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.R~?'t'& p ~r 1 b 6 *– ~?~ 3.: ~j~r?" "P~flaï~T~'Q 'f~Y'1)TT'<t'T'f~)'?Pt, i i& '&w.; < F~"~5~ ~` ~q'`'. F~ 'Jr'tl,jt,M! ~ë~A~~ f ~~M~r ··~Ir 2 5 5 .<. "*Ti ~–: p D''j0'r' .E R R,A T A, Pag, 1 1 lig. 18. à Vhomme. Ajoutez r Uhomméicbpim/inde^isii aux animaux ,j Pag. 56, ligne 18, droit d'oEéir' î lisez, 'devoir. y _• ·~Y4 ,~·(~~Ÿ,Ti" ,i, S_: ",T, i Y > i 2 Î. ~~g:6`8' I ` j prod`uztés <<.?"f .< ï*ag.'6<8, 1. g produites j" lise* pro- duits. .Y~ Pag.91,1. 7 droits lisez devoirs, Pag. 97, poui^ première ligne ajoutez ft&'re ici ^se.réduù-QÙ à dire \t un, t.- Pag' 108î dernière ligne cet ordre 9 lisez i cet être.. ,é;¡' Pag>il3,l. f^par y substituer lisez *1 '%toubsfituant. < .i..j58^Aa4«i^ ?«^ ^twr, lisez r ..t. L, U~g ,~t.' if !gI1..Jj¡' ¡: '·. voulieç nier.. ,¡ 1 Pag. i32 .lig. 16. et 17 • /e^ j lisez :~M. ces. • .Pag. i4^> %•> ??£u?e j l»se^ sa pâture. Pag. 1 49 lig. a8 5a/e lisez Bail. Pag. 169, lig. 6 donne aussi lisez donne done aussi, Pag. 207, lig. 5, après p^/ef j mettez virgule, ¡ Pag. al3 lig. 5, peaple^ lisez: peuple* Pag. 217 lig., 14 p/«« que l'intérêt } lisez plus 4' inférât. Ibidç, lig^. 18, /^j r lisez *e. ''•- x. Pag.( $f2a.Kg, 9y*e*,j lisçz t.Jes* *t PRÉFACE. J\.tj milieu de nos troubles relî- gieux et politiques leslespritslé>- gers et superficiels ne sont pas les l 0 ,0" v~ariél~. "O'd seuls qui aient varié sur l'objet de cette discussion. J'ai vu des -kom- mes graves hésiter le lendemain sur une- opinion qui la -veille leur ,paroi$soit indubitable. J'en. • ai conclu *jue:les lumières de,l!é- vidence 'les seules qui résistent à nos révolutions n'avoient pas été répandues sur cette question quelqu'intéressante qu'elle fût par elle-même. Les plus constans, di- soient ce qu'il faut croire d'après nos. grandes autorités j mais on ne voyoitpas à quel point la raison et les démonstrations pourroient venir à l'appui de ces autorités» On distinguoit9 l'erreur par ses conséquences on ne connoissoit pas assez la vérité par ses princi- pes. Enun mot, la question nesem- moit pas creusée» approfondie. 11 importe pourtant qu'elle le soit, QUESTION on peut aujourd'hui plus que- ja- mais en concevoir la nécessité. Il importe que nous réunissions contre une ferr^ûr propice à tous `' lès maux du peuplé toutes les armes de la vérité du raisonne-: ment' de l'évidence. En donnant cet essai comme le résultat de mes réflexions j'aurai peut-être ou- vert unenouvelle route d'autres pourront la parcourîràvec plus de* talëns ils' n'y porteront pas une persuasion plus intime que ni on objet est mal rempli si dans cette discussion ou dans tout au- tre 9 il m'échappe un seul mot qui puisse servir de prétexte à l'in- fraction des loix aux abus de celui qui exerce l'autorité, aux, troubles et aux malheurs du peu- ple pour lequel l'autorité existe. A '<gp;-È S T j &N NATIONALE SUR L'AUTORITÉ, ET SUR LES DROITS DU PEUPLE DANS L B* CIOT7VJE R HT EBIE«"£.' ]Sf os législateurs; pliilosopîies ént dit le principe de-toute sou.vera.i~ Nât iok. Nul èorpSy nul indi* vidutue peut exercer d3 autorité qui n'en émané i expressément* Cefi apophtegme le troisième dans Tordre de ceux qu'il leur a plu d'appeller- les droits de l'homme 9 a paru évident à la multitude je n'en suis pas surpris la fait souveraine nous aimons un peu à dominer et qui nous natte, est ordinairement assez sûr de ne pas trouver de notre part de bien grand.es cliijicultes a résoudre. < Mais qui nousflatte, assez souvent nous trompe; et qui nous trompe, à la longue nous nuit. Cette mul* titude que l'on appelle peuple commence à s'en -appercevoiiv £)epûis deux ans et demi qu'elle est souveraine elle a Faitbien des choses.Elle a pris la Bastille elle a brûlé bien des châteaux, elle a fait sauter bien des têtes; elle a am- enasse la noblesse dépouillé le clergé on sait assez comment elle u traité son roi. On ne voit pas qu'elle en soit pi s riche plus heureu il s*en faut de beauc Elle est souveraine et depuis qu'elle règae Tordre n'est nulle part; l'anarchie est par-tout, et par-tout le désordre* entraîne la misère du peuple. ¡": On nous dit tout cela n'est qu'un mal passager tout cela gtoit nécessaire pour la révolu- tion pour bâtir il falloifc corn»- mencer par détruire impitoyable- ment; pour établir, un. bon gou- vernement il falloit se résoudre à ne plus laisser subsister les moinr dres vestiges de l'ancien. Avec le teins /Tordre pourra renaître^ les bases eu nouveau gouverne^ mentsis consolideront et le bon- heur du -peuple reviendra avee l'ordre. On le dit je le désire bien sineèrement 5 je voudroia pouvoir le croire mais je ne vou- drois