E U R O PA CO R P P R é S E N T e 2 2 DISTRIBUTION EuropaCorp Distribution La C

E U R O PA CO R P P R é S E N T e 2 2 DISTRIBUTION EuropaCorp Distribution La Cité du Cinéma - 20, rue Ampère 93413 Saint-Denis Cedex Tél. : 01 55 99 50 00 www.europacorp.com PRESSE Michèle Abitbol-Lasry - Séverine Lajarrige 184, bd Haussmann - 75008 Paris Tél. : 01 45 62 45 62 michele@abitbol.fr - severine@abitbol.fr Durée : 1h34 facebook.com/jacklefi lm 3 E U R O PA CO R P P R é S E N T E UN FILM RÉALISÉ PAR MATHIAS MALZIEU ET STÉPHANE BERLA D’APRÈS L’ŒUVRE « LA MÉCANIQUE DU CŒUR » DE MATHIAS MALZIEU PARUE CHEZ FLAMMARION CANIQUE DU CŒUR » AVEC LES VOIX DE MATHIAS MALZIEU OLIVIA RUIZ GRAND CORPS MALADE ET JEAN ROCHEFORT MARIE VINCENT ROSSY DE PALMA BABET ARTHUR H. DANI ET CALI LE 5 FÉVRIER AU CINÉMA PRODUIT PAR VIRGINIE BESSON-SILLA E U R O PA CO R P P R é S E N T E MATHIAS MALZIEU ET STÉPHANE BERLA UN FILM RÉALISÉ PAR 4 5 SYNOPSIS E dimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris et jusqu’aux portes de l’Andalousie… dimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid dimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid dimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur ENTRETIEN avec... 6 ENTRETIEN VIRGINIE BESSON-SILLA LA PRODUCTRICE D ès que j’ai découvert l’album de La Mécanique du cœur, j’ai été émue et séduite, tout comme Luc et nos enfants qui ont écouté les chansons en boucle pendant plus d’un an ! Ensuite, nous avons rencontré Mathias Malzieu et c’était comme une évidence : il fallait qu’on produise le fi lm. Et même si Mathias n’avait jamais réalisé de long métrage, il semblait logique qu’il prenne les rênes du projet car il était le seul à connaître l’histoire aussi intimement et à pouvoir agencer la musique et la narration. En revanche, on était favorables à l’idée qu’il soit épaulé par un coréalisateur qui puisse l’aider sur l’aspect technique. Rapidement, il nous a proposé Stéphane Berla qui, lui non plus, n’avait jamais fait de long, mais qui avait réalisé des clips. C’était un duo séduisant ! Pendant toute l’écriture, on se voyait le soir, Mathias, Luc et moi. Luc nous a guidés, comme une bonne fée, car il a une grande expérience du scénario. En suivant ses conseils, Mathias a bâti une chronologie et a équilibré le récit entre les différentes parties. Il était d’autant plus méritant qu’il était en tournée toute la semaine pour son album et qu’il trouvait tout de même le temps d’écrire. Très vite, on s’est mis d’accord sur l’ossature de l’histoire, les étapes importantes du récit, la place du héros dans le fi lm, la manière dont les personnages allaient entrer en interaction avec lui, son histoire d’amour avec Miss Acacia et le dénouement du fi lm. Lorsque Mathias nous a expliqué qu’il souhaitait que Nicoletta Ceccoli, illustratrice du livre, soit la graphiste du film, nous avons été enchantés : ses personnages qui évoquaient de petites poupées de porcelaine étaient d’une poésie touchante. J’ai seulement insisté sur le fait qu’on devait pouvoir partager leurs émotions qui passaient nécessairement par le regard. Après nous être demandés s’il ne fallait pas fi lmer les yeux des acteurs, on a fait des essais en 3D et on a abouti à un réalisme et à une humanité qui transmettent parfaitement la joie, la tristesse, et l’émerveillement des personnages. Le casting vocal s’est déroulé avec une grande simplicité. C’était formidable d’avoir l’album au départ, puisque toutes les voix y fi guraient déjà. On ne voulait surtout pas changer l’univers existant et on a eu de la chance puisque tous les interprètes ont répondu présents. En découvrant le fi lm fi nalisé, c’est sa poésie qui m’a le plus touchée. C’est un fi lm délicat qui ne ressemble pas aux autres : pour moi, il porte l’empreinte d’un auteur à part entière. L’histoire d’amour est belle et VIRGINIE BESSON-SILLA LA PRODUCTRICE ENTRETIEN avec... 7 simple à la fois et le thème du rapport à la différence est abordé avec subtilité. J’adore le fait qu’on parte d’Édimbourg, puis qu’on traverse la France, où l’on rencontre Méliès, et qu’on fi nisse en