9/11, Avenue Franklin D. Roosevelt - 75008 PARIS S.A. au capital de 680 000 Dun
9/11, Avenue Franklin D. Roosevelt - 75008 PARIS S.A. au capital de 680 000 Duns Scot et de l’aléatoire « Duns Scot et Guillaume d’Occam sont sûr les plus grands esprits spéculatifs du Moyen Age ainsi que les plus profonds métaphysiciens qui aient jamais existé (C.S.Pierce) « Comme toute expérience l’invalidité de la loi de causalité est définitivement démontrée par la mécanique quantique (Heisenberg in Zeitschrift für Physik notion de causalité et aurait ainsi « qu’un habitus de la pensée. Kojève, de structure causale car les prévisions exactes ne sont pas une conception indéterministe statistiques vérifiables mais il n’est plus possible de comprendre ou de vérifier avec exactitude le comportement de phénomènes physiques particuliers intelligence supérieure et omnisciente qui serait régulatrice. La mécanique quantique ne peut déboucher que sur un athéisme de fond… L’aléatoire ou le contingent L’aléatoire, au lieu d’être dans la limite de la saisie du réel devient un a priori qui rend caduque toute tentative d’explications classique telle que l’appréhendait Laplace avec sa fameuse formule positions et toutes les vitesses régulatrice au sens kantien de la pensée causale déterministe. Metaphysics, Suppes avance que les phénomènes ont un caractère essentiellement 75008 PARIS - Tél. 33 (0)1 42 56 25 97 - Fax. 33 (0)1 42 25 95 37- contact@cybel.fr 80 000 € - R.C. Paris B 325 877 405 - SIRET 325 877 405 00028 - www.cybel.fr Duns Scot et la métaphysique de l’aléatoire Duns Scot et Guillaume d’Occam sont à coup sûr les plus grands esprits spéculatifs du Moyen Age ainsi que les plus profonds métaphysiciens qui aient jamais existé (C.S.Pierce) Comme toute expérience est soumise à la mécanique quantique et donc à [p,q]~h, l’invalidité de la loi de causalité est définitivement démontrée par la mécanique quantique Zeitschrift für Physik, 23, 1927). La mécanique quantique serait donc première dans la on de causalité et aurait ainsi « démontré » que Hume avait raison de dire que la causalité n’est qu’un habitus de la pensée. Kojève, connu comme hégélien de choc, prétendait que « de structure causale car les prévisions exactes ne sont pas possibles. La Physique moderne conduit à ou statistique du réel : sa structure permet de faire des prévisions statistiques vérifiables mais il n’est plus possible de comprendre ou de vérifier avec exactitude le e phénomènes physiques particuliers ». Il ne saurait donc pour Kojève y avoir une intelligence supérieure et omnisciente qui serait régulatrice. La mécanique quantique ne peut déboucher que sur un athéisme de fond… L’aléatoire ou le contingent ? léatoire, au lieu d’être dans la limite de la saisie du réel devient un a priori qui rend caduque toute tentative d’explications : il ne peut plus y avoir que des descriptions. La Physique classique telle que l’appréhendait Laplace avec sa fameuse formule « si je connais toutes les positions et toutes les vitesses de tous les corps, je connais tout l’Univers », n’est qu’une idée régulatrice au sens kantien de la pensée causale déterministe. Au contraire, dans so que les phénomènes ont un caractère essentiellement contact@cybel.fr www.cybel.fr 1 sûr les plus grands esprits spéculatifs du Moyen Age ainsi que les plus profonds métaphysiciens qui aient jamais existé » est soumise à la mécanique quantique et donc à [p,q]~h, l’invalidité de la loi de causalité est définitivement démontrée par la mécanique quantique » , 23, 1927). La mécanique quantique serait donc première dans la » que Hume avait raison de dire que la causalité n’est hégélien de choc, prétendait que « le réel n’a pas possibles. La Physique moderne conduit à : sa structure permet de faire des prévisions statistiques vérifiables mais il n’est plus possible de comprendre ou de vérifier avec exactitude le ne saurait donc pour Kojève y avoir une intelligence supérieure et omnisciente qui serait régulatrice. La mécanique quantique ne peut donc léatoire, au lieu d’être dans la limite de la saisie du réel devient un a priori qui rend y avoir que des descriptions. La Physique si je connais toutes les », n’est qu’une idée ans son livre Probabilist que les phénomènes ont un caractère essentiellement probabiliste qui 9/11, Avenue Franklin D. Roosevelt - 75008 PARIS S.A. au capital de 680 000 est tout autant présent que leur caractère spatial ou temporel. Il montre en particulier que les lois fondamentales des phénomènes naturels sont de nature probabiliste, que notre concept matière doit contenir un élément aléatoire schéma déterministe, serait donc désintégration de substances radioactives). Donc, en vérité, seule une stochastiques des causes permet complexes. Contrairement à la définition classique, maintenant de révéler l’accès presque impossible à des connaissances certaines. concerne la connaissance scientifique acquise