Lectures stoïques de Noël Avant de se convertir au christianisme, le monde roma
Lectures stoïques de Noël Avant de se convertir au christianisme, le monde romain tardif avait survécu moralement grâce à la sagesse stoïcienne, avec son aura de résignation obstinée, avec son ascétisme amer, sans illusions et sans autre espoir que celui de la guérison. Dans le stoïcisme il existe une noblesse imposante, un esprit ascétique boréal, un exemple de verticalité sans ciel. N’est par hasard que le stoïcisme est entre avec discrétion, mais vigoureusement dans le tissu de la pédagogie chrétienne. Epictète et Marc Aurèle ont reste jusqu’à aujourd’hui des livres de chevet de la civilisation européenne. Mais qu’était ce qu’il manqué a les Stoïciens pour obtenir non une adaptation raisonnable au monde, mais un nouveau monde, avec des autres fondements et autres ciels ? C’est-à-dire, comment se peut transformer la philosophie en foi ? Je ne fasse cette demande pour livrer une réponse ou pour fournir le projet d’une vaste recherche académique. Tout simplement, je la propose comme un thème de méditation autour du Noel. Parce que a l’arrivé de Jésus Christ dans le monde corresponde, analogiquement, l’entrée dans le monde du christianisme dans l’espace du grand empire stoïque du Rome. Il faut dire qu’au-delà de l’échelle morale des textes stoïques, des fois tu te cognes de platitudes monumentales. „…Il est préférable d'être heureux même si vous été borde des ressources matérielles limitées que quand tu gâtes de l’abondance, être troublé par la souffrance” sonne un texte de Épictète. Autrement dit meilleure être pauvre et saine que riche et malade. Evidemment telles cérémonies commémorant plein de sagesse sont richement récompensées par la finesse et l’immensité insondable d’autres paysages. Mais vous ne pouvez non donner justice à Hegel de ses conférences de l’histoire de la philosophie quand il termine le chapitre sur Les Stoïciens avec la phrase suivante : „ Au Seneca on trouve beaucoup des choses édifiantes, élevées, renforts pour l’âme, des antithèses pleines d’esprit, rhétorique, finesse de les distinctions. Mais en même temps, devant ses discours on sent fraîcheur et ennui. C’est l’effet inévitable de toutes les philosophies que cherchent des solutions de vie en faisant abstraction d’horizon du mystère. Jésus est ne non seulement dans une monde pécheur, désorienté, presse par les pouvoirs. Il était né dans un monde fondamentalement ennuyée. Dans ce contexte d’ennui il est venu avec un énorme potentiel de la nouveauté: il a apporté « scandale » intellectuel, de surprise morale, d’espoir fou. D’ici, nous avons pris son effet de la conscience, sa fraîcheur contagieuse. Le christianisme a enfoncé les bords de l’intellect, a désassemblé la moralité conventionnelle et a imposé comme dessein l’impossible. La sagesse stoïque, comme toutes les autres sagesses qui ont restés jusqu’au aujourd’hui, elle s’efforce d’entrer dans les contours de la rationalité et de le nature. Une telle sagesse, étant respectueuse avec les « lois de la nature » échoue inévitablement dans le prévisible et la banalité. Elle prescrit une conduite, une thérapeutique généralement disponible. En résumé, elle prescrit une recette. Si tu l’adopte, ce qu’il reste de faire est de l’appliquer. Quand la pratique de la philosophie, comprise comme la médicine de l’âme, veut atteindre son objectif va s’auto suspendre. Les stoïques disent que la philosophie ne doit être ni théorie pure, ni un travaille toujours sombre de l’interprétation d’un texte. Elle faut qu’elle produise un guide, une technique d’une continuité optimale. Une fois que vous obtenez la technique, il n’y a pas besoin de réfléchir sur les problèmes du monde, parce qu’il n’y a rien de rechercher. Mais, le christianisme récupère juste le prestige de la recherche et de l’aventure individuelle. Il ne propose des recettes, mais il indique les directions. Il ne se ferme dans les règles, mais il s’ouvre vers l’infinité des cas. Chaque personne est un problème distinct, unique, et elle doit parcourir une trajectoire unique. Vous en donne un repère stable, transcendante, et vous été libre d’aller vers lui sur une voie privée, inviolable. Tu as une modèle et tu as l’appui liturgique. Mais le rituel n’est une « discipline » simple parce qu’il n’a la structure de la « solution », mail celle de le « chemin ». Le christianisme déclare que tu ne peux fonctionner dans ce monde selon ses règles, mais selon les règles de Celui qui l’a créé. C’est-à-dire, tu non vivre dans ce monde selon les règles prescrits, que conservant toujours une tête de pont que se trouve au-delà de ses frontières. Le stoïque veut la réconciliation avec soi-même. Le chrétien veut la réconciliation avec quelque chose plus profonde que son propre « moi ». Seul, le soi- même dans son dimension actuelle, strictement mondain est ennuyeux. Dans le meilleur des cas il s’administre des commandements d’adaptation: ne t’attrister pas trop fort, ne t’égayer trop, abstiens-tu, acceptes ton destin. „Qui voudra sauver son âme le perdra ”-appelle tout au contraire le message du Christ. Dans cette phrase on ne sent plus rien de l’ordre de la règle, de la garantie rationnelle. Elle apporte à la scène une provocation et un risque, sans lien avec la « sagesse de ce monde ». Il est un risque que le stoïque ne semble pas disposé à prendre en compte. „ Et ceux qui sont au-delà de la nôtre compréhension, au-dessous de nous, laisser-les d’un cote”, dit Épictète prudemment. Mais dans un autre endroit son « soi » plus profonde dit d’autre: „La pensée aux dieux soit plus constamment que la respiration ”. La lecture du Stoïciens c’est encore un emploi rentable et charmant… uploads/Philosophie/ lectures-stoiques-du-noel.pdf
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- Publié le Jul 29, 2022
- Catégorie Philosophy / Philo...
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