Corrigé Exercice 1 : Soit le texte ci-dessous Texte : Le smartphone et ses appl

Corrigé Exercice 1 : Soit le texte ci-dessous Texte : Le smartphone et ses applications, outil digital à formater la pensée Plus qu’un outil, le smartphone est vite devenu un objet indispensable au 21ème siècle, au point de devenir une extension de nous-même . C’est justement (1)l’objet de l’analyse de Georges Seror, responsable de l’axe Communication Digitale, qui décrypte aujourd’hui l’influence du smartphone dans notre vie quotidienne. Désormais (2)chaque individu, professionnel ou particulier est attaché à son organe de contrôle personnel : le smartphone. En effet(3), depuis bientôt dix ans, les smartphones nous pistent, renseignent, décident, et géolocalisent à chaque instant. Autant de questions que chacun se pose à tout moment de la journée. Les individus pensent moins qu’ils ne cliquent. Leur réaction instantanée est d’exiger, de demander, d’ordonner aux applications multiples et innovantes, plutôt que(4) d’écouter leurs envies, désirs, souhaits ou sensations du moment. Aux applications de trouver, mais aussi(5) de choisir pour eux. Des applications qui pensent pour nous Un restaurant indien ou une pizzeria ? Un cadeau dans un magasin tout proche à livrer sans frais ? Les applications choisissent à notre place. Plus besoin de penser, il suffit de cliquer et de consommer. C’est le règne du big data. Mais(6), formuler ses pensées personnelles, menant l’individu à ses envies et ce qui le mènera au cœur de sa propre satisfaction, est un véritable exercice. Les applications, elles, pensent pour nous donc (7)pourquoi penser par soi-même à ses propres désirs ? Actuellement(8), l’individu, lorsqu’il est confronté à une problématique engendrant un raisonnement, se voit très vite dépassé. À force de penser sous le joug des applications , chacun se met à réfléchir de manière packagée, marketée, préétablie. Ainsi(9), lorsqu’un groupe d’amis recherche une source d’inspiration pour passer la soirée, il lui est très fréquent d’être en difficulté face une série de pensées trouvant leurs racines dans de réelles émotions et envies, dictées par le ressenti, source d’inspiration. L’acte de choisir fait appel à une forme de pensée basée sur la perception de ses propres désirs. Or, (10) les applications qui nous guident nous contrôlent par les renseignements que nous y laissons, sous la forme de petits cailloux aidant les moteurs de recherche à nous pister et nous enfermer dans une série de choix prémâchés. Nos pensées sont formulées d’avance et nos raisonnements dans le même temps sont pré-formatés. b. Déterminez le sens exprimé par les compléments circonstanciels soulignés dans le texte. Transformez-les en propositions subordonnées en gardant la même relation logique. 3 pts (0,5 pt sens, 1pt subordonnée)  Au point de devenir une extension de nous-même : la conséquence. La subordonnée : au point qu’il devient une extension de nous-même.  À force de penser sous le joug des applications : la cause. La subordonnée : Comme on pense sous le joug des applications. Exercice 2 : Les phrases suivantes sont absurdes car les connecteurs logiques sont mal choisis. Rétablissez leur cohérence en proposant le connecteur approprié. 1. Je souhaiterais t'accompagner lors de cette randonnée, de plus mon vélo est hors d'usage! Mais 2. Nous n'avions pas fait nos exercices parce que le professeur nous a punis. De sorte que 3. Il était impossible d'emprunter cette route, de sorte qu'il y avait énormément de neige, verglacée par endroits .Car 4. Je suis morte de faim, à tel point que je n'ai rien mangé ce matin: néanmoins, il ne restait pas même une malheureuse biscotte. parce que /en effet 5. Il n'y a pas de vent, en conclusion il fait soleil. Bref allons à la plage cet après-midi. De plus /donc 6. Tandis que cet homme a détourné plusieurs millions de francs, il sera condamné à une peine de prison ferme. Comme 7. Au début du printemps, s'épanouissent de nombreuses fleurs jaunes, bref les jonquilles et les narcisses. Comme Exercice 3 : Soulignez le connecteur approprié. 1. Tu rentres et/donc/ou tu sors, donc/mais/car tu ne laisses pas la porte ouverte or/cependant/car il y a des courants d'air ! ; 2. Par ailleurs/Soit que/D'abord, je n'aime pas que l'on me donne des ordres, vu que/ensuite/ainsi je sais ce que je fais, alors que/à savoir/par conséquent je n'ai absolument pas envie de t'écouter ! 3. Il Y a des dangers à pratiquer le clonage des êtres humains. Ces expériences peuvent par ailleurs/en effet/d'ailleurs permettre d'améliorer la culture de cellules d'organes vitaux comme le foie soit/aussi/ou le rein ; en outre elles peuvent aboutir à la création d'êtres exactement semblables à nous-mêmes, du reste/mais/en conclusion à la volonté peut-être contrôlable... 