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Tous droits de traduction, d’adaptation et de reproduction réservés pour tous pays. Dépot original: janvier 2010 Enregistrement légal: février 2010 / TF 70-10 ISBN-13: 978-1456512484 ISBN-10: 145651248X Dernière révision avant troisième édition: octobre 2011 - Comment faites-vous pour avoir des esclaves aussi dociles? - En fait, c’est assez simple : au début, ils se révoltaient sou- vent, ce n’était pas bon pour nos affaires, alors nous, les Maitres, nous nous sommes regroupés, avons créé des organismes communs pour les exploiter, et nous nous partageons les bénéfices. - Près de 7 milliards d’humains, et aucune révolte? - Aucune, car nous leur faisons croire qu’ils sont libres. En fait, ils ne sont libres de rien, et surtout pas de décider quoi que ce soit qui les concerne, mais nous leur permettons de choisir qui d’entre nous les dirigera. Nous nous organisons entre nous et leur offrons cha- que 4 ou 5 ans à choisir entre ceux que nous leur présentons. Ils vo- tent et ainsi croient qu’ils décident. Au bout de 2 ou 3 ans, ils se rendent compte que rien n’a changé, mais ils ne se rebellent pas : ils attendent la prochaine élection qui apportera de nouveau “le chan- gement” qu’ils souhaitent. Cela fonctionne parfaitement depuis 200 ans. On appelle cela “la république” ou “la démocratie”. - Et vous ne craignez pas qu’il y en ait quelques uns qui se ré- veillent ? - C’est déjà le cas : ils sont de moins en moins nombreux à voter ; mais nous sommes bien organisés. Nous avons créé le Club Bilderberg, spécialisé en gestion d’esclaves, qui va tous les implanter afin que nous puissions gérer leur reproduction et contrôler les élé- ments dissidents. - Et vous pensez que tous vont accepter que vous implantiez le microchip à leurs enfants ? - Bien sûr, ils sont déjà tellement conditionnés que nous les manipulons à notre gré. Tenez, nous avons construit près de mille camps de concentration, ils le savent et se doutent bien que nous ne les avons pas faits pour nous, mais pour ceux qui voudraient s’oppo- ser à nos projets, et ils n’ont pas réagi! Cela fait déjà plus de dix ans 5 que nous les empoisonnons peu à peu avec les chemtrails, et per- sonne ne se rebiffe! La grande majorité est parfaitement conditionnée à “ne pas vouloir savoir”, à ne s’occuper que de son petit quotidien, et à abandonner ses propres enfants sans réagir au futur que nous leur préparons. - Il n’y a donc absolument rien qui puisse s’opposer à l’escla- vage total des humains? - Pas tout à fait: un mouvement s’est peu à peu créé, qu’on ap- pelle “la démosophie”, ce mouvement a fait échouer notre campagne de vaccination de 2009, mais il n’est constitué que d’individus qui s’ignorent entre eux, et ne deviendraient dangereux que s’ils pouvaient s’unir pour empêcher notre plan général d’aboutir. 6 AVANT PROPOS Ce livre n’est pas un livre d’écrivain, ce que je ne suis d’ailleurs pas. Il s’agit plutôt d’un cri hurlé sur du papier d’une seule traite. En quelques jours, j’ai déversé le flot des pensées qui me dérangent depuis longtemps. Je crie ici ma haine de l’in- justice de notre monde, ma déception de l’aveuglement de tant de mes concitoyens, mon refus du IV Reich qui s’installe et de l’homme-esclave que nous sommes en train de devenir, mais je veux aussi allumer une étincelle d’espoir aux jeunes de demain afin qu’ils sauvent l’existence de la véritable humanité, car c’est elle qui est au bord de l’abîme. En 2010, les dirigeants du Club Bilderberg ont mis en place tous les éléments décisifs pour leur accession à un pou- voir mondial absolu. Tout le monde a le sentiment que “nous approchons d’une fin inexorable”. Certains se résignent, d’autres se rassu- rent en se raccrochant au mysticisme qui promet la fin de cette ère pour que commence “l’âge d’or”, d’autres encore entrent dans les croyances ésotériques. Nous avons été conditionnés à croire que les dirigeants d'Etat sont des hommes supérieurs, naviguant dans des sphères supérieures, conditionnés à ne penser que "République" pour nous contraindre à penser que la direction de notre société, c'est leur affaire. En s'émancipant, la pensée évolue, et de plus en plus nombreux sont ceux qui se rendent compte que ces "hommes supérieurs" sont en fait des nains. Que c'est leur incapacité à gouverner qui a créé tous ces maux dont notre société souffre 7 et que dans un pays riche où tout le monde pourrait bien vivre, ils ont réussi à appauvrir l'ensemble de la population, à res- treindre toutes les libertés, à mécontenter la plupart des caté- gories professionnelles, à mettre en difficulté l'économie, à démotiver la jeunesse… Ils ont développé la corruption, l'in- justice, la pauvreté, l’insécurité, et le désespoir de tous. Comme tout le monde, j’ai toujours su qu’ils étaient les parasites de la société humaine, qu’ils étaient aussi onéreux qu’inutiles. Longtemps j’ai cru qu’il était impossible de s’en débarrasser… Alors que c’est si simple! 