Table chauffante I/Introduction : La table de réanimation C'est une table chauf

Table chauffante I/Introduction : La table de réanimation C'est une table chauffante : ceci explique sa forme. Elle est constituée d'un plan sur lequel est posé le matelas, surplombé par une ou plusieurs rampes chauffantes. 1-Son rôle : Elle va permettre de réaliser des soins indispensables à votre nouveau-né, en autorisant un accès permanent à toutes les parties de son corps, sans que nouveau-né ne risque de se refroidir. L'équipe médicale va pouvoir soigner nouveau-né, effectuer les gestes d'urgence si nécessaire et le surveiller pendant une heure ou plus après sa naissance. 2-Pourquoi cette table n'est-elle pas près de la maman ? Pour plusieurs raisons : • Les gestes de réanimation parfois nécessaires peuvent être très impressionnants pour une maman qui vient d'accoucher; • un nouveau-né se refroidit très vite : plusieurs degrés en quelques minutes. Malgré une rampe chauffante, un nouveau-né se refroidit par les seuls courants d'airs présents dans une pièce trop grande et en présence de plusieurs personnes en mouvement. C'est pour cela qu'on emmène souvent nouveau-né dans une petite pièce "de réanimation" en cas de besoin après la naissance. 3-Que trouve-t-on près de la table de réanimation ? Un masque et un ballonnet qui permettent de ventiler nouveau-né, c'est-à-dire de l'aider à respirer, pour mieux l'oxygéner. Des sondes d'aspiration, petits tuyaux qui permettent d'aspirer les sécrétions qui encombrent parfois le nez, la bouche ou la trachée de nouveau-né et l'empêchent de respirer correctement. Et tout le matériel nécessaire en cas de détresse vitale : • Cloche à oxygène, petite boîte de plexiglas transparente que l'on place au-dessus de la tête de nouveau-né, ce qui lui permet de respirer de l'air plus riche en oxygène; • matériel pour intuber (placer un tuyau dans le nez jusqu'à la trachée pour ventiler les poumons de nouveau-né efficacement); • matériel pour perfuser (placer une perfusion à nouveau-né, comme celle de maman, ce qui permet d'injecter du sucre - indispensable comme apport d'énergie - ou des médicaments). Conclusion : Le risque d'hypothermie est le plus important: le prématuré ne dispose pas d'une capacité à réguler sa température corporelle, et dès lors, il doit dès la naissance recevoir les soins sur table chauffante puis être placé en incubateur, l'hypothermie entraînant apnées, acidose et hypoglycémies responsables de séquelles importantes. 1 Malnutrition I/Introduction : La malnutrition et considérer parmi les causes majeur de l’amaigrissement et d’anémie La particularité chez les enfants tient au fait qu’il s’agit d’un organisme, en croissance et que cette dernière peut être affectée, a des degrés divers ; par toute situation de mal nutrition proteinocaloriquie -1/ Eléments cliniques  Il est commode de faire la comparaison entre 2 grands types de mal nutrition >KWASHIORKOR (k) : Il correspond à une carence protéique pure, alors que l’apport calorique global peut être suffisant (2a18mouis après sevrage) •Oedèmes importants, localises aux visages, aux membres supérieures et inférieure et aux organes génitaux externes •Pertes de poids (une fouis les Oedèmes disparus) •Absence de retard statural •Pannicules adipeux est conserve, mais importante altération de la peau et des phaners •Hépatomégalie de stéatose est habituelle, participant au ballonnement abdominal •Diarrhée habituelle •Comportement triste, anorexie •Hypothermie •Atrophie du tissu lymphoïde, origine d’un véritable déficit immunitaire acquis, expliquant la gravite de survenue d’infection (rougeole) >Marasme (M) : Il correspond à une carence alimentaire globale survenant dans des conditions socio économique défavorable •Absence d’oedème •Perte de poids importants, avec atrophie musculaire, prédominant aux racines, entraînant une diminution du tonus ou pouvant même rendre l’enfant grabataire •Retard statural •Disparition de pannicule adipeux •Pas ou peu d’altération de la peau et des phaners -2/Elément para clinique  •Conséquences (immunitaire, digestif) •Déficit immunitaire cellulaire expose ces enfants aux infections virales et opportunistes et pour citer l’exemple de la rougeole la mortalité due à cette maladie est de 0.6a20 pour cent contre 0.02 pour cent dans une population normale •L’atrophie des muqueuses gastrique et jéjunales, le déficit enzymatique de la bordure en brosse secondaire pérennisent et aggravant la dénutrition en rendant l’alimentation orale souvent impossibles oui en étant source de diarrhées sécrétoires, malabsorptives et infectieuses -3/Conduite  à tenir 2 >Traitement curatif •Maintient des fonctions vitales •Une prise en charge en unité de réanimation digestive ou de soin intensifs •Maintient de l’hémodynamique et correction de l’hypovolèmie efficace par perfusion de macromolécules oui l’albumine, transfusion sanguine •Assistance ventilateur •Maintien de glycémie •Traitement antibiotique •Correction de carence vit (A, .D, .B…) et