas d’arts du feu. Ligier du Chesne, La Forest Paraenetique, càd une admonestation, à Charles IX. Mais rien sur la forge. Rien dans Claude d’Espence, Urbanarum meditationum in hoc sacro & civili bello elegiae duae . Eucharistia. Parasceve. Aenigma Faustus, De moralibus et intellectualibus… Le Poète au miroir de ses vers. Etudes sur la représentation du poète dans ses œuvres, éd. Hélène Casanova-Robin et Alain Billault, 2013. Rien sur les artisans. François de Lisle, Papillae. Non : ce mot désigne les tétons. Alain Chartier Livre de l’Espérance Passionnant mais pas pour moi : Marie de Romieux, Les premières œuvres poétiques Marc Antoine Flaminius, poète néo-latin religieux. Corrosion and conservation of cultural heritage metallic artefacts Conversation entre les Muses, dir Lise Sabourin. Rien. Œuvres poetiques de Guillaume Alexis, Gallica intra muros. Blasons domestiques de Corrozet, 1539 Guillaume Belliard N. Rapin, Ode mezurée. Rien. Les odes pénitentes / du moins que rien (par Nicolle Bergedé, de Vézelay) 1550 Nicolaï Horii Remensis praefecti auxiliaris Poemata noua. In laudem nostrae sanctae fidei catholicae edita in septem partita libellos..., Nicolaus Horius, Sacon, Jacques Sacon, 1507. Rien. Julien Pié, Epigrammatica nec non Moralia opuscula. Rien. En fait le savoir technique et la poésie néo-latine c'est une rencontre ratée : quand Agricola latinise le savoir technique, la poésie néo-latine est déjà à la traîne... Pierre de Laval, Rimes. C’est de la poésie amoureuse, avec même une ode à Binet, le mécène de Ronsard, cité explicitement. Alors pourquoi il n’y a rien ??? Les Foresteries, de Vauquelin de la Fresnaie, éd. Marc Bensimon, Droz 1956. Rien !! Jacopo Sannazaro, Gryphius, Heitlerus, Bubani, apud Seb. Gryphium, 1536. Rien. Emblemes sur les actions perfections et mœurs du segnor espagnol, 1608. Rien. Etienne Forcadel, Polonia, prose. La Harangue de la déesse Astrée… avec dix sonnets héroïques…, François Habert de Berry, Paris : Guillaume Thibout et Estienne Denise, 1556. La Vie, faictz, passion, mort, resurrection, et ascension de nostre Seigneur…, Michel Foucqué, Paris : Jehan Bien né, 1574. Sonnets héroïques sur le mariage de monseigneur Charles, François Habert, Paris : L’Homme, 1559. Les Pescheries de Christophle de Gamon, divisée en deux parties uploads/Litterature/ these-releve-et-critiques-odt.pdf

  • 16
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager