Traité de nutrition fruitarienne par Yann Fañch Présentation de l'auteur : aprè
Traité de nutrition fruitarienne par Yann Fañch Présentation de l'auteur : après un Bac C, pour lequel il étudia la biologie, et une Math Spé P où il a étudié les sciences physiques, la biochimie, la chimie minérale et organique et fabriqué de l'aspirine en laboratoire, il a acquis le diplôme d'une grande école d'ingénieur à Paris, puis travaillé 15 ans comme ingénieur, salarié et consultant indépendant. Tout en restant antivivisectionniste et critique impartial des sciences modernes et anciennes, il étudie la nutrition moderne depuis qu'il est devenu végétarien en mai 1985, végétalien végan en mai 1989, et fruitarien en mai 2002. Il est un des rares experts en nutrition fruitarienne et végétalienne. Ce traité est effectivement le seul traité de nutrition fruitarienne au monde, y compris dans les mondes anglophone et germanophone. Il utilise la nutrition moderne et est remis à jour constamment en fonction des découvertes scientifiques. Yann Fañch a aussi un vécu social et politique international. Il a fait partie, et même parfois organisé, de nombreuses actions directes, parfois spectaculaires, pour faire progresser avec succès la condition de certains groupes humains en Europe ainsi que de certaines catégories d'animaux non-humains, et protéger la nature. Il a ainsi contribué à faire évoluer des lois et des attitudes en Europe, et à sauver des vies. Grâce au site du Club Fructivore qu'il rédige depuis 2003 et au Club Fructivore qu'il anime, il a convaincu des gens de devenir fruitarien-ne-s ou végétalien-ne-s. Il a inventé en 2009 le concept de festival international fruitarien et respirien et ainsi organisé et géré avec succès le premier Fruktifest l'été 2010 sur trois semaines, permettant le séjour gratuit de 200 personnes, dont 6 respirien-ne-s, de nombreux pays, sur un éco-site proposant donc des fruits, du jeûne, du respirianisme, des spectacles, du yoga, des conférences, etc. Il a coorganisé aussi le Fruktifest 2011. _________________________________________________________________________________ La plupart des fruitarien-ne-s mangent selon leur instinct et leur plaisir, et ne trouvent aucun intérêt aux sciences modernes que sont la nutrition moderne et les analyses biochimiques, surtout quand ces sciences proclament que l'humain ne peut vivre en fructivore. Quand on regarde dans quel état la science moderne a mis la planète et ses habitant-e-s on les comprend. Mais pour aider à convaincre et rassurer les gens qui ne croient que les scientifiques, ces questions et éléments de réponse de nutrition fruitarienne ci-dessous, sont un essai d’expliquer et d’explorer nos alimentations fruitariennes, en faisant le lien avec la science nutritionnelle moderne, en tenant compte de son évolution permanente, de ses erreurs, de ses approximations et de sa corruption par le pouvoir, l'argent et l'industrie agroalimentaire. Ce traité a donc d'autres d'intentions que de valider les théories de nutrition moderne en circulation. Ce traité ne remplace toutefois pas un avis individualisé de diététicien-ne. Envisager le fruitarisme avec des fruits traités aux produits chimiques de synthèse serait illogique. Quand nous parlons de fruits ici ce sont des fruits de l'agriculture biologique, du jardinage biologique ou sauvages. Quelques rappels de nutrition : On avale de la nourriture : c'est l'alimentation. Influencée par : idéologie, opinions, culture, régime, habitudes, choix d'approvisionnement, horaires et règles. Puis on digère le contenu de l'estomac c'est l'assimilation. Puis les cellules sont nourries par les nutriments assimilés transportés par les fluides du corps c'est la nutrition. Wilfred Crone, fruitarien : né en 1909 ; décédé à Christchurch dans le Dorset le 17 août 1996 disait : « Les opposant-e-s prétendent souvent que le régime fruitarien est nutritionnellement incomplet, et pourtant si on y regarde de plus près les tables nutritionnelles standards montrent que les fruits et les légumes crus contiennent tous les minéraux essentiels, les vitamines, les protéines, les acides gras essentiels et les hydrates de carbone dont on a besoin, même pour les enfants en croissance. » Résumé en 10 points des conclusions de ce traité de nutrition fruitarienne : 1- Il faut redevenir un animal, un enfant, une personne authentique sans influence de substance psychotrope, et écouter son instinct, et ainsi se dégager des schémas mentaux et habitudes du mental, et si possible des contraintes financières. Un fruit de qualité, apportera un bonheur, une santé, qui n'a pas de prix en euro. Il faut savoir dépenser ses euros sur ce qui nous fait vraiment du bien, plutôt que de décéder en laissant un trésor à la banque. Si on n'est pas déjà retourné à la nature, il vaut mieux acheter des fruits de qualité, équilibrants, plutôt que