J. BERSEZ & A. MASSON INITIATION AUX ONDES DE FORME La Médecine d'Asklepios Nou

J. BERSEZ & A. MASSON INITIATION AUX ONDES DE FORME La Médecine d'Asklepios Nouvelle Édition complètement revue et augmentée. Radionique des Ondes de Forme Symbolisme et secrets de l'Antiquité transmissions a distance Magnétisme, Médecine, Magie EDITIONS JACQUES BERSEZ INTRODUCTION AUX ONDES DE FORME Faire de la magie, ce n'est pas tellement sorcier. Les très initiés en ce domaine sont ceux qui l'ont abordé avec l'esprit d'un enfant, c'est a dire en toute et pure simplicité. Drôle est de constater que cette méthode limpide, liée a un raisonnement simpliste, devient rapidement occulte, même pour les gens de bonne volonté. C'est la que le bât blesse. Au fur et a mesure du temps qui passe, l'homme a tendance a s'engourdir d'un fatras de principes et d'habitudes qui n'ont rien de commun avec son bonheur. La magie n'a aucun rapport avec le côté péjoratif qu'on lui prête ; elle est physique, naturelle, une science pure, basée sur des éléments existants, qui est, qu'on le veuille ou non, propre a changer le cours de notre vie. C'est un véhicule qui nous transporte. Essayons au moins de tenir le volant. Lorsque l'on aborde le problème de l'occultisme, on se retrouve rapidement dans le labyrinthe des initiations différentes. L'esprit embourbé, obscurci, il devient alors très difficile d'apprendre quoi que ce soit. Bien que l'initiation se comprenne dans une série de savoir, interrompue de vide complet, il y a manière et manière de s'initier, une bonne, beaucoup de mauvaises. Choisissez donc la meilleure, non pas par intuition ou relations mais par logique naturelle primaire. Ce traité n'est pas une formule initiatique ni même un exemple d'érudition, mais il contient un petit quelque chose propre a s'expanser dans un domaine sans limites. Il vous donne la possibilité de concrétiser vos connaissances ; il est beaucoup plus que la maquette de l'inventeur. Mais avant de faire les premiers pas, sortez de la gangue matérialiste, abordez le sujet comme l'enfant qui se réveille et qui sourit, émerveillé par un rayon de soleil. LES THEORIES de LAKHOWSKY Pour Comprendre l'efficacité des Ondes de Forme La connaissance de la structure de l'atome est une conquête qui date a peine d'une trentaine d'années : Cet atome n'est pas l'expression ultime et indivisible de la matière, mais un ensemble fort complexe de particules constituées par de l'électricité en mouvement giratoire, de l'électricité négative, des « électrons » au nombre de un ou de plusieurs, suivant les caractéristiques des éléments auxquels ils appartiennent, qui tournent, a la manière des planètes, dans des orbites bien définies, autour d'un noyau chargé d'électricité positive dénommé « proton ». L'hydrogène, le plus simple des éléments ne possède qu'un seul électron, tandis que l'uranium, qui est le plus complexe, en compte 92. Ces électrons sont tous égaux entre eux ; si nous étions capables d'en ajouter ou d'en enlever un ou plusieurs a l'intérier de l'édifice atomique, nous pourrions réussir la transmutation des métaux. Si, maintenant, le rêve des alchimistes n'a pas encore été réalisé pour l'homme, la nature, par contre, transforme les éléments. Le radium dont la découverte et l'étude sont liées au nom désormais illustre d'un savant français, Pierre Curie, se transforme en d'autres éléments pour devenir finalement du plomb. D'un corps, dont un gramme coûte aujourd'hui plusieurs millions de francs, il ne reste plus, au bout d'un temps considérable, qu'un corps vil, tel que le plomb. Et c'est d'après ces transformations des corps radioactifs que l'on a, aujourd'hui, calculé l'âge de la terre. De fait, on admet que notre planète doit exister depuis 1. 200. 000. 000. d'années, âge qui, toujours d'après les chimistes, atteindrait peut-être 8 milliard d'années. Toutes ces études ont prouvé que la substance primordiale de l'univers est l'hydrogène ; avec cette donnée fondamentale, il est possible de reconstituer la génération de la chaleur et de la lumière, car un rayon de lumière ou une flamme ne sont pas autre chose que des mouvements incessants d'électrons qui se déplacent d'une orbite a l'autre avec perte d'énergie. Ce qui permet aux atomes de se disloquer, c'est surtout la chaleur ; selon les calculs les plus récents, le soleil aurait a sa surface une température de 6. 