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À propos Catégories Alchimie Chevalerie Spirituelle Franc-Maçonnerie Gnose Henry Corbin Illuminisme Initiation Jean-Marc Vivenza Kabbale Martinisme Naqshbandiyya Ontologie négative Régime Ecossais Rectifié Rose+Croix Saint-Martinisme Sanctuaire Intérieur Science Soufisme Théurgie Tradition Primordiale Commentaires récents Brackman sur La lettre « H » nous figure-t-elle le... collignon sur Le pays du lieu « intérieur » Jean Luc Charles GORI sur Les deux branches distinctes de la Tradition,... JESUS sur l' Eglise de dimension secrète et céleste ABRAHAMIAN sur Et Tenebrae Eam Non Comprehenderunt Jesús Navas sur Le corps de matière ténébreuse Frédérick Morvan sur Henry Corbin "Juvénilité et Chevalerie... Photos albums Régime Ecossais Réctifié Saint-Martinisme Notes récentes Les élus coëns était un Ordre sacerdotal de... Cette intention d’ériger un monument dédié à la... Sur la division originelle entre les cultes de... 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Abu'Abd al Rahman al Sulami ( Futuwah, Traité de chevalerie soufie, traduction par Faouzi Skali) 10:14 Publié dans Chevalerie Spirituelle, Gnose, Initiation, Sanctuaire Intérieur, Soufisme | Lien permanent | Commentaires (0) 12/01/2015 Le Cœur et la désignation des centres internes ou « Latifahs » dans la Voie soufie Naqshabandi Nâ-Kojâ-âbâd Chevalerie Celeste et Temple du Coeur Soufisme : Nâ-Kojâ-âbâd http://na-koja-abad.hautetfort.com/archives/category/soufisme/index-1.html/ 1 de 5 13/08/2015 13:55 Rechercher Archives 2015-07 2015-06 2015-05 2015-03 2015-02 2015-01 2014-12 2014-11 2014-10 2014-09 Toutes les archives NurMuhammad Perit ut Vivat Rûmî-Blog Saltanat Semper Rectificando Société des Indépendants « Dans le soufisme, le cœur est le lieu de l’expérience spirituelle. C’est dans le centre du cœur que le soufi connaît « son Seigneur ». Pénétrer dans le cœur, c’est s’ouvrir à son influence, se laisser féconder par cette lumière scellée au plus intime de nous-même Mais dans la voie Naqshabandi, la localisation du centre cardiaque est très précise. En fait, il n’y a pas un seul centre, mais plusieurs qui se répartissent dans toute la poitrine et qui obéissent à une physiologie subtile. Chaque centre possède un sens symbolique et se rattache à un prophète particulier. Ainsi, à gauche, se trouve le premier centre, le cœur proprement dit, Kalb, qui est situé sous le sein. Le disciple doit commencer son invocation sur ce centre, en visualisant le nom d’Allah en lettre de lumière, jusqu’au moment où apparaît une lumière jaune. Ce centre est lié à Adam. Le deuxième centre sur lequel se concentre le disciple (en visualisant et récitant toujours le nom d’Allah), est Ar-rûh, l’esprit. Il est situé sous le sein droit. Son invocation permet de contrôler le « moi ». Sa lumière est rouge et les prophètes qui lui correspondent sont Noé et Abraham. Le troisième, As-sirr, le secret, est situé au-dessus du sein gauche. La lumière qui apparaît est blanche et il est lié au prophète Moïse. Le quatrième, Al-Kahfi, le caché, est situé à deux doigts au-dessus du sein droit. Sa lumière est d’un noir lumineux et le prophète qui lui correspond est Jésus. Le cinquième est Al-akhfa, le plus caché, il est situé au milieu de la poitrine. Sa lumière est verte et le prophète qui lui correspond est Mohammed. Finalement, le disciple transfère la répétition du Saint Nom dans la tête où se trouve le centre de l’intellect dont la couleur est bleue. (…) A propos de cette technique, il est un fait très étrange et peu connu : cette situation des divers centres dans la poitrine se retrouve de manière exactement semblable en Inde dans l’enseignement de Ram Chandra. D’où lui venait cette connaissance des différents centres ? Apparemment, il n’a laissé aucune trace de sa filiation. En Inde, les centres se nomment « points », nœuds ou Granthi en sanscrit. Comme dans la pratique Naqshbandi, le disciple commence par se concentrer sur le centre du cœur qui se trouve un peu