en oligo-éléments •Correction de la dette proteino-calorique •Nutrition par cathéter central •Apports adaptes en fonction de la tolérance de l’enfant (glycémie, glycosurie) de glucide, protides … électrolyte •L’apport de solutés lipidiques après stabilisation de la situation •L’emploi de mélanges ternaires (glucides_lipides-protides) Conclusion : Pour conclure il faut savoir que le problèmes essentielle et surtout dans les pays en voie de développement due a la situation économique et a fin de se prévenir de ces problème il la prévention et cela sera réaliser par la sensibilisation surtout des mères Le maintien d’un allaitement maternel, car il protége le petit des infections enterales bactériennes, viral, ou parasitaire La supplementation des aliments (fer, vit) Bibron A-Définition Le biberon est un moyen de l’allaitement artificiel, ce dernier a connu ces derniers années une augmentation observé, cela est du à de multiples raisons ; en pratique seuls les raisons (hors la volonté) peuvent excuser pleinement une mère qui refuse de nourrir elle même son enfant. B- Indications et contre indications Indications •En cas de pathologie de sein chez la mère •Prescris par le médecin si le lait de mère est insuffisant (vaut mieux de faire un allaitement mixte) •Enfant qui suit un régime alimentaire •Absence de la mère (morte) Contre indications •Bien sure si l’enfant et sa mère en bonne santé, il faut au moins 6 mois d’allaitement maternel •Certain types de lait par ex le lait de chèvre dont l’usage prolongé provoque une anémie spéciale C- Stérilisation Au foyers  3 •Après l’utilisation, il faut nettoyer le biberon avec l’eau chaud et savon •Mettre le biberon dans une casserole contenant de l’eau •Porter a ébullition pendant 5 min •Ajouter les capsules et tétines et protége- tétines •Prolonger l’ébullition pendant 10 min •Egoutter les biberons, capsules et les conserver dans réfrigérateur Au niveau de  l’hôpital •Après lavage •Remplir le stérilisateur d’eau •Placer les biberons renverser dans le panier du stérilisateur les capsules, tétines et protége tétines au centre •Couvrir et mettre en marche •Une fois les biberons stérilisent, le stérilisateur s’arrête •Conserves les dans le réfrigérateur D- Matériels et technique •Le lait en poudre eau bouiller •Biberon déjà stérilise •Serviette •Mettre en évidence matérielle d’hygiène en cas de nécessité •Prévoir une chaise Technique de préparation •Laver les mains •Biberon •Mettre le nécessaire et la dose convenable (en hôpital il faut respecter le régime de l’enfant et de mettre une étiquette) •Couvrez le biberon et agiter afin d’être bien mélange E- Quand et comment donner le biberon ? Le nouveau ne tétra que toutes les 3 h, de 6h du matin à 21h, ce qui fait 6 repas. Des l’âge de 3 à 4 mois, et lorsque la courbe de poids est satisfaisante, on supprime le dernier biberon. Méthode •Laver les mains •Mettre une serviette •La température du lait doit être entre 32 à33°C •Apprécier la température en faisant couler quelques gouttes de lait sur le dos de la main (réchauffer dans un bain marie s’il est froid) •Vous tendrez le bébé sur vos genoux dans une position semi vertical, jamais coucher ni trop droit •Le biberon devra toujours être incline de sorte que le goulot soit toujours rempli de lait •Le redresser pour erucation F- Accidents et incidents •Les biberon trop concentrer déclenchent un mouvement fébrile (fièvre de lait sec) •Vomissement en cas de non respect de dose et horaire 4 •En cas de non erucation il y a risque de fausse route G- Surveillance •Les circonstances particuliers et notamment le poids de l’enfant et rythme de croissance nécessitent des ajustements qui seront établie par le médecin •L’adjonction de vitamines doit obligatoirement compléter l’alimentation du nourrisson H- I E C Ce qu’il ne faut pas faire  ? •Laisser le biberon et la tétine à l’aire, risque de contamination (poussière, mouches) •L’utiliser sans l’avoir fait bouiller •Employer pour une tétée le reste du biberon précédant •Donner un biberon de lait pour calmer l’enfant quand ce n’est pas l’heur de la tétée •Dans la même intention lui présenter le biberon vide •Laisser l’enfant s’amuser avec un biberon NB:  Alimenter à la cuillère l’enfant des que possible (2 à 3 mois) pour éviter le retard d’apprentissage de la mastication. L’un des avantages de l’allaitement artificiel est que papa peut participer aux joies de la tétée. Pâleur palmaire Définition Pâleur Aspect de la peau et des muqueuses plus claires qu’a l’ordinaire une pâleur peut être due à une diminution de la quantité de sang circulant dans les vaisseaux capillaires de la peau. Cette diminution est elle-même due a une chute de tension a une réduction du débit du sang oui a un rétrécissement des vaisseaux luie par exemple au uploads/Sante/ lessoinsenpediatrie.pdf

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  • Publié le Aoû 21, 2021
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
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