« COLLECTION EMERGENCY » pour Faculté de Médecine Tel: 651 04 32 66 1 Préambule
« COLLECTION EMERGENCY » pour Faculté de Médecine Tel: 651 04 32 66 1 Préambule La « Collection Emergency » est une collection de documents pour préparer aisément des concours nationaux et internationaux. Chaque document contenant : - Des informations sur ledit concours - Des travaux dirigés - Des anciens sujets avec corrigés Le souci des auteurs de la « Collection Emergency » l’accompagnement des candidats dans une préparation individuelle longue aux concours niveau : CEP Ŕ BEPC Ŕ PROBATOIRE Ŕ BACCALAUREAT et LICENCE. Comment mieux organiser son travail ? I – planifier son travail. Planifier son travail permet de gagner en temps. En effet, notre cerveau ne sait pas de façon « naturel », organiser la gestion du temps rationnellement. Cependant, pour un travail donné, il existe un temps minimum d’exécution en deçà duquel il ne faut plus espérer de bon résultat. En revanche, il existe une durée qui dépend des facultés ou des capacités individuelles de chacun et/ou de la nature du travail effectué. Au-delà de ce temps, le résultat ne peut plus s’améliorer réellement, tandis que l’efficacité décroit. Planifier son travail permet donc d’être plus efficace. Un bon plan de travail pour la journée, la semaine, le mois ou l’année, permet de ne pas « partir dans tous les sens ». Au bout du compte, on fait ce qu’on a à faire et il ne reste plus du temps pour les autres choses. Pour cela, il vous faut : Ne pas travailler le jour le jour, c'est-à- dire être « sans programme ». Il n’en reste pas moins qu’on doit savoir profiter des moments de détente tout en gardant à l’esprit qu’on a un travail à faire. Tenir un agenda Ŕ le meilleur outil pour ne pas travailler dans l’urgence ou à contre temps, c’est un agenda. Ce dernier permet, s’il est bien tenu de savoir ce qui est déjà fait et ce qui reste à faire. Il doit être consulté quotidiennement et mis à jour ou amendé au fil du temps. Agir plutôt que de subir Ŕ pour éviter de subir le temps qui passe et ne s’arrête jamais, il faut agir. Nous ne pouvons agir sur le temps, il est plutôt conseillé d’agir sur ce sur quoi on a prise, c'est-à-dire sur vous- même et sur votre travail. Aussi, apprendre à reconnaître ses forces, ses faiblesses et ses envies permet de choisir le moment opportun pour faire un travail ou encore dans quelles conditions on peut donner le meilleur de soi. II – organiser au mieux son espace travail Faire de son lieu de travail un « petit paradis », un endroit confortable et accueillant est très important. Cela permet d’aborder son travail, ses révisions et ses recherches dans les conditions les meilleures. Pour cela il faut : Se réserver un espace : il est nécessaire de se créer un espace uniquement réserver pour son travail, ses révisions ou ses recherches. Lorsqu’il est possible, cet espace doit être isolé, calme, aéré et bien éclairé, sans une lumière très vive. Créer du vide : un espace de travail ne doit pas être forcément trop grand. En revanche il doit être le moins encombré possible. Un tableau, une table deux ou trois chaises adaptées, une étagère de rangement des ouvrages de référence et une corbeille pour papier constituent l’équipement de base. Il ne faut pas hésiter d’éloigner tout ce qui n’est pas en rapport direct avec les études. Toujours classer : pour ne pas perdre du temps, ne rien perdre et ne rien oublier. Il est pratique de regrouper tout ce qui concerne une même matière au même endroit. Toujours est-il que les méthodes de classement sont diverses et toutes efficaces, à condition de n’en utiliser qu’une seule et de bien s’en tenir. S’équiper : une documentation bien fournie permet un champ d’acquisition élargi. Les outils de référence sont entre autres le dictionnaire de langue, de conjugaison, atlas, … III – Gagner en efficacité Avec un peu de rigueur et beaucoup de régularité, on travaille avec plus de plaisir et de liberté et l’on libère ainsi du temps pour d’autres activités. Pour cela, il faut : Optimiser le temps passé en classe : être attentif en classe et toujours poser des questions sur ce qui vous échappe. Ce qui vous permet de mieux comprendre, mieux prendre les notes et ainsi diminuer le temps qu’on devra passer par la suite à apprendre. Reprendre les cours le soir même : relire ses cours le plutôt permet de mieux « COLLECTION EMERGENCY » pour Faculté de Médecine Tel: 651 04 32 66 2 mémoriser ses