au-dessous du sein gauche. Pour Ram Chandra, le fruit de cette pratique est un sentiment de « contact divin » qui se reflète sur le monde et embrase tous les objets animés et inanimés. Ce point est en fait double et lorsqu’on s’élève dans sa partie supérieure, une vision plus claire de la Réalité commence à naître. Ce centre est le siège d’Atma, le Soi. Le deuxième point se trouve à la droite de la poitrine, sous le sein droit. Il est lié à l’élément feu, et en s’immergeant en lui on peut acquérir la maîtrise sur cet élément. Il correspond à Ar-ruh, l’esprit dans la terminologie soufie. Le nœud suivant se trouve un peu au-dessus du sein gauche, et corresponds à l’élément eau. En le maîtrisant on acquiert la paix. Il correspond à As sirr, le secret. Le quatrième nœud se trouve un peu au-dessus du sein droit. Il est lié à l’élément air. Il correspond à Al khafi, le caché et au prophète Jésus. Le cinquième se trouve au centre de la poitrine. En sanscrit, son nom est Brahmanda Maudal. Il est le lieu où se diffuse l’énergie venue des sphères supérieures. Il correspond à Al akhfa, le plus caché, et au prophète Mohammed. Les cinq premiers nœuds sont donc liés aux quatre éléments et à l’éther qui se trouve toujours au centre dans les anciennes cosmologies. A chacun d’eux correspond un son particulier. Ces sons deviennent de plus en plus subtils à mesure que l’on s’élève de centre en centre. La maîtrise de ces cinq premiers nœuds s’appelle la Sagesse des cinq feux ( Panch Agni Vidya). Le sixième nœud se trouve au niveau de la tête entre les deux yeux. Le disciple qui s’immerge dans ce centre sent une puissance immense qui le submerge. Il se dilate à la dimension de l’univers. Avec le septième nœud, le monde est perçu comme un Soufisme : Nâ-Kojâ-âbâd http://na-koja-abad.hautetfort.com/archives/category/soufisme/index-1.html/ 2 de 5 13/08/2015 13:55 rêve et le détachement devient effectif. (…)Historiquement, il semblerait que ce soit Ala Uddawla Simnani, un soufi du XIV° siècle, qui distingua le premier sept plans ou sept royaumes qui s’étagent depuis l’univers corporel sensible, jusqu’au plus caché ( akhfa). Il attribua à chacun de ces mondes subtils une correspondance avec les couleurs et les différents prophètes. Un Kwajagan, du nom de Mohammed Parsa , reprit très exactement ce système de correspondance que Simnani avait défini au XV° siècle. Mais c’est plus tard, au XVIII° ou même au XIX° siècle, en Inde, que des Sheikhs firent correspondre ces mondes avec des centres du corps humain. (…)Il est cependant vraisemblable que les « latifahs » de la voie Naqshabandi sont une islamisation de pratiques indiennes qui furent introduites lors du séjour de certains maîtres soufis en Indes. Comme pour l’algèbre et beaucoup d’autres disciplines, l’Inde semble, là encore, dans un rapport d’antériorité. A moins, évidemment, que l’origine soit commune aux deux méthodes, et qu’une même communauté de sages, ait inspiré d’un côté des Gurus indiens et de l’autre des Maîtres soufis. Dans ce cas, nous retrouvons la mystérieuse fraternité des Kwajagans qui serait à la source des premiers enseignements de la Voie, ou encore, le personnage du Khidr, l’homme vert, l’initiateur au-delà des formes religieuses particulières. » Djélâl Salik ( La Voie soufie Naqshabandi, extrait) Les Centres Subtils « Latâïfs » selon l’enseignement Naqshbandi, par Philippe de Vos: Sayyidina -l khidr enseigna cette science à celui qui est appelé le "père des disciples" Khwaja Abdel Khaliq al khudjuwari, à la demande de Khwaja Yucuf al Hamadani. Il lui enseigna le dhikr khafi (sous l eau selon une technique bien connue également en Inde) et les parcours des latâïf. C'est de Kwhaja Abdel Khaliq que le fondateur éponyme Khwaja Baha ud-din naqshaband reçu cet enseignement et l’institua uploads/Religion/ soufisme-na-koja-abad.pdf

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  • Publié le Apv 21, 2022
  • Catégorie Religion
  • Langue French
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