par expéri central de la variabilité dans les phénomènes quasi inaccessible la certitude des résultats. Aussi faut méthodologie naturelle en de telles circonstances laquelle reçoit par ailleurs le soutien de résultats théoriques aussi fondamentaux que le principe d’incertitude d’Heisenberg en mécanique quantique. « La science n’est plus une approximation incessante vers un ensemble de vérités éternelles et universelles. Le modèle de la science est désormais bien plus celui Ciment des Choses, p.16). Les propriétés des objets de la Physique et les lois Mais alors que devient le concept de propriété une idée dans notre esprit. Ce qui détermine l’ide sien de contribuer aux pouvoirs causaux des choses qui l’ont. Donc la propriété P existe seulement si, il existe des circonstances dont les instanciations ont des conséquences causales. On voit que la question sous-jacente sera déterminisme. Mais Morin avance que « les relations entre les corps matériels qui gravitationnelles. Plus encore, le problème du déterminisme est devenu celui de l’ordre de l’Univers. L’ordre signifie qu’il n’y a pas de lois mais des contraintes, des invarian Univers ». Que sont alors les lois telles que la Physique les envisage l’aphorisme de Jean-Pierre Serre, titulaire de la chaire d’algèbre du Collège de France ce sont les règles que Dieu a créées, les mathématiques, boutade est évidemment aux antipodes de l mesura et in numero et in pondere deposuisti 75008 PARIS - Tél. 33 (0)1 42 56 25 97 - Fax. 33 (0)1 42 25 95 37- contact@cybel.fr 80 000 € - R.C. Paris B 325 877 405 - SIRET 325 877 405 00028 - www.cybel.fr autant présent que leur caractère spatial ou temporel. Il montre en particulier que les lois fondamentales des phénomènes naturels sont de nature probabiliste, que notre concept contenir un élément aléatoire intrinsèque. La causalité, classiquement pensé donc en fait essentiellement probabiliste (voir désintégration de substances radioactives). Donc, en vérité, seule une des causes permettrait de rendre compte de phénomènes intrinsèquement à la définition classique, l’enseignement majeur de la de révéler l’accès presque impossible à des connaissances certaines. scientifique acquise par expérimentation et procédures de mesure, le rôle de la variabilité dans les phénomènes et des erreurs dans les procédures de mesure a rendu quasi inaccessible la certitude des résultats. Aussi faut-il voir en l’analyse probabiliste la méthodologie naturelle en de telles circonstances laquelle reçoit par ailleurs le soutien de résultats riques aussi fondamentaux que le principe d’incertitude d’Heisenberg en mécanique quantique. La science n’est plus une approximation incessante vers un ensemble de vérités éternelles et universelles. Le modèle de la science est désormais bien plus celui de l’enquête. des objets de la Physique et les lois. Mais alors que devient le concept de propriété ? Pour Locke, c’était le pouvoir de produire une idée dans notre esprit. Ce qui détermine l’identité d’une propriété, c’est le po ribuer aux pouvoirs causaux des choses qui l’ont. Donc la propriété P existe des circonstances dont les instanciations ont des conséquences causales. On jacente sera le lien entre le légalisme qui permet de créer des lois et le Morin avance que « la gravitation ne régule pas les corps matériels, elle régule les relations entre les corps matériels qui, avant leur constitution, n’avaient pas de lois gravitationnelles. Plus encore, le problème du déterminisme est devenu celui de l’ordre de l’Univers. L’ordre signifie qu’il n’y a pas de lois mais des contraintes, des invariants, des régularités dans notre nt alors les lois telles que la Physique les envisage ? On ne peut que penser à Pierre Serre, titulaire de la chaire d’algèbre du Collège de France eu a créées, les mathématiques, les règles qu’il a dû appliquer » est évidemment aux antipodes de la fameuse formule du Livre de la Sagesse « mesura et in numero et in pondere deposuisti » ! contact@cybel.fr www.cybel.fr 2 autant présent que leur caractère spatial ou temporel. Il montre en particulier que les lois fondamentales des phénomènes naturels sont de nature probabiliste, que notre conception de la a causalité, classiquement pensée selon un essentiellement probabiliste (voir par exemple la analyse en termes nes intrinsèquement l’enseignement majeur de la science est de révéler l’accès presque impossible à des connaissances certaines. Ainsi, pour ce qui mentation et procédures de mesure, le rôle et des erreurs dans les procédures de mesure a rendu il voir en l’analyse probabiliste la méthodologie naturelle en de telles circonstances laquelle reçoit par ailleurs le soutien de résultats riques aussi fondamentaux uploads/Philosophie/ duns-scot-et-la-metaphysique-de-l-x27-aleatoire.pdf
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- Publié le Apv 16, 2021
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