Andalousie. Une de mes scènes préférée est, lorsque Jack arrive à l’Extraordinarium et que Miss Acacia se met à chanter pour lui, je suis chaque fois bouleversée : on comprend alors à quel point ce garçon, qui a rencontré cette jeune fille à l’âge de 10 ans, a été marqué au fer rouge par l’amour. En voyant les réactions des premiers spectateurs, vraiment émus par le fi lm, je me suis dit que ce long travail en valait la peine… ENTRETIEN avec... ENTRETIEN 8 MATHIAS MALZIEU DE L’ÉCRIT À L’ÉCRAN UN PROJET PERSONNEL «Après avoir écrit Maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi, j’ai voulu conserver le personnage de GIANT JACK. Je me suis penché sur ses origines et j’ai imaginé qu’il pourrait être né en Écosse le jour le plus froid du monde, si bien que son cœur aurait gelé. Ce personnage avait une horloge dépassant de sa poitrine et souffrait d’une fragilité : il ne pouvait pas tomber amoureux. Il avait été sauvé mais il lui était impossible d’éprouver des sensations fortes. C’est l’histoire de Jack. C’est ce qui m’a permis d’aborder tout ce dont je voulais parler dans le livre, à savoir la passion amoureuse et le rapport à la différence». LE CHOIX D’EDIMBOURG «Il est intimement lié au personnage : Giant Jack est une créature de la nuit, un genre de doux vampire, qui a surtout besoin d’aider les autres et je l’imaginais bien avec l’accent écossais. Je m’étais rendu à Edimbourg il y a une quinzaine d’années et l’ambiance de la vieille ville m’avait beaucoup touché par son côté ‘château de cartes’ à la fois fragile et effrayant. Cette ville m’a assez inspiré pour y situer l’action. Je me plaisais à imaginer la maison de Madeleine - qui répare le cœur de Jack - en haut de la colline où l’on raconte qu’est enterré le Roi Arthur. Il m’a semblé que j’avais trouvé un bel équilibre entre cette réalité chargée de repères historiques inspirants et la grande place qu’elle laissait à l’imaginaire. J’aime faire des ponts entre le réel et l’imaginaire, à des degrés différents, et la ville d’Edimbourg s’y prêtait formidablement». MATHIAS MALZIEU DE L’ÉCRIT À L’ÉCRAN souffrait d’une fragilité : il ne pouvait pas tomber amoureux. Il avait souffrait d’une fragilité : il ne pouvait pas tomber amoureux. Il avait été sauvé mais il lui était impossible d’éprouver des sensations été sauvé mais il lui était impossible d’éprouver des sensations fortes. C’est l’histoire de Jack. C’est ce qui m’a permis d’aborder fortes. C’est l’histoire de Jack. C’est ce qui m’a permis d’aborder tout ce dont je voulais parler dans le livre, à savoir la passion tout ce dont je voulais parler dans le livre, à savoir la passion amoureuse et le rapport à la différence». amoureuse et le rapport à la différence». LE CHOIX D’EDIMBOURG LE CHOIX D’EDIMBOURG LE CHOIX D’EDIMBOURG UN PROJET PERSONNEL UN PROJET PERSONNEL UN PROJET PERSONNEL UN PROJET PERSONNEL ENTRETIEN avec... 9 DE PINOCCHIO À FELLINI «Je souhaitais parler de la passion amoureuse et du rapport à la différence qui sont deux thèmes très forts, derrière lesquels se cache l’idée de l’aventure. J’avais envie de me rapprocher, sans prétendre leur arriver à la cheville, du Petit Prince ou encore de Pinocchio, en y ajoutant un côté un peu plus surréaliste et une imagerie plus débridée. On me parle souvent de Burton - que j’aime beaucoup pour son rapport à la beauté et à la monstruosité - mais je me sens plus proche de Jim Jarmusch et de ses personnages un peu brisés, de Fellini pour son côté baroque et tendre, ou encore du Freaks de Tod Browning qui traite aussi du rapport à la différence, de manière un rien inquiétante mais avec poésie et douceur. Je pourrais encore citer Edward Gorey ou Jean-Pierre Jeunet, qui est un créateur libre que j’apprécie énormément et à qui j’espère rendre hommage à travers ce fi lm. J’aime le mélange des tonalités, c’est pour cela que s’entremêlent le conte et la réalité uploads/Sante/ jack-et-la-me-canique-du-coeur.pdf

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  • Publié le Mai 08, 2021
  • Catégorie Health / Santé
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