connaissances tant que les explications de l’enseignant sont encore fraîches en mémoire. Apprendre à se connaitre : le rythme et la méthode diffèrent d’une personne à une autre. Il faut donc s’observer pour savoir si on est plutôt « du matin » ou « du soir ». Il en est de même pour la façon dont fonctionne votre mémoire (visuelle ou auditive). S’entrainer : pour la plupart des matières, et en particulier l’apprentissage, c’est l’entrainement qui fait de vous un habitué de la chose. Car dit-on « c’est en forgeant qu’on devient forgeron et n’ont en regardant faire ». Prendre soin de soi : bien travailler c’est d’abord et avant tout avoir une bonne hygiène de vie : être propre, manger équilibré et à des heures régulières, dormir au moins huit à neuf heures par nuit, faire du sport, ne pas prendre abusivement des existants tels le café, la caféine, le thé ou de l’alcool. IV – Bien comprendre un travail demandé Bien comprendre un travail demandé est très nécessaire, d’abord pour ne pas se tromper d’exercice, ensuite pour ne pas passer du temps à écrire ou à réfléchir « hors sujet ». Lorsqu’un enseignant vous propose un exercice de synthèse, de dissertation ou de composition sur un sujet donné, il faut toujours vous demander ce qu’il attend de vous. Sans doute ses explications ou ses enseignements des jours ou des semaines précédentes ont porté sur un aspect de ce devoir. Et c’est à vous de faire ce rapprochement. Il faut donc : Etre attentif : lire attentivement et plusieurs fois l’exercice proposé. S’interroger sur des mots : souligner des mots importants qui permettent d’orienter sa réflexion ou ses recherches. Tenter de reformuler le sujet ou la consigne en ses propres mots. Rechercher le but : se demander quels sont le ou les objectifs à atteindre au cours de la réalisation de ce devoir. Ne pas hésiter de poser la question à l’enseignant pour un malentendu. Ne pas hésiter de demander de l’aide : il faut faire ici la différence entre demander de l’aide et tricher. L’aide se demande à des personnes ressources (documentaliste, enseignant, parents, etc. ceci en fonction du travail demandé). « COLLECTION EMERGENCY » pour Faculté de Médecine Tel: 651 04 32 66 3 Examen National D’Aptitude à la Formation Médicale au Cameroun ; FMSB- Biologie - Session 2000 Sur la feuille de réponse, répondre aux questions suivantes en HACHURANT la lettre : A : si les deux propositions sont exactes et reliées entre elles par une relation de cause à effet, B : Si les deux propositions sont exactes, mais non reliées entre elles par une relation de cause à effet, C : Si la première proposition est exacte et la deuxième fausse, D : Si la première proposition est fausse mais la deuxième exacte, E : Si les deux propositions sont fausses. 1. L’ADN sert de matrice la formation d’ARN parce que l’ADN et ARN ont exactement la même composition en bases organiques. 2. Les globules blancs du sang se déplacent par les mouvements amiboïdes parce que les globules blancs possèdent des pseudopodes qui leur permettent d’adhérer fermement sur la paroi des vaisseaux. 3. La section de la racine postérieure de la moelle épinière abolit toute sensation douloureuse dans le territoire correspondant parce que la racine postérieure de la moelle épinière constitue le centre reflexe de la douleur. 4. Le volume de l’ovule est beaucoup plus grand que celui du spermatozoïde parce que le 2e globule polaire n’est expulsé qu’après la pénétration du spermatozoïde. 5. Les graines d’angiosperme présentent toujours un seul cotylédon parce que pendant l’évolution de l’ovule fécondé en graine, seul l’œuf participe à la formation des cotylédons. 6. Toutes les plantes vertes sont autotrophes pour le carbone parce que l’amidon qu’elles synthétisent est entièrement localisé dans les plastes. 7. Au cours de la synthèse, les plantes consomment le dioxyde de carbone et rejettent de l’oxygène parce que le phénomène de photosynthèse se réalise exclusivement la nuit. 8. Lorsque la pression osmotique des liquides interstitiels s’élève, il se produit une déshydratation cellulaire parce que dans ce cas, la pression osmotique intracellulaire tend à diminuer en conséquence. Question 1 2 3 4 5 6 7 8 Réponse C A C B D E C C COMPLEMENT GROUPES Sur la feuille de composition faire uploads/Management/ fac-medecine-2019-emer 1 .pdf
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- Publié le Nov 08, 2021
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