000 degrés centigrades, température qui atteindrait 40 millions de degrés dans le noyau. On comprend ainsi quelles énormes modifications peuvent se produire au sein de l'édifice atomique avec dispersion naturelle d'énergie ; pour le soleil, on a calculé que, par suite de la dégradation de l'énergie, sa masse s'est réduite d'un quinze millième au cours des milliards d'années de son existence. C'est le mérite d'Albert Millikan, directeur de l'Institut Californien de Technologie et illustre physicien titulaire du Prix Nobel, d'avoir repris les expériences de Kohloster et de Bowen a la tête d'une expédition scientifique sur le Mont Withney dans la Sierra Nevada, le plus haut sommet des Etat-Unis avec ses 4.540 mètres. Il installa sur les rives du lac Muir, a 1.000 mètres d'altitude, un laboratoire de physique. A l'aide d'appareils fort sensibles introduits dans ce lac, il constata qu'a une profondeur de 21 mètres l'influence de ce radiations encore peu connues, ne se faisait pas sentir. D'autre part, au moyen de ballons munis d'électromètres spéciaux, il peut explorer l'atmosphère jusqu'a 15. 000 mètres de hauteur, constatant que ces radiations allaient en augmentant en même temps que l'altitude. Il finit donc par conclure que ces radiations, auxquelles il donna le nom de « cosmiques », et que certains appellent, « ultra-X » ou astrales, proviennent de l'extérieur de l'atmosphère, c'est- a-dire des expaces interstellaires et qu'elles présentent deux directions de relations maxima, l'une vers la Voie Lactée, l'autres vers la constellation d'Hercule. Milikan démontra, ou outre que les rayons cosmique sont de la même nature que les autres radiations connues. C'est-a-dire que les radiations électriques (découvertes par Hertz et appliquées d'une façon géniale par Marconi et nombre d'autres savants aux transmissions sans fil), que les radiations infra-rouges ultraviolettes, les rayons X d'Holweck et de Rœntgen, et enfin les rayons « gamma » des substances radioactives. Les rayons cosmiques possèdent la même vitesse que ces radiations, c'est-a-dire 300.000 km : seconde, mais ils ont une longueur d'onde extrêmement petite, 0,002 angstrom environ, l'angström étant la dix-millionieme partie du millimètre. Une fréquence aussi énorme par unité de temps (30 quintillions de vibrations par seconde, c'est-a-dire une fréquence exprimée par un 3 suivi de 22 zéros) donne a ces radiations une pénétration extraordinaire. La découverte de Milikan parut n'avoir d'autre but que la démonstration des transformations grandioses qui se produisent dans l'univers et donnent naissance a ces radiations, mais il ne sembla pas que la connaissance de ces tranformations pouvait avoir d'autre utilité. Un physicien et biologiste français, Georges Lakhovsky, a, depuis plus de cinq ans, orienté ses études de façon à pouvoir déchirer le voile qui cache a nos connaissances les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux. De fait, il est possible que ces ondes, en raison de leur énorme pénétration, envahissant entièrement le milieu dans lequel nous vivons, nous et tous les composés du règne animal et végétal et que, par suite, elles bombardent, en quelque sorte, nos tissus d'une façon continuelle ; pourquoi alors n'auraient-elles aucune relation avec les phénomènes de la vie ? Une série de faits exposés par M. Lakhovsky même dans son premier livre « L'Origine de la Vie » et dans ses autres ouvrages successifs, ainsi que dans de nombreuses communications a l'Académie des Sciences, qui parurent dans les ##################################################################### Mais cette théorie ne reste pas une pure connaissance biologique ; M. Lakhovsky en tire bien d'autres conséquences. Réunissant les données de la physique et celles de l'histologie, il donne à la cellule, c'est-a-dire l'élément constitutif des tissus animaux et végétaux, une signification entièrement nouvelle. Une cellule est constituée schématiquement par le protoplasme entouré par la membrane cellulaire. Dans le protoplasme est plongé le noyau constitué par un filament tubulaire contenant le liquide conducteur enveloppé dans une substance chromatique isolante. Cette cellule peut donc être considérée comme un circuit oscillant microscopique doué d'une longueur d'onde déterminée fort courte. De fait, le noyau rappelle de fort prés le circuit oscillant de Hertz, car c'est un véritable circuit électrique doué de self-induction et de capacité, et, par suite, susceptible d'osciller et de résonner à une fréquence très élevée. La bobine d'induction est constituée par la spire que présente le filament du noyau, le condensateur est formé par la capacité entre les deux extrémités du filament lui-même. De ces prémices, M. Lakhovsky déduit ses théories, a savoir que la vie est constituée par des oscillations de cellules, et, par conséquent, qu'elle n'ait de la radiation et qu'elle continue à être liée à la radiation. L'harmonie des vibrations cellulaires assure des fonctions vitales normales : le déséquilibre de ces vibrations, pour des causes externes ou internes, crée les états morbides. De cette façon, M. Lakhovsky explique les maladies telles que la goutte, le diabète, l'obésité et explique l'action des microbes pathogène ; ceux-ci, constitués également par une seule cellule émettrice et tennue en contact avec les uploads/Philosophie/bersez-jacques-masson-albert-initiation-aux-ondes-de-forme.pdf

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