1 La culture -l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd

1 La culture -l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd'hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. -Geert Hofstede : la culture est une programmation mentale collective propre à un groupe d’individus La communication Interculturelle La culture : désigne les modes de vie d’un groupe social (ses façons de sentir, d’agir ou de penser, son rapport à la nature, à l’homme, à la technique et à la création artistique) et recouvre aussi les conduites effectives que les représentations sociales et les modèles qui les orientent (systèmes de valeurs, idéologies, normes sociales). L’interculturel : définit un champ interactif, où l’on s’interroge sur les relations qui s’instaurent entre groupes culturellement identifiés. Il implique l’idée d’inter-relation, de rapports et d’échanges entre cultures différentes. La Communication Non verbal : Le non verbal La communication non verbale est la discipline qui permet d’étudier le langage du corps, qui correspond : aux expressions faciales, aux gestes, aux distances interpersonnelles… Pour la définition la plus large du non verbal c’est un mode de communication qui n’a pas recourt aux mots. C’est l’ensemble des moyens de communication existant entre les individus n’ayant pas recours à du langage parlé. Le domaine d’étude du non verbal est abordé par plusieurs champs scientifiques comme la psychologie, la neurologie, la sociologie mais aussi par l’éthologie, l’anthropologie ou la linguistique. La communication non verbale met en jeu des actes volontaires ou involontaires, des actes conscients ou inconscients, et mobilise plusieurs canaux de communication. Le non verbal peut manifester des émotions, des processus cognitifs, illustrer le discours, ou être spécifique à une culture (les emblèmes). Thématiques :  Les expressions faciales : que regarder sur le visage d’une personne et que peuvent exprimer ;  Le regard : articles de fond sur les yeux, la pupille et le regard ;  Le toucher : articles de fond sur l’impact et le rôle du toucher ;  La détection du mensonge : mythes et réalités sur indices comportementaux de l’évaluation de la crédibilité ;  La séduction et la sexualité : les attitudes réalisées lorsqu’une personne est séduite et les indicateurs qui sont perçus comme attirants ;  Et pleins d’autres thématiques… 2 La Prise de décision : Une décision est une résolution que l’on prend concernant quelque chose. On entend par prise de décisions le processus qui consiste à faire un choix parmi plusieurs alternatives. La prise de décisions peut apparaitre dans n’importe quel contexte de la vie quotidienne, aussi bien au niveau professionnel que sentimental ou familier, etc. Le processus, en son essence, permet de résoudre les divers défis que l’on doit surpasser. Lorsqu’il s’agit de prendre une décision, plusieurs facteurs sont mis en échec. L’idéal, c’est de faire appel à sa capacité de raisonnement pour être sur la bonne voie. Cette voie est jugée mener à une nouvelle étape ou, du moins, permettre de résoudre un conflit réel ou potentiel. Toute prise de décision doit inclure une grande connaissance du problème. En l’analysant et en le comprenant, il est alors possible de trouver une solution. Bien entendu, face à des questions simples (par exemple, décider si l’on boit de l’eau ou du jus au repas), la prise de décisions a lieu pratiquement toute seule et sans aucun raisonnement complexe ou profond. En revanche, face à des décisions plus transcendantales pour la vie, le processus doit être réfléchi et soigné. Lorsqu’un jeune doit choisir quelles études poursuivre après le lycée, il doit prendre une décision raisonnée, étant donné que ce choix donnera lieu à d’importantes conséquences. Dans le cadre des entreprises et des affaires, la prise de décisions est une partie très importante du management et de la gestion. Chaque décision transcendante pour une compagnie implique de grandes recherches et études, ainsi que la collaboration entre des équipes multidisciplinaires Leadership : Capacité à mobiliser les ressources des collaborateurs pour atteindre les objectