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Accueil Cours Exercices Devoirs Vidéo QCM Nous contacter Créer un compte Fascicule des partenaires Nous soutenir QCM Maths 3e SVT 3e Science de La Terre 3e Science de La Vie 3e Exo SVT 3e BFEM SVT LYCÉE Seconde Math 2nd Cours Maths 2nd Exo maths 2nd Devoir Maths 2nd PC 2nd Cours PC 2nd Exo PC 2nd Cours SVT Seconde Première Maths 1ere Cours Maths 1ere Exos Maths 1ere Devoir Maths 1ere PC Première Cours PC 1ere Exo PC Première Cours SVT Première Terminale Maths Terminale Cours Maths TS Exos Maths Terminale Devoir Maths Terminale PC Terminale Cours PC Terminale Exo PC Terminale SVT Terminale Exos SVT Terminale Philosophie Cours Philo Savoir-faire Philo Texte Philo Exo Philo Histoire Géographie (Anaximandre, Anaximène, Empédocle etc. ...) qui tentaient d'expliquer les phénomènes par la combinaison de la matière élémentaire (eau, air, terre et feu). Nous devons à Thales ( siècle avant J.C) le postulat de la possibilité pour l'esprit de comprendre la nature. L'Ionie (en Asie mineur, l'actuelle Turquie) du Vème siècle avant notre ère est le lieu de naissance des premiers scientifiques qui prônèrent qu'il est possible de comprendre la nature. Pythagore né vers avant J.C en Italie du sud propose une théorie des nombres aux principes de toutes choses son influence sur Platon sera déterminante. Héraclite d'Éphèse, avant J.c est le point culminant de ce premier éveil de la pensée. D'après lui, au principe de toutes les oppositions et de tous les changements se trouvent un feu éternellement vivant et que tout l'univers est un fleuve. Parménide ( et siècle avant notre ère) prône l'idée de l'être de son existence absolue, il place la réalité dans l'un et non dans le pluriel l'unique affirmation de la philosophie est l'être est. 2) La période grecque classique Cette période est marquée par les sophistes considérés par Socrate à travers Platon comme les faux philosophes contrairement à Socrate le vrai philosophe. a) les sophistes C'est Platon, l'ennemi des sophistes, qui leur a donné la détestable réputation qui leurs est restée ans plus tard. Pour nous, un sophiste est un cynique qui se sert de son habileté à parler afin de faire passer pour vrai ce qui est faux et de persuader les naïfs qui l'écoutent... à l'opposé du vrai philosophe, il ne croit pas à ce qu'il dit car il est capable de plaider le pour aussi bien que le contre, n'hésitant pas à utiliser un raisonnement appelé sophisme et la rhétorique cet art de convaincre sans avoir raison. Les sophistes se servent du langage comme d'un instrument au service du pouvoir de persuader sans se soucier de la vérité. V ième Télécharger livre PDF tous les ouvrage pour réussir vos études Youscribe Télécharger 500 567 −480 IV ième V ième 2500 Télécharger livre PDF tous les ouvrage pour réussir vos études Youscribe Télécharger Les non naturels et non nécessaires (pouvoir et argent) L'épicurisme est une sagesse dont le but est la tranquillité de l'âme le bonheur est l'opposé de l'agitation. L'épicurisme est un matérialisme parce que selon lui toute réalité est matérielle. b) le stoïcisme C'est l'un des principaux de l'antiquité grecque et romaine il a été illustré par hommes qui ont vécu aux extrêmes de l'échelle sociale. Epictète fut esclave et Marc Aurèle empereur Ce sont les stoïciens qui les définirent leur philosophie comme un système, c'est-à-dire un ensemble ordonné de pensées traduisant la totalité de la réalité. La philosophie stoïcienne comprend : Une logique qui donne les règles du raisonnement Une physique qui rend compte de l'ordre de l'univers Une éthique (morale) qui délivre les règles de la vie bonne Le stoïcisme est un panthéisme, il considère que l'univers matériel est de nature divine et rationnelle... Les êtres sont les étincelles d'une sorte de feu universel ; la morale l'éthique stoïcienne consiste à se conformer à cet ordre universel. La sagesse et le bonheur sont définis comme absence de passion, sur le plan moral c'est une sorte fatalisme de volontarisme, d'un effort réalisé sur soi. L'idée morale du stoïcisme est la distinction de ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Dépend de nous, nos représentations nos pensées Ne dépend pas de nous tout ce qui nous vient de l'extérieur (maladie, douleur, mort, notre situation sociale). Epictète résume le stoïcisme en ces termes '' supporte et abstiens toi '' c) Le scepticisme Le scepticisme ne croit ni au caractère absolu de la vérité ni au caractère objectif du bien. Il représente un relativisme radical. B. La période médiévale ( – siècle) L'occident chrétien médiéval, jusqu'à la fondation de la scolastique à la fin de siècle oscille entre plusieurs positions, soit il rejette la philosophie à la façon de saint Paul qui opposait la foi du christ à la sagesse du monde et proclamait que le mystère de la croix est un scandale pour les juifs et une folie pour la sagesse grecque. Un processus parallèle se déroule dans le monde musulman le livre d'Alghazali (la destruction des philosophes) et qui abouti au remplacement de ce nom par (Théosophie) désignant la doctrine du sage complet. Cependant, au siècle le dernier des grands philosophes arabe Ibarushd (Averroès) aura procuré un commentaire d'Aristote qui traduit en latin est à l'origine de tout l'aristotélisme − 2 2 1er − − − 5ième 15ième XI ième XII ième 2) La philosophie et la religion Dans l'histoire de la pensée la philosophie et la religion n'ont cessé de se mesurer l'une à l'autre. L'étymologie du mot religion donne bien à voir la notion de respect qui y est contenue. Si la plus part des anciens tirent en effet religion de religare et y voient l'idée d'un lien qui nous unit à la divinité, certains rattachent religion à religère qui signifie vouer un culte et respecter. On trouve ainsi dans l'idée de religion le thème d'une obligation envers les dieux ou DIEU. La religion peut être envisagée sous un double aspect : D'une part comme institution sociale et objective ; Et d'autre part comme système individuel de croyances. La religion s'exprime par la révélation qu'on ne doit pas discuter il faut y croire avec la foi sans le moindre doute ; c'est pour cette raison que Pascal affirme que "c'est le cœur qui sent Dieu et non la raison". La religion n'aime pas la preuve ni la justification essayer de prouver ou de justifier la foi serait profaner la religion et s'y soumettre reste sacré. La croyance au sacré est la croyance à l'absolu. Selon Cicéron la religion vient de "religère" rassembler et "religare" rattacher ainsi elle rassemble et rattache les hommes ensemble à des puissances surnaturelles qu'ils doivent vénérer. C'est le sentiment du sacré mélangé de crainte et de respect pour des forces qui nous dépassent, vénération du sacré, la religion prend la forme de rite qui se distingue du temps profane comme temps des affaires humaines. La religion a systématiquement traité la philosophie de subversive, dangereuse et nuisible mais selon Marx, Nietzsche, Freud la religion n'est qu'une illusion aliénante dont l'homme doit se défaire pour réaliser pleinement sa liberté. Pour eux, c'est l'homme qui est le créateur des dieux et des valeurs auxquels il voue un culte adoré. La philosophie est fondée sur la raison alors que la religion est fondée sur la théologie qui n'est que la crainte d'une part et d'autre part l'espoir d'une récompense. Le théologien est un homme de foi qui utilise ses ressources intellectuelles pour éclaircir sa croyance, donc l'usage de la raison et la pratique de la philosophie ne sont pas contraire au coran et à la religion c'est ce qu'affirme Averroès, de plus l'imam AL Ghazali confirme que "La quête du sens divin n'exclut pas la raison". La raison doit aider à décrypter le sens caché du texte religieux ,par contre l'incapacité a tout comprendre par la raison a permis à Kant de dire que la religion est un prolongement naturel de la philosophie, là où la raison s'arrête elle laisse place à la foi pour Kant "J'ai du abolir le savoir pour faire place à la croyance" et ceci grâce au décalage entre le phénomène et le noumène. Ainsi, nous constatons que la foi et la raison se complètent mais elles n'ont pas les mêmes façons d'agir et que se sont deux procédés dont la réunification serait difficile. La philosophie n'est ni le mythe, ni la religion mais aussi elle n'est non plus la science. 3) La philosophie et la science Même si la science est une partie intégrante de la philosophie comme le souligne Descartes quand il considère la philosophie comme un arbre dont les racines sont la métaphysique, le tronc la physique et les branches les autres sciences il s'avère être évident qu'elles se différencient de plus en plus. Cette conception de la philosophie comme mère de toutes les sciences sera ébranlée au siècle avec l'apparition de la méthode expérimentale et le développement des sciences positives qui ont favorisé le détachement progressif des autres disciplines. − − XV II ième Son uploads/Philosophie/ les-origines-et-la-specificite-de-la-philosophie-par-rapport-aux-mythes-religions-et-sciences-sunudaara.pdf

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