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Grille d’Analyse d’un article Établi par : Asfaoui Nisrine Azaroual Souhaila

Grille d’Analyse d’un article Établi par : Asfaoui Nisrine Azaroual Souhaila Maarouf Mohammed Laaziz Aymene  Oufkir Ahmed 1. Référez votre article L'article sur lequel on s'est basé pour répondre aux différentes questions est sous le nom de "EXPERTISE SERVICE PUBLIC". Il est réalisé en Octobre 2014 et commence par un titre majeur sous forme d'une question "Contrôle de gestion et performance publique : Quel avenir? qui situe le sujet et le concept de l'article. L'auteur est VERONIQUE FOUQUE : Chef du bureau de la performance, de la dépense publique et de la fonction financière. Lien de l'article : https://www.performance- publique.budget.gouv.fr/sites/performance_publique/files/files/documents /performance/controle_gestion/ressources_documentaires/CDG_article- DFCG.pdf 2. Quelle est la principale préoccupation des auteurs à la base de cette recherche ?  Les difficultés du contrôle de gestion au niveau des administrations, car il ne permet pas de donner toutes les évolutions des ministères et rubriques politiques. Il révèle seulement le résultat général de l’administration publique. 3. Selon les auteurs, quels sont les éléments qui causent, influencent ou maintiennent cette situation ?  La responsabilité n’est pas bien répartie et pas bien affectée sur les ministères.  Les finalités sont mesurables seulement sur le moyen et long terme et que l’évaluation de l’efficience est complexe.  L’affectation des moyens selon des cibles et décisions sans une vraie concertation.  L’absence d’une comptabilité analytique notamment la non existence d’une analyse des besoins et couts. 4. Quelle serait la situation désirable selon les auteurs ? que proposent-ils pour l’atteindre ? quelle solution proposent- ils ?  Lier la performance de l’état avec le bon établissement du contrôle de gestion.  Renforcer le rôle et l’apport du contrôle de gestion à l’amélioration de la conduite des politiques publiques.  L’harmonisation des pratiques des directions vis - à vis des services déconcentrés, et le développement des systèmes d’information décisionnels, en coordination avec la politique de développement des systèmes d’information par le secrétaire générale.  La clarification de la politique publique par le secrétaire général puisqu’il est le garant de la qualité du dialogue de gestion et de l’alignement stratégique des différents intervenants.  Au travers du benchmarking en favorisant l’identification des « bonnes pratiques».  Connaître les structures de coût des différents services produits et des différentes politiques de manière à pouvoir optimiser les organisations et investir sur les leviers les plus créateurs d’efficacité.  Ce qui suppose des remontées d’informations fiables et régulières, pour que les indicateurs soient performants. 5. Les auteurs font-ils mention d’un cadre de référence ? si oui, comment justifient-ils leur choix ? Sinon, lequel pourriez-vous suggérer en lien avec cette recherche ?  Oui à la LOLF (lois organiques relatives à la loi de finances), elle introduit la performance de la gestion des administrations et donc le contrôle de gestion est celui responsable à permettre aux ministères de déduire les failles et analyser les indicateurs et résultats.  PLF 2015 : présente les objectifs de l’année au niveau des départements ministériels et donc comparer les résultats avec les attentes et finalités.  La Cour des Comptes dans son rapport sur la gestion budgétaire 2013 révèle que le CG doit être repensé et faire l’objet d’un décret d’organisation. 6. Quel est le but de cette recherche tel qu’énoncé par les auteurs ?  Montrer que le contrôle de gestion ne remplit pas vraiment sa fonction comme elle est mentionnée dans la LOLF en présentant les facteurs de cette faille et en proposant des solutions pour remédier à cette situation et le rendre performant. 7. Identifiez-le ou les concepts à la base de cette étude. Le ou les résumer brièvement.  Loi organique relative à la loi de finance (LOLF) :Ce concept vient avec l'idée de renforcer les pratiques de contrôle de gestion et introduire la performance de la gestion publique dans les administrations. Il permet aussi à l'Etat et surtout les ministères à mieux définir leurs missions et à se fixer des objectifs.  Le dialogue de la gestion : C'est un processus par lequel différents échelons administratifs échangent des informations et parviennent à une décision concertée sur les objectifs à atteindre et sur les moyens mobilisés pour y parvenir.  La contractualisation : Elle est développée dans l'enseignement supérieur des années 1990, elle a pour but de formaliser des objectifs et des engagements réciproque dans le cadre d'une relation managériale. 