des séances de relaxation, des plaisirs et ivresses artificiels, pour compenser le déséquilibre causé par des fruits de mauvaise qualité. De plus la production de ces fruits créera un coin d'agriculture écologique, en partie une réserve pour la faune et la flore sauvage. La production et la vente de fruits de mauvaise qualité devrait être abolie. L'instinct : Si il te manque quelque chose comme nutriment dans le corps et si tu t'abstiens de psychotrope, ton instinct te poussera à manger en quantité de l'aliment qui contient ce nutriment à condition d'avoir accès à cet aliment, donc à une variété d'aliment de provenance différente. Au delà de l'immoralité de la nuisance à la plante, on ne peut, en écoutant son instinct, manger du feuillage en quantité, à la limite une feuille jeune et tendre par ci par là mais pas un ni des kilos de feuille, qui en plus useraient mécaniquement les dents par leur silice, leurs fibres dures et leurs piquants, comme c'est fait pour les lapin-e-s et les éléphant-e-s. Notre instinct nous pousse que vers les fruits, et nous fait sentir le poison et les autres mécanismes de défense du feuillage, et des racines. 2- En écoutant son instinct on irait vivre dans des endroits naturels magnifiques, près des rivages et des cours d'eau, nus et sans propreté excessive. Attention à la vitamine B12 : résumé. Elle ne se trouverait en quantité importante que dans l'argouse de certains biotopes (et peut-être certaines autres baies près des cours d'eau, marais et marécages, riches en bactéries). Attention aux pollutions et à l'excès de désinfection de la civilisation qui cassent la B12 dans le corps et les sols, et qui exigent un taux plus élevé de B12. Les bactéries en fabrique aussi un peu dans le corps humain et dans le sol. La carence est difficile à détecter car des symptômes différents selon les individus arrivent par vagues. Le corps peut rester 20 ans sans carences avec ses réserves de B12. Pour affronter la civilisation et ses polluants, nous recommandons un supplément fruitarien de B12 à base d'argouse. Nous pouvons supposer que les échecs du fruitarisme sont dus à cette vitamine, ou plutôt à la civilisation, qui détruit les conditions naturelles de vie et les bactéries qui produisent cette vitamine. A cause de la vie industrielle, il y aurait actuellement un taux anormalement un peu plus élevé de crises cardiaques causées par une élévation de l'homocistéïne causée par la carence en vitamine B12 causée par la désinfection de tout, en Inde dans les populations végétariennes, même si le végétarisme protège des maladies cardiovasculaires. Certain-e-s fruitarien-ne-s ne prennent pas de suppléments de vitamine B12 et se portent très bien. Pour acheter un pot de granulés bios de vitamine B12 fruitarienne en Allemagne : http://www.apo-sale.de/product_info.php/info/p290437_SANDDORN-B12-BIO- PANDALIS-Granulat-48-g.html 3- En écoutant son instinct on se réchaufferait nu-e-s le matin en s'exposant au soleil, ainsi que le soir. Attention à s'exposer suffisamment au soleil pour fabriquer de la vitamine D d'avril à octobre en Bretagne et au nord de la Loire, ou bien prendre un avocat tous les trois jours ou une cuillerée à thé d'huile d'avocat chaque jour comme supplément de vitamine D surtout si on a la peau noire ou si on est cloitré-e (nourrissons, prisonnier-e-s, hospitalisée-e-s, fin d'hiver). Mais tous les fruits, surtout les plus gras, devraient apporter ce qu'il faut de vitamine D d'octobre à avril. 4- Il semble important de consommer aussi des fruits gras tous les jours en climat froid non-tropical, mais l'instinct nous porte vers ces fruits quand on a besoin de gras, et sans excès. De plus l'instinct nous pousse à manger nos fruits riches en provitamine A liposoluble avec ou avant ou après nos fruits gras. Le durian et les avocats apportent hélas aussi beaucoup d'acides (aminés). 5- En écoutant son instinct on s'apercevrait qu'en tant que non-fruitarien-ne on est plein de toxines et on jeûnerait en prenant des bains dans des flaques/fosses de boue argileuse comme les autres animaux sauvages ou en mangeant un peu d'argile comme les perroquets. Il se dégage deux fruitarismes : -le « fruitarisme-débutant » de la personne qui débute après des années de non-fruitarisme, avec un corps plein de produits chimiques, de sel de cuisine, de gras, de protéines et de toxines. Pour se reminéraliser et refaire des provisions de vitamines il faut bien gérer la détoxification et la surnutrition (par plus de fruits), par exemple un mois de fruitarisme pour avoir un stock de vitamines en urgence puis un jeûne de quelques jours avec éventuellement des lavements, puis après une uploads/Sante/ traite-fruitarien.pdf
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- Publié le Jan 30, 2021
- Catégorie Health / Santé
- Langue French
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