Coral Flanagan Dissertation Finale Dr. Heather McCoy Mercredi le 2 mai, 2012 Le
Coral Flanagan Dissertation Finale Dr. Heather McCoy Mercredi le 2 mai, 2012 Les Troubles de l’Alimentation Avec les publicités pour Jenny Craig et P-90X, avec les actrices maigres et les témoignages des grandes diminutions de taille, TV est plein d’indications d’obsession moderne avec le poids. Après avoir identifier cette préférence culturelle, on n’est pas étonné que 24 millions d’américains souffrent actuellement d’un trouble de l’alimentation (“Statistics”). Selon les experts, dans chaque pays post-industriel, il y a quantité considérable de gens qui souffrent d’un trouble de l’alimentation (“Disorders 101”). Bien que le problème soit historique, les troubles de l’alimentation sont reconnus récemment comme un type de la maladie mentale. Alors, les médecins ont des difficultés à les identifient et les traitent. Cette ignorance est présente aussi dans la vue publique de ces maladies. Beaucoup de gens pensent que les troubles de l’alimentation sont des problèmes sociaux, et alors ils ne sont ni conditions médicales, ni vraiment dangereux. En fait, les troubles de l’alimentation sont sérieux et répandus. Les experts sont en train de déterminer ce qui cause ces problèmes et comment y réagir. Les troubles de l’alimentation ont des effets sérieux, même physiquement et psychologiquement. Les maladies les plus courantes s’appellent anorexie, on se prive de nourriture, et boulimie, on mange trop et purge après. Ce comportement destructif a des conséquences négatives pour le corps de la victime, qui est déjà faible à cause de son alimentation malsaine. Les effets physiques comprennent l’érosion de dents, la stérilité, l’ostéoporose, les crises cardiaques, et l’atrophie du cerveau (“Disorders 101”). Pour cette raison, 480,000 personnes meurent de cette maladie chaque année (“Statistics”). En plus, il y a des effets psychologiques. En fait, « 50% de gens avec les problèmes de l’alimentation ont les symptômes de la dépression aussi » (“Disorders 101”). Cette statistique n’est pas vraiment étonnante, parce que ceux qui souffrent sont stigmatisés. Ça les fait devenir asociaux : « Les jeunes qui ont les troubles de l’alimentation ont tendance à devenir secrètes et fourbes » (“National Association”). En général, les victimes ont une perception faussée de leur apparence. Quel que soit leur poids, ils pensent qu’ils doivent perdre plus de livres. Cette confusion mentale est manifestée en autres comportements destructifs. Ils ne mangent pas en publique, ont une dépendance aux laxatives, ou s’infligent des mutilations (“National Association”). Malheureusement, 15% des gens avec les troubles d’alimentation se suicident à cause de ces conditions insupportables (“Statistics”). En collaboration avec les effets physiques, les problèmes psychologiques rendent la vie infernale pour ceux qui souffrent d’un trouble de l’alimentation. Donc, il est déprimant que le problème soit généralisé. Actuellement, la plupart de gens pensent que un trouble d’alimentation est un problème des femmes blanches et riches. Ça ce n’est pas la cas. Oui, il est vrai que la majorité de gens qui sont diagnostiquées avec un trouble de l’alimentation sont aussi caucasienne et femme. Malgré cela, ceux qui sont diagnostiquées ne sont pas les seules gens avec la maladie. En fait, il y a un million d’hommes qui souffrent des troubles de l’alimentation juste dans les États-Unis. Selon les experts, « il est possible que le nombre de femmes africaines américaines qui souffrent de boulimie soit égal à celle de femmes caucasiennes par population » (“Statistics”). Bien qu’ils aient besoin d’aide, les hommes et les femmes de la minorité ont peu de chance d’être diagnostiqués avec une maladie de l’alimentation. En effet, 15% des femmes qui manifestent les symptômes des troubles de l’alimentation ne sont pas diagnostiquées, et il est probable que le pour-cent d’hommes est beaucoup plus haut (“Disorders 101”). Alors, il est plausible que le problème soit plus courant que les dossiers médicaux suggèrent. En somme, le problème est même sérieux et répandu. Malheureusement, on ne sait pas la vraie cause de cette maladie. Les experts ont quelques hypothèses. Evidement, le climat social facilite le problème. Dans la culture moderne, tout le monde est obsédé avec les poids. En fait, 81% d’enfants de dix ans ont peur de prendre du poids (“Disorders 101”). En ce moment, 46% de familles américaines se mettent au régime (“Statistics”). Il est évident que les américains sont vraiment conscients de leurs poids. Cette idée est inculquée par les médias : « Les femmes qui sont représenté sur le télé, les actrices et les mannequins que les jeunes voient dans les magazines, elles sont plus minces que 95% de femmes américaines » (“Critics Blast”). Sans doute, cette exigence impossible encourage les jeunes d’avoir des habitudes alimentaires qui sont assez extrêmes. Malgré cela, le comportement malsain ne constitue pas un trouble de