8 ERIC RÉGIS FIORILE LA DÉMOSOPHIE LES LIBRES PENSEURS 9 10 10 PREMIÈRE HISTOIRE DE L’HUMANITÉ (L’Homme-Animal) AVANT L’ÉCRITURE Nous n’avons que peu d’informations sur les origines de l’homme, mais la théorie la plus probable, corroborée par l’en- semble du monde scientifique, nous permet ce résumé grossier: Une (ou plusieurs) variété de singe aurait évolué vers ce qui sera l’homme actuel, se répandant sur la planète selon les nécessités d’adaptation aux changements, climatiques essen- tiellement, générant de multiples petites tribus sur toutes la sur- face du globe. Dès cette période se créèrent les premières bases de ce qui allait devenir la “première histoire de l’humanité”. A cette époque nous parlons d’un “homme” à peine plus évolué que les singes actuels, c’est à dire dont les mœurs sont basés sur les instincts les plus primaires. Parmi ceux-ci, la “Loi du plus fort” a naturellement permis au mâle d’imposer son au- torité sur la femelle. Puis “La vie en société”, ce besoin ins- tinctif des humains de se regrouper pour vivre ensemble, a naturellement permis à l’homme fort de s’imposer face aux plus faibles. Et ce sont de multiples petites tribus qui se développent lentement sur ces premières bases durant trois millions d’an- nées, accentuant le caractère “humain” en développant “l’as- sociation” qui allait créer les premières bases d’organisation en société, obligeant la création d’un mode de communication qui devint peu à peu un langage articulé. Le caractère naturelle- ment belliqueux de l’humain et sa volonté animale de domina- 11 11 tion, autant vis à vis de son entourage naturel que de ses pro- pres congénères, a eu de positif de stimuler ce qui, à mon avis, est l’un des traits essentiels qui distingue l’humanité du monde animal: l’imagination. Celle-ci allait offrir non seulement l’accumulation des connaissances et sa transmission, mais aussi l’interprétation des phénomènes de la nature. C’est elle qui allait aussi offrir les premières réponses à la question existentielle en inventant comme réponse l’existence des dieux (ou des esprits). Une imagination qui allait aussi permettre que la force brute ne soit plus la seule norme de valeur, le seul moyen d’ac- céder au pouvoir sur les autres. Des hommes moins forts al- laient pouvoir dominer en faisant travailler leur cerveau: une fois les dieux créés, il n’y avait qu’un pas à franchir pour créer ce qui, jusqu’à nos jours, allait servir à dominer les autres: la croyance. Durant quelques centaines de milliers d’années, tous les peuples de la terre inventent des multitudes de dieux pour ex- pliquer ce qui leur est incompréhensible, les chefs de guerres ri- valisent entre eux tandis que les “sorciers” acquièrent peu à peu du pouvoir en créant leurs propres castes. L’écriture n’existant pas encore, les hommes plus évolués ne peuvent transmettre leurs idées que par la parole, ce qui en limite singulièrement la portée. APRÈS L’ÉCRITURE Les découvertes archéologiques, paléontologiques et an- thropologiques nous permettent l’interprétation qui précède, mais à partir de l’écriture, la société humaine commence à changer et son évolution s’accélère. Le savoir peut s’écrire, donc se transmettre, et un savoir accumulé et transmis oralement à travers plusieurs générations, 12 12 peut enfin s’acquérir en seulement quelques années d’études. Par ailleurs le travail de lecture, étude et écriture, développe les qualités intellectuelles et peu après que l’écriture existe, des ci- vilisations plus élaborées se développent (ou renaissent) par- tout, (Sumer, Egypte, Crète, Inde, Chine…). Et nous en avons une connaissance sûre grâce au travail conjoint de multiples scientifiques, des archéologues aux historiens en passant par les traducteurs des langues antiques et bien d’autres qui ont contribué à la connaissance réelle de cette période de notre ci- vilisation qui commence il y a environ dix mille ans. (Selon certaines études réalisées d’après la “constante de Ninive”, une première civilisation humaine développée aurait existé 60.000 ans auparavant...) Durant la période juste précédant l’écriture, les hommes avaient commencé à se grouper en sociétés plus importantes, d'où la nécessité de créer des lois régissant les rapports entre eux. Les lois évidentes pour la vie en uploads/Philosophie/ livre.pdf

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