4. La recherche médicale donc/et/notamment scientifique d'une façon générale avance à pas de loup, du reste/c'est pourquoi/parce que nous devons être extrêmement prudents en matière de liberté accordée aux savants. 1) Il ne suffit pas de produire des aliments. Encore faut-il qu’ils puissent être consommés par les groupes humains qui en ont besoin. 2) Hormis dans l’océan indien apparemment, partout ailleurs les stocks en poissons s’épuisent. 3) Nous pratiquons une petite incision afin que l’animal puisse mieux respirer pendant l’opération. 4) Il nous sera impossible de publier votre ouvrage avant le mois de mars, d’autant que vous ne nous avez pas encore fait parvenir toutes les corrections définitives de votre texte. 5) Les éléphants sont exclusivement herbivores, non comme les humains. 6) Quand bien même que tu lui aurais présenté tes excuses, je crois que, rancunière comme elle est, elle ne t’aurait pas pardonné. 7) Ce modèle de véhicule nous semble le plus fiable, abstraction faite des quelques défauts esthétiques que nous y avons constatés. 8) Nous hésitons à commercialiser cette boisson du fait de sa trop forte teneur en caféine. 9) Les médecins ont insisté pour que le patient soit mis en quarantaine de crainte qu’il contamine d’autres individus. 10) Je déteste manger les fruits, à la rigueur je supporte les noix et quelques autres fruits secs. EXERCICE 4 1.. Je ne vais plus au cinéma [depuis que tu m’as offert un magnétoscope]. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 2. J’ai fini mon travail vers sept heures, exactement dix minutes [avant que vous arriviez]. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 3. Le spectacle n’était pas renversant [au point que nous en perdions (ou ayons perdu) la tête]. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif (Dans les subordonnées exprimant la conséquence, on emploie le subjonctif lorsque la phrase matrice est négative.) 4. Il a relevé sa manche [pour que nous puissions admirer son tatouage]. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 5. Pourquoi ces clients sont-ils partis si vite [que je n’aie pas pu les servir] ? Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 6. Je vous préviens que, [lorsqu’il hoche la tête], il veut dire « non ». Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 7. [Puisqu’il commence à faire noir], il serait bien que vous rentriez les poules. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 8. [Avant qu’il fasse noir], vous devriez réparer la clôture. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 9. Il a rabattu la couverture de son cahier [sans que j’aie (ou aie eu) le temps de copier]. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 10. Rien ne semblait lui plaire, [jusqu’à ce que nous lui servions ses repas dans sa chambre]. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 11. Il fait beaucoup trop froid [pour que tu sortes en bermuda]. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif Exercice 5 : 1. Il est certain que je n’aurais pas dû acheter ce château même si j’en avais envie. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 2. À partir de maintenant et tant qu’il fera beau, vous entrerez par la porte de la cuisine. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 3. Il s’est emparé des chocolats dès que j’ai eu le dos tourné. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 4. Vous nettoierez le jardin avant qu’il se mette à pleuvoir. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 5. Il apprêtait les poissons qu’il venait de pêcher parce que, de cette façon, il pourrait les mettre au congélateur sans tarder. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 6. Étant donné que tu ne serais pas là, je n’y suis pas allé moi-même. Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 7. J’ai choisi une chambre qui donnait sur la cour de telle sorte que je puisse dormir jusqu’à midi. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 8. Il voulait aller dans cette salle de cinéma, quel que (1) soit le film, parce que, selon lui, on (2) pouvait y manger du pop-corn à volonté. (1) Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif (2) Mode du verbe de la subordonnée : indicatif 9. Personne ne pourra entrer sans que la porte soit ouverte. Mode du verbe de la subordonnée : subjonctif 10. On a laissé les stores ouverts de telle manière que ma grand-mère pourra voir le jardin de son lit. Mode du verbe de la uploads/Philosophie/ corrige-logiques 1 .pdf

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