8. Les auteurs font-ils mention d’une ou plusieurs Q de recherche ? si oui, sont-elles vérifiables et comment ? sinon, en proposez une en lien avec cette recherche (regarder le but ou le H) Quel avenir pour le contrôle de gestion dans le secteur public ? Oui, elle est vérifiable. Car elle permet de mettre en concept plusieurs processus et systèmes de contrôle de gestion dans le secteur public qui mesurent la performance publique comme l'évaluation par LOLF et L'OCDE au niveau mondial, ainsi que la mise en point de la nécessité de renforcer le rôle et l’apport du contrôle de gestion à l’amélioration de la conduite des politiques publiques en avenir. MÉTHODES 9. De quel type de recherche s’agit-il ? expliquez brièvement C’est une recherche descriptivequi caractérise la relation entre le contrôle de gestion et la performance publique en France, et recense des informations sur ce thème. Dans une logique de type de données, cette étude est quantitative ; la performance est mesurée par des variables quantitatives comme le délai de réalisation des services, et le nombre de bénéficiant des services ministériels. 10. Expliquez comment les auteurs ont procédé aux choix méthodologiques Les auteurs ont déterminé d’abord les facteurs à analyser : la performance publique et l’utilisation du contrôle de gestion par les ministères, ensuite l’identification variables à mesurer (la performance publique), pour y arriver il faut définir la population qui est l’ensemble du champ d’action des ministères ainsi que la méthode de collecte des informations : l’observation basée sur les réalisations publiques en matière d’indicateurs de performance. Et finalement les ressources à utiliser, qui sont les rapports de performance existant sur le site performance.gouv.fr 11. Les auteurs ont-ils tenu compte de considérations éthiques, si oui, comment ? Aucune mention de l’éthique de recherche n’est indiquée dans l’article 12. Comment les auteurs ont-ils assuré la fidélité et la validité de leur(s) instrument(s) de collecte de données ? La validité de l’instrument est assurée grâce à l’observation exhaustive, c’est-à- dire la vérification des indicateurs de performance de tous les ministères. La fiabilité est réalisée à travers la mobilisation des sources 100% fiables. RÉSULTATS 13. Quel(s) type(s) d’analyse a (ont) été utilisé(s) afin d’analyser les résultats ? Selon l’article on remarque que l’auteur a adopté une démarche déductive qui est considérée comme une démarche bien précise pour analyser les résultats en allant du général vers le particulier, au début l’auteur nous a montré une présentation générale sur le sujet c'est-à-dire une présentation globale sur la LOLF est son principal rôle dans l’accélération du développement du contrôle de gestion dans les ministères. Dans un second lieu, elle a abordé plusieurs axes comme la performance dans la gestion publique, le développement de la mesure de la performance dans le secteur public, les marges de progrès existent pour développer le contrôle de gestion, les stratégies et mesures adopté etc. L’auteur a passé directement au sujet en traitant ses principaux axes dans le but de positionner le lecteur dans le bon contexte. Et finalement l'auteur a essayé à nous montrer l'avenir du control de gestion dans le secteur public. DISCUSSION 14. La discussion est-elle en lien avec les résultats rapportés dans la section précédente ? si oui, donnez un exemple. Sinon, dites pourquoi Oui, la discussion est en lien avec les résultats précédents, il vient pour compléter ses résultats afin de montrer l’importance de la LOLF dans l’analyse de la performance de la gestion des administrations dans le but de déduire les failles et analyser les indicateurs et résultats. 15. Les auteurs vous ont-ils convaincu(e)s de la pertinence de leur recherche ? expliquez brièvement. Oui effectivement, l'auteur a réussi dans l'analyse de cette thématique, elle a pu nous convaincre sur la pertinence de cette recherche car elle a traité le sujet d’une façon générale et après elle a bien spécifié en traitant les particularités du sujet, d’abord en mentionnant l’aspect théorique de LOLF ensuite en abordant de façon plus détaillée les principaux objectifs de l’année au niveau des départements ministériels, puis l’auteur nous a montré que le contrôle de gestion ne remplit pas vraiment sa fonction comme elle est mentionnée dans la LOLF en présentant les facteurs de cette faille et en proposant des solutions pour remédier à cette situation et le rendre performant. Notons que la cohérence entre ces axes traités rend l’étude plus pertinente. RÉFÉRENCES 16. Les sources de référence sont-elles précisées avec suffisamment d’information dans le texte ? donnez un exemple. En regardant la liste de références, diriez-vous qu’elles sont adéquates ? justifiez votre réponse. Les références sont bien précises, et l’auteur a fourni suffisamment d’information sur toutes les références par exemple : « la loi organique relative à la loi de finance (LOLF) uploads/Management/grille-d-x27-analyse-1.pdf