Histoire du matérialisme, et critique de son importance à notre époque Friedric

Histoire du matérialisme, et critique de son importance à notre époque Friedrich-Albert Lange C. Reinwald, Paris, 1877 Exporté de Wikisource le 02/11/2016 TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE TOME PREMIER __________ HISTOIRE DU MATÉRIALISME JUSQU’À KANT Pages. PREMIÈRE PARTIE Le matérialisme dans l’antiquité Le matérialisme se rencontre parmi les plus anciens essais d’une conception philosophique du monde. Conflit entre la philosophie et la religion — 1 et 2. — Preuve de ce conflit dans l’ancienne Grèce — 2. — Origine de la philosophie — 4. — Influence des mathématiques et de l’étude de la nature — 5. — Relations avec l’Orient. Commerce — 5. — Prédominance de la déduction — 6 et 7. — Réalisation complète du matérialisme par l’atomistique — 8. — Démocrite ; sa vie, sa personnalité — 9-11. — Éternité de la matière — 12 et 13. — Nécessité — 14. — Les atomes et le vide — 16 et 17. — Cosmogonie — 18 et 19. — Propriétés des choses et des atomes — 20 et 21. — L’âme — 21-24. — Morale — 24. — Empédocle et l’origine de la finalité — 25-29 Sensualisme et matérialisme — 30 et 31. — Les sophistes, en particulier Protagoras — 31-37. — Aristippe — 37 et 38. — Rapport entre le matérialisme théorique et le matérialisme pratique — 39-41. — Dissolution de la civilisation hellénique sous l’influence du matérialisme et du sensualisme — 41-44 Rétrogradations indubitables et progrès douteux de l’école athénienne opposée au matérialisme 45-47. — Le passage de l’individualité à la généralité ; il est préparé par les sophistes — 48-50. — Sur les causes du développement des systèmes opposés et la simultanéité de grands progrès à coté d’éléments réactionnaires 50 et 51. — État des esprits à Athènes — 51. — Socrate réformateur religieux —53- 55. — Ensemble et tendance de sa philosophie — 55-63. — Platon ; tendance et développement de ses idées — 63-65. — Sa conception de la généralité — 66-69. — Les idées et le mythe au service de la spéculation — 69-72. — Aristote n’est pas empirique, mais systématique — 73-75. — Sa téléologie — 75-77. — Sa théorie de la substance ; le mot et la chose — 77-80. — La méthode — 80 et 81. — Essai critique sur la philosophie aristotélique — 81-84 Vicissitudes du matérialisme grec — 85 et 86. — Caractère du matérialisme après Aristote. Prédominance du but moral — 87 et 88. — Le « matérialisme des stoïciens » — 88-90. — Épicure ; sa vie et sa personnalité — 90-93. — Comment il vénérait les dieux — 93. — Affranchissement de la superstition et de la crainte de la mort — 94. — Sa théorie du plaisir — 95. — Physique — 95-99. — Logique et théorie de la connaissance — 99-103. — Épicure écrivain — 103. — Les sciences positives commencent à l’emporter sur la philosophie. Alexandrie — 105-112. — Part qui revient au matérialisme dans les conquêtes scientifiques des Grecs — 112-117 Rome et le matérialisme — 118-121. — Lucrèce ; son caractère et ses tendances — 121-124. — Sommaire du premier livre : la religion est la source de tout mal — 124. — Rien ne vient de rien et rien ne peut être anéanti — 125-127. — Le vide et les atomes — 127 et 128. — Éloge d’Empédocle ; le monde est infini — 128 et 129. — Idée de la pesanteur — 129 et 130. — La finalité considérée comme cas spécial et permanent dans toutes les combinaisons possibles — 131 et 132. — Sommaire du deuxième livre : Les atomes et leurs mouvements — 132-136. Origine de la sensation — 136. — Les mondes qui naissent et disparaissent sont en nombre infini — 137. — Sommaire du troisième livre : L’âme — 137-139. — Inanité de la crainte de la mort — 139-141. — Sommaire du quatrième livre : L’anthropologie spéciale — 141. — Sommaire du cinquième livre : Cosmogonie — 142. — La méthode des possibilités dans l’explication de la nature — 143. — Développement du genre humain ; origine du langage, des arts, des États — 144-147. — La religion — 147 et 148. — Sommaire du sixième livre : Phénomènes météoriques ; maladies ; les régions averniennes — 148 et 149. — Explication de l’attraction magnétique — 149 et 150. DEUXIÈME PARTIE La période de transition Disparition de l’ancienne civilisation — 153. — Influence de l’esclavage ; de la fusion des religions ; de la demi-culture — 154 et 155. — Incrédulité et superstition — 155-158. — Le matérialisme de la vie — 156 et 