l’alimentation en soi. En fait, 50% de femmes adolescentes font des choses maladives de temps en temps comme se goinfrer, sauter des repas et prendre des laxatives : « Ces comportements ne sont pas classifiés comme un trouble de l’alimentation jusqu’à ce qu’ils deviennent compulsifs et habituels » (“National Association”). Il était ces caractéristiques obsessives qui motivaient les savants de considérer les troubles de l’alimentation comme les maladies mentales. Alors, il se peut que, comme les autres problèmes psychologiques, ils aient des causes physiques. La plupart des maladies mentales ont causé en partie par un déséquilibre chimique dans le cerveau (Wilhem, Muller and De Zwaan). Selon les experts, ceux qui souffrent d’une trouble de l’alimentation ont des problèmes avec leurs hypothalamus-hypophyse-surrénalien axes. Alors, le niveau d’acide aminé est trop haute, un facteur qui peut influencer le comportement et les émotions (Wilhelm, Muller, and De Zwaan). En effet, des autres savants pensent qu’on est génétiquement prédisposé de développer un trouble de l’alimentation (Klump). Donc, il semble que une diversité de facteurs contribue à causer les maladies. Même qu’on ne sait pas exactement ce qui cause les maladies, les experts ont développé quelques méthodes de traitement. Le traitement est compréhensif; il compris l’aide de l’alimentation, les médicaments pour traiter les symptômes, et les conseils professionnels. Selon les experts, il faut qu’on s’inscrive à une installation pour recevoir ce traitement compliqué. Avant de recevoir l’aide psychologiques, les patients doivent grossir jusqu'à ce qu’ils reprennent 90% de leur poids sain (McClathey). Après juste six mois de traitement, 40% patients s’améliorent dramatiquement. En revanche, il y a les groupes de pression pour aider les gens dehors les installations. Ils financent une variété de groupes de soutiens pour les victimes et ses familles. De plus, ils font des présentations pour encourager les jeunes à avoir une bonne image corporelle. (“National Association”). Après les présentations, ils distribuent leurs informations aux étudiants. Ils maintiennent une ligne ouverte. Alors, si un jeune a des troubles avec la nourriture, ils peuvent téléphoner à quelqu’un pour l’aide. C’est à dire qu’il y a des ressources médicales et sociales pour ceux qui ont ces maladies. Malgré cela, la plupart de ressources sont assez chères. Alors, il y a les problèmes d’accéder traitement pour beaucoup de monde. Le traitement résidentiel coûte des milles de dollars (Parker-Pope). En fait, la plupart d’entreprises d’assurances garantissent juste les premières semaines de traitement, jusqu'à ce que l’état du patient soit stable (“Critics Blast”). À cause de cela, 96% de médecins pensent que leurs patients sont « mettent en une situation dangereuse après leur release prématuré des installations » (“Disorders 101”). Si les patients avaient pu rester au complexe pour six mois, ils auraient eu plus de chance de rétablissement. C’est pourquoi les groupes de pression soutiennent la législation qui veut changer la system d’assurance (“Critics Blast”). Un des ces efforts est le Federal Response to Eliminate Eating Disorders Act ou FREED Act. La loi obligerait les entreprises d’assurances à couvrir les troubles de l’alimentation avec une parité de leur couverture d’autres troubles mentaux. Dans la plupart de cas, ça comprendrait la traitement à long terme (“US Congress”). Maintenant, la loi reste dans la maison de représentatives, au congrès américain. Malgré cela, il se peut qu’il passe dans le futur. Donc, même qu’il y a des bons méthodes de traitement, Il faut améliore l’accès d’elles. En somme, les troubles de l’alimentation sont vraiment un problème dans la société. Ils ont des effets physiques et mentaux qui sont sérieux. En addition, ils ont des conséquences pour des gens dans toute de la population. Parce que le problème est reconnu comme maladie juste récemment, il y a encore des doutes de la cause. En tout cas, il semble que ces maladies sont provoquées en partie par un déséquilibre physique. Plus important, le système de traitement est trop cher pour la majorité de familles actuellement. Heureusement, il y a beaucoup de groupes de pression qui travaillent sans relâche pour améliorer la situation. A cause de leurs efforts, il se peut que le FREED Act passe. Après avoir changé la system d’assurance, les groupes auraient rendu le traitement plus abordable. Quoi qu’il arrive avec les changements législatifs, les américains, et les autres sociétés industrielles, doivent répondre à ce problème sérieux. Avec plus d’éducation et plus d’connaissance, il est possible qu’il devienne moins répandu dans le futur. Citations "Critics Blast Insurers Poor Insurers Poor Coverage Eating Disorders." ABC News. Web. 22 Apr. uploads/Sante/ dissertation-finale 2 .pdf
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- Publié le Jul 21, 2021
- Catégorie Health / Santé
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