Session du 21 juin 2008 1. Les hôpitaux régionaux sont : a. Des établissements
Session du 21 juin 2008 1. Les hôpitaux régionaux sont : a. Des établissements publics administratifs b. Des établissements érigés en service de l’état géré de manière autonome c. Des établissements gérés en « régie » d. Des établissements gérés d’une manière indéfinie 2. Les structures d’appui au réseau de soins de santé de base sont constitués entre autres par : a. Le centre de santé b. Le centre de référence de la planification familiale c. Le dispensaire d. Le centre de diagnostic polyvalent Les établissements de soins de santé primaires, urbains et ruraux, sont appuyés par des structures spécialisées qui assurent les activités relevant des programmes sanitaires. Ces structures comprennent : • Les centres de référence pour la santé reproductive (CRSR) : C’est un centre de consultation, d’information et de formation en matière de tout ce qui a trait à la PF. • Les centres de diagnostic et de traitement des maladies respiratoires (CDTMR) : S’occupe de la prise en charge des cas de tuberculose et appui les ESSB qui interviennent dans le programme de lutte antituberculeuse. • Les laboratoires de santé publique (Ex laboratoires de diagnostic épidémiologique et d'hygiène du milieu) : Il soutien les programmes de prévention et de lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles. 3. Dans le cadre du système national de santé, les structures de l’offre de soins des mutuelles relèvent du : a. Secteur privé b. Secteur étatique c. Secteur semi publique d. Le centre de diagnostique polyvalent 4. L’hôpital provincial a une capacité moyenne de : a. 200 à 500 lits b. 400 à 500 lits c. 500 à 700 lits d. 700 à 1000 lits . Hôpitaux en régie • ils sont dans une situation de dépendance statutaire et financière du ministère de la santé • ne disposent pas de personnalité morale. • Leurs ressources financières sont des crédits délégués par le département sur le budget général CAPACITÉ D’ACCUEIL • le RIH consacre la capacité d’accueil (la taille) comme critère d’organisation des soins (départements et services) : • 3 catégories d’hôpitaux : <120 lits (77 hôpitaux) : 08 services 120 à 240 lits (25 hôpitaux) : 06 départements et 03 services >240 lits (20 hôpitaux) : 08 départements et 02 services • Utilité dans l’organisation administrative et clinique 5. Parmi les attributions de la direction des hôpitaux et des soins ambulatoires du ministère de la santé : a. La programmation des actions de réhabilitation physiques et de gériatrie b. Participation au contrôle de l’application de la réglementation en matière de radioprotection c. Elaboration de la stratégie du ministère en matière des soins ambulatoires d. Contrôle technique et de qualité des médicaments et des spécialités pharmaceutique Coordination des actions du département en matière hospitalière et suivi des activités des hôpitaux • Etablissement des bilans des activités des hôpitaux • Contribution à l’élaboration de la stratégie du département en matière des soins ambulatoires • Evaluation de l’action du réseau ambulatoire sur le plan de la qualité et de l’accessibilité des prestations • Gestion de l’action du département en matière d’assistance sociale et de l’assistance médicale gratuite au profit des indigents • Contribution au développement des moyens logistiques pour faire face aux catastrophes, y compris le ramassage médicalisé des victimes et la coordination des programmes • Définition des stratégies de restructuration des services des urgences à travers le royaume 6. Parmi les principes sur lesquels est fondés l’assurance maladie obligatoire (AMO) : a. La solidarité nationale au profit de la population démunie b. La contribution au financement à l’assurance maladie c. La mutualité d. L’équité Principe 1: Équité AMO: principe contributif et de la mutualisation des risques. Principe 2: Solidarité RAMED : solidarité nationale au profit de la population démunie. Principe 3: Égalité Sans discrimination aucune due à : •l'âge, au sexe, •la nature de l'activité, •le niveau et la nature de leur revenu, •leurs antécédents pathologiques •leurs zones de résidence. Les principes de base Principes universels Solidarité mutualisation des risques Non discrimination Principes propres au système marocain Respect des droits acquis Progressivité Transition Principes de délivrance des soins Liberté de choix du praticien Liberté de prescription Le médicalement requis Territorialité des soins / dérogations 7. Le régime d’assistance médicale aux économiquement démunis (RAMED), s’applique aux : a. Travailleurs indépendants b. Personnes exerçant les professions libérales