pas le croire aveuglément Accoutumé à raisonner un peu mes espérances je me. |uis ditc voyons d'abord les basés de ce gouvernement qui doit nous rendre sthëureux. Sielles portant sur des vérités immuables tôt ott tard le bonheur doit en naître si les bases sont-cellés^dumensonge, qttelqûe flatteuse que soit Terreur, iarévolution auroit commencé sous les plus beaux auspices que les suites «n deviendront funestes. Quelque flatteuse quesoit Terreur, il est du devoir d^uri bon citoyen de la dévoiler, lorsquMaquelqu es- poitd^y réussir. Mais ce moment estait venu> s'iLneTest pas encore on peut le regarder au moins com<- meprochain les esprits comiiien- cent à se calmer on soupçonné' dsiis le1 ? nëuveau gouvernement As, •quelque base trompeuse déjà on se demande où peut être Terreur fondamentale. D'autres pourront Tappercevoir ailleurs. J'ai cru là reconnoître dans ce principe même dont nos sages modernes ont fait la base de leur législation dans .cette souveraineté nationalef dans cette prétendue source de toute, autorité dans cette opinion, la plns*#atteuse pour la vanité mais qui pourroit bien être la jïlus. inconciliable avecla- vérité :et par conséquent la plus opposée au jbut de tout gouvernement au bonheur du peuple, ~3 E e- Je veux l'examiner au moins t cette réelle pu prétendue souve- raineté dont on nous dit qu'é- jnane expressément toute autorité dans le gouvernement politiques J'avoue d'abord que j'ai un bieii grand préjuge contre; ~ce gran~ grand préjugé contre ce grand pe c< -la souveraib.eté-' 4side principe « la souveraineté réside essentiellement dans la nation point d'autorité qui n'émanede là nation ». Je mesue souvent moi-mêm6 si j'avois à établir uii principe d'anarchie et de désordre, uii principe destructeur de tout gouvernement il me semble que* ~'CéJ§e souveraineté du' peuple se préiseriferoit très-naturellement à' monesprit v jè*défie cjù'on enprb* duise un seul qui favorise dâvan tage l'insubordination qui tende plus directement à la rendre géné- 'rale qui soumette plus stricte* nient la loi à tous les caprices de la multitude qui entraîne dès- lors des désordres plus grands et plue frequens. Or peut-il' bien se faire qu'ayant à établir un bon gou versement nous nous voyons ibreés'de^écoBirir 'àiïhprmctjpedes- tructetir par lui-même de tout ^Ouvëî'flement ? Si ce priricijpe est yraî serà-t-ilën même teiris le principe de l'ordre* et celui dii clë- soïdre, celui de ^autorité et ce-i lui de ranarcliie^? 'Gela ne peut pasêtre* Se ne donn ois personne qui n*enconvien n e «Cependantâii manient on nous sommes Cénx-Îà ni^me qui soupçonnent l'erreur, n?y renoncent pas facilement. Cet argumeiit leur laisse des nuages en£j>rou vànt combien il est ($if& cile que la même Yérité «oît 1|? A--3- principe de toute, autorité et celui de toute anarchie il nous laisse toujours à demander xommiit l'a s Y ar t'é "t"c.; la souveraineté pei*t résider ail- leurs que dans la nation com- mentFautorité peut être légitime et .d'où elle pourra venir si elle ne vient point de la nation ? Pour répondre à, ces questions, procédons avec un certain ordre j n'imitons pas sur-tout nos moder- nes législateurs qui tout en nous ` donnant leur apophtegme sur la souveraineté sur l'origine de toute autorité;, n'ont pas seule- inent daigné nous; dire ce. qu'ils entendent par ce mot autorité par /Ce mot souveraineté. C'est une. grande erreur à l'école de la philosophie, queces assertions va- gues, ou générales sur des objets qu'osa, n'a* pasdéfinis., et dont on ~iij~ ~4~ijiiisi,t'4p~1,n, i^nbtre encore l'essence la na- ture.. C'est le vrai moyeu de parler sans s'entendre de disputer long- tems sans convenir de rien tan-, dis que la nature des choses bien connue ou bien qu'une définition, bien s^aisiesuffisent trcs-souveïj| ` pour nous mettre d'accord /pour A 4. nous reïidre nfême tout, honteux de nos longues .contestations: x Pour obvier à cet inconvénient, commençons par fixer ies notions de ^ette autorité dont nous cher- chons la source* Disons d'abord voilà ce que nous entendons par autorité par souveraineté. Sans cette précaution au moment ou. nous nous vanterions d'a- voir fait, la découverte y on phi- losophe pourroit venir nous dire ï ce n'est pas là ce que vous aviez à chercher; ce n'est pas au moins ce qtxe nous attendions de vbs reoherch.es. “ Que faut-il donc uploads/Politique/ question-nationale-sur-l-x27-autorite-et-sur-les-droits-du-peuple-dans-le-gouvernement-abbe-barruel.pdf
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- Publié le Jul 29, 2022
- Catégorie Politics / Politiq...
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