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© Le Grand Réveil 26 novembre 2015. https://legrandreveil.wordpress.com Auteur : Louis d’Alencourt 1 26 novembre 2015 Bienvenue dans la nouvelle religion mondiale Tous ceux qui étudient la stratégie des sociétés secrètes, à commencer par la franc- maçonnerie, en vue d’établir un Nouvel Ordre Mondial, savent que celui-ci se bâtira à partir d’un gouvernement mondial, d’une monnaie mondiale et d’une religion mondiale. Car il y a un plan. Un plan qui en réalité comporte deux parties : une partie profane et une partie secrète. La partie profane est celle que nous connaissons tous, elle est délibérément dévoilée par ces sociétés secrètes. L’aspect secret du plan correspond à la réalisation effective du programme, lequel peut paraître surprenant au premier abord. Tout simplement parce qu’il semble, en apparence, ne pas correspondre exactement avec les objectifs dévoilés, mais aussi parce qu’on omet souvent d’en étudier l’aspect mystique. C’est pourquoi le gouvernement mondial n’est pas encore chose faite ; mais l’ONU, organisation supra-nationale qui vient de fêter ses 70 ans, est déjà en quelque sorte une esquisse de ce gouvernement. Il en va de même pour la monnaie mondiale : ce n’est pas le plus important ni le plus urgent ; elle viendra probablement en dernier, et attendant le dollar joue déjà ce rôle. Reste la religion mondiale. Elle est essentielle car elle conditionne en réalité les deux premiers points. Si tous les hommes communient dans la même vénération, ils effaceront les barrières qui les séparent et se rapprocheront sur les thèmes qui les unissent. Ils parviendront alors à une gouvernance globale. La religion mondiale est la condition préalable à l’unité politique et économique. Or pour la première fois au monde, nous assistons à une convergence globale et absolue de toute nation, de toute tribu, de tout peuple et de toute langue (Apoc. 7, 9) sur un seul thème : le climat. Aussi incroyable que cela paraisse mais la préservation de la planète réunit un consensus global des Etats, des peuples et des religions. L’aboutissement du mondialisme et l’unité mondiale se font là où ne l’attendait pas, et il faut admettre qu’il y a derrière cela une subtilité mystique qui nous laisse pantois. Un mystère que nous allons ici décortiquer et surtout démasquer. Une stratégie pourtant très simple, que le tribun Messala explique dans le film Ben-Hur : « Tu veux savoir comment on combat une idée ? Avec une autre idée. » En l’occurrence, ici, le but de Satan est de se faire adorer en lieu et place du vrai Dieu, vieux rêve qui lui est récurrent. Mais comment remplace-t-on le seul vrai Dieu, UN et TRINE, par un autre, ou par d’autres ? © Le Grand Réveil 26 novembre 2015. https://legrandreveil.wordpress.com Auteur : Louis d’Alencourt 2 Nous ne sommes plus dans le contexte de l’antiquité, où le diable avait multiplié les faux dieux, « des dieux d’or et d’argent, de bronze et de fer, de bois et de pierre » (Daniel 5) car entre-temps, il y a eu un fait majeur : la venue sur terre de Dieu le Fils, Jésus-Christ, venu enseigner les hommes et leur montrer le chemin du salut. Il confiera le soin à son Eglise de perpétuer cet enseignement et de dispenser aux hommes les grâces nécessaires, via les sacrements, pour résister aux tentations et combattre le péché. Le christianisme est donc l’ennemi juré de Satan car il vient contrer directement ses œuvres. Même s’il multiplie les fausses religions (islamisme, judaïsme, hindouisme, bouddhisme…), les persécutions (de Néron à la Chine communiste, l’histoire fut jalonnée en permanence de persécutions sanglantes) et tente de dévoyer par tous les moyens le christianisme (hérésies : arianisme, cathares, vaudois, protestantisme…, ou schismes : orthodoxes/catholiques), Satan n’a jamais réussi à stopper la progression de l’Eglise de Dieu. C’est pourquoi l’étape ultime, la troisième guerre mondiale, est une guerre spirituelle. Le communisme, pilier de la guerre spirituelle La Sainte Vierge est venue plusieurs fois nous prévenir du danger, en le nommant (presque) clairement. Le 13 juillet 1917 à Fatima, au milieu des deux révolutions russes, elle avertissait que si on ne lui consacrait pas la Russie, celle-ci répandrait ses erreurs. Il est évident, surtout avec le recul, que le mot « Russie » désignait l’idéologie communiste qui allait prendre le pouvoir dans ce pays et s’en servir comme base centrale pour la propagation de son idéologie dans le monde entier. Ceci fait écho à une première indication de la Sainte Vierge dans son message de la Salette : « En l’année 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l’enfer : ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ». Tout le programme est là : Marie nous donne la date de départ des tribulations (1864), leur principal objectif (abolir la foi) et une cible prioritaire : les prêtres, donc l’Eglise catholique. Une fois en possession de cette information, il n’est pas très difficile de faire le lien avec un autre fait, le 28 septembre 1864 : création de la première Internationale à Londres ! Il y a là trois éléments majeurs dont il faut être conscient afin de bien distinguer notre période de toute autre : L’objectif d’universalité du communisme Il est curieux de constater que le communisme et le catholicisme partagent tous deux une mystique d’universalité. Le mot catholique veut dire universel, car il correspond aux directives du Christ, envoyant ses apôtres prêcher le monde entier. D’où l’universalité nécessaire de son Eglise. Nous observerons d’ailleurs que les émanations chrétiennes issues de schismes (Orthodoxes, anglicans) ou d’hérésies (protestantisme…) n’ont pas (ou peu) cette prétention universelle. © Le Grand Réveil 26 novembre 2015. https://legrandreveil.wordpress.com Auteur : Louis d’Alencourt 3 Il en va de même pour les autres religions. Chacune reste circonscrite à une région, un peuple ou une culture ; même l’Islam ne s’est développée qu’à coup de conquêtes faites par des musulmans, imposant par la force leur religion aux peuples conquis. Le phénomène du missionnaire allant convertir pacifiquement les populations du monde entier n’existe que dans l’Eglise catholique. Or pour la première fois, un mouvement politique se veut universel : dès le début, les communistes ont des ambitions qui dépassent le cadre d’un pays ou même d’un continent, d’où l’essence même du mouvement : constituer une Internationale. On voit bien ici l’influence conjuguée de la franc-maçonnerie et de la Synagogue de Satan, qui ont toutes deux une vocation internationale et apatride. Une mystique qui remplace une autre mystique Derrière la prise du pouvoir par la violence (la révolution chère au communisme), il y a une idéologie puissante basée sur l’athéisme matérialiste. Georges Barbarin écrira en 1951 que « ce culte de la matière et du mental constitue une mystique nouvelle, sectaire et implacable. (…) Le communisme est une mystique réelle, avec une religion sans prêtres et une divinité sans autels. La foi dans le parti n’est pas, chez ces nouveaux croyants, relative mais absolue. On y adore les mystères sans pouvoir les discuter. Le communisme a ses saints et ses martyrs, il est essentiellement prosélytique. » (1) La charité chrétienne est remplacée par un humanisme athée où l’homme occupe le centre et prend la place de Dieu. Le piège dans lequel est tombée l’Eglise catholique post-Vatican II sera d’adopter cette idéologie, et de passer elle aussi, progressivement, à la religion de l’homme. L’universalité (réussie) du socialisme et sa fusion avec le capitalisme Georges Barbarin, déjà cité, écrit en 1951 ( !) que « Staline et son entourage ont tout à gagner par des méthodes pacifiques (…) leur logique exigerait, pour la victoire définitive du communisme dans le monde, un demi-siècle de paix. » (2) Eh bien c’est exactement ça ! Le socialisme, qui se considère comme un communisme modéré, s’est imposé dans le monde entier grâce à ces cinquante années de paix. L’Etat-providence, la démocratie, les droits de l’homme, les mœurs permissives et surtout le matérialisme athée, se sont étendus et imposés au monde entier, y compris dans les grandes puissances occidentales. Aujourd’hui, nous constatons pour la première fois dans le monde à une réelle unification politique, économique et culturelle sous les traits du socialisme, du matérialisme et de l’humanisme athées, tous trois enfants du communisme. Il s’agit tout simplement de la réalisation du plan, dont la stratégie nous est connue : « L’analyse des écrits de Pike et de Lénine confirme que le mondialisme est la synthèse des sociétés capitaliste et communiste. » (3) Cette universalité est sans précédent dans l’histoire du monde. Elle est bien l’aboutissement d’un processus savamment et patiemment mis en place : il n’y a aucun hasard derrière un tel résultat mais bien une volonté secrète et implacable. © Le Grand Réveil 26 novembre 2015. https://legrandreveil.wordpress.com Auteur : Louis d’Alencourt 4 Gouvernement mondial et religion mondiale sont étroitement liés Pour comprendre comment le plan a progressé, il est nécessaire de connaître les objectifs réels de l’élite mondiale. Le texte ci-après est une bonne synthèse des buts poursuivis : « Du 27 septembre au 1er octobre 1995, Mikhaël Gorbatchev organisa à uploads/Religion/ bienvenue-dans-la-nouvelle-religion-mondiale.pdf

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  • Publié le Jui 13, 2022
  • Catégorie Religion
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