c. Personnes indigentes d. Anciens résistants et membres de l‘armée de libération 8. Le centre de santé communal est implanté au chef lieu d’une commune d’une csr1 population environ de : a. 15.000 habitants b. 7000 HA b. 25.000 habitants c. 45.000 habitants d. 100.000 habitants 9. La maladie de Sida peut se transmettre par : a. La toux et l’éternuement b. Les mains salles c. Les injections d. Le couvert utilisé par un malade atteint du sida après le repas 10. L’indice synthétique de fécondation au Maroc en 2015 est de : a. 6,5 b. 5,6 c. 2,19 d. 3,5 11. Le programme national d’immunisation cible uniquement la population des a. Enfants âgés de 0 à 2 ans b. Enfants âgés de 0 à 5 ans c. Enfants âgés de 0 à 5 ans, et les femmes âgées de 15 ans à 45 ans d. Enfants âgés de 0 à 2 ans, et les femmes âgées de 15 ans à 45 ans 12. La mortalité infantile est définie par le rapport suivant : a. Nombre de décès d’enfants de 0 à 5 ans au court d’une période (t) × 1000 Le nombre d’enfants vivants au court de la même période b. Nombre de décès d’enfants de moins de 1 an au court d’une période (t) × 1000 Le nombre d’enfants nés vivants au court de la même période c. Nombre de décès d’enfants de 0 à 5 ans au court d’une période (t) × 1000 Le nombre d’enfants de 0 à 5 ans au court de la même période d. Nombre de décès d’enfants de moins de 1 an au court d’une période (t) × 1000 Le nombre de décès d’enfant au court de la même période 13. La durée moyenne de séjour (DMS) se définit par : a. Nombre total d’hospitalisation Le nombre total d’entrées b. Nombre total d’hospitalisation × 1000 Le nombre total d’entrées c. Nombre total d’admission Le nombre total des lits d. Nombre total d’admission × 1000 Le nombre total d’entrées La durée moyenne de séjour (DMS) est exprimée en jours. Elle correspond au nombre de journées de soins divisé par le nombre d’hospitalisations. 14. Le taux d’incidence est définit par : a. Nombre total de cas dans une période donnée (t) × k La population exposée au risque à la même période (t) b. La population totale exposée dans une période (t) × k Le nombre total des nouveaux cas dans la même période (t) c. Nombre total des nouveaux cas dans une période donnée (t) × k La population totale exposée au risque à la même période (t) d. Nombre de nouveaux cas dans une période donnée (t) × k Le nombre total de cas enregistrés dans la même période (t) 15. Dans le processus de la communication interpersonnelle appliquée dans une situation en milieu sanitaire, le canal est : a. Les compétences et les habilités du professionnel émetteur b. Les caractéristiques psycho sociologiques et culturels du récepteur c. Les méthodes et/ou les moyens utilisés par le professionnel de santé pour transmettre le message c. Les objectifs fixés pour la séance de communication 16. Le taux d’infection nosocomial est un indicateur de qualité de : a. La fonction soin b. La fonction diagnostique c. La fonction hôtellerie d. La fonction gestion 17. Dans le cadre de la gestion des déchets hospitaliers, le personnel paramédical d’un hôpital doit : a. Etablir un plan de déchets hospitaliers b. Désigner une personne responsable de la gestion des déchets c. S’assurer que les sacs des déchets sont remplis au ¾ au niveau de leurs unités de soins. d. Analyser les coûts liés à la gestion des déchets hospitaliers 18. La prophylaxie est a. L’ensemble des actions entreprises pour éviter l’apparition de la maladie b. L’ensemble des actions entreprises pour éviter la propagation de la maladie c. L’ensemble des actions entreprises pour traiter exclusivement les personnes atteintes de la maladie d. L’ensemble des actions entreprises pour assurer la prévention primaire de la maladie. 19. La responsabilité pénale du professionnel de santé est engagée en cas de : a. Omission de porter secours à une personne en danger. b. Homicide involontaire c. Violation de secret professionnel d. Exercice illégal de la profession 20. Les hôpitaux universitaires sont a. Des hôpitaux de proximité b. Des hôpitaux de recours interrégional ou national c. Des hôpitaux de recours provincial d. Des hôpitaux de recours régional 21. La pose d’une sonde gastrique est indispensable en cas de : a. Occlusion intestinale aigue b. Ulcère gastrique c. Intoxication médicamenteuse d. Fibroscope gastrique INDICATIONS En pathologie gastrique : pour orienter le diagnostic vers l’ulcère, le cancer ou la gastrite. Devant une anémie ; pour préciser le diagnostic d’anémie de uploads/Sante/ correction-concour-2008.pdf
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- Publié le Mai 03, 2022
- Catégorie Health / Santé
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