157. — Les vices et les religions pullulent — 157 et 158. — Le christianisme — 158-161. — Caractères communs aux religions monothéistes — 161-163. — Doctrine mosaïque de la création — 163. Conception purement spirituelle de Dieu — 163. — Opposition énergique du christianisme contre le matérialisme — 164. — Esprit plus favorable du mahométisme ; l’averroïsme ; services rendue par les Arabes aux sciences physiques et naturelles ; libre-pensée et tolérance — 165-170. — Influence du monothéisme sur la conception esthétique de la nature — 171. Aristote, en confondant le mot et la chose, donne naissance à la philosophie scolastique — 173-176. — La conception platonicienne des idées de genre et d’espèce — 176 et 177. — Les éléments de la métaphysique aristotélique — 177-180. — Critique de l’idée aristotélique de la possibilité — 180-184. — Critique de l’idée de substance — 184-186. — La matière — 186 et 187. — Transformation de cette idée dans les temps modernes — 187. — Influence des idées aristotéliques sur la théorie de l’âme — 187-190. — La question des universaux ; nominalistes et réalistes — 191-194. — Influence de l’averroïsme — 194. — Influence de la logique byzantine — 194-197. — Le nominalisme précurseur de l’empirisme — 197 et 198. AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR INTRODUCTION PAR D. NOLEN AVANT-PROPOS DE L’AUTEUR CHAPITRE PREMIER. — PÉRIODE DE L’ANCIENNE ATOMISTIQUE, PARTICULIÈREMENT DÉMOCRITE. CHAPITRE ll. - LE SENSUALISME DES SOPHISTES ET LE MATÉRIALISME MORAL D’ARISTIPPE. CHAPITRE III. — LA RÉACTION CONTRE LE MATÉRIALISME ET LE SENSUALISME. SOCRATE, PLATON, ARISTOTE.. CHAPITRE IV. — LE MATÉRIALISME EN GRÈCE ET À ROME APRÈS ARISTOTE. ÉPICURE.. CHAPITRE V. — LE POËME DIDACTIQUE DE LUCRÈCE SUR LA NATURE.. CHAPITRE PREMIER. — LES RELIGIONS MONOTHÉISTES DANS LEUR RAPPORT AVEC LE MATÉRIALISME.. CHAPITRE II. — LA SCOLASTIQUE ET LA PRÉDOMINANCE DES IDÉES D’ARISTOTE SUR LA MATIÈRE ET LA FORME.. La scolastique forme le trait d’union des civilisations européennes — 199-200. — Le mouvement de la Renaissance des sciences se termine par la réforme de la philosophie — 200 et 201. — La théorie de la vérité double — 202 et 203. — L’averroïsme à Padoue — 203 et 204. — Pierre Pomponace — 204-208. - Nicolas d’Autrecour — 209. — Laurent Valla — 210. — Melanchthon et divers psychologues de l’époque de la Réforme — 210-212. — Copernic — 213-214. — Giordano Bruno — 214-217. Bacon de Verulam 217 et suiv. — Descartes — 218. — Influence de la psychologie des bêtes — 225. — Système de Descartes et ses opinions véritables — 226-228. TROISIÈME PARTIE Le matérialisme du XVIIe siècle Gassendi rénovateur de l’épicurisme — 229. — Préférence donnée à ce système comme le mieux adapté aux nécessités de l’époque, particulièrement au point de vue de l’étude de la nature — 230. — Conciliation avec la théologie — 230-232. Jeunesse de Gassendi ; ses Exercitationes paradoxicœ — 232 et 234. — Son caractère — 234. Polémique contre Descartes — 235 et suiv. — Sa doctrine — 237-242. — Sa mort. — Son rôle dans la réforme de la physique et de la philosophie naturelle — 242. Développement intellectuel de Hobbes — 243 et suiv. — Ses travaux et ses aventures pendant son séjour en France — 245-247. — Sa définition de la philosophie — 247 et 248. Sa méthode ; il se rattache à Descartes, non à Bacon ; il reconnaît les grandes découvertes modernes — 249 et suiv. — Sa lutte contre la théologie — 251 et 252. Système politique de Hobbes — 252-254. — Sa définition de la religion — 255. Les miracles — 255 et 256. Ses notions fondamentales de physique — 256-258. — Son relativisme — 258. — Sa théorie de la sensation — 258 et 259. — L’univers et le dieu corporel — 260. Connexion entre le matérialisme du XVIIe siècle et celui du XVIIIe siècle — 261 et suiv. — Circonstances qui favorisèrent le développement du matérialisme en Angleterre — 263-268. — Union du matérialisme fondé sur les sciences de la nature avec la foi religieuse ; Boyle et Newton — 268. — Boyle, sa personnalité et son caractère — 270. Sa prédilection pour l’expérimentation — 271. — ll est partisan de la conception mécanique du monde — 272-274. — Newton, son caractère et sa vie — 274 et suiv. — Réflexion sur la manière dont Newton fit sa découverte : il uploads/Philosophie/ histoire-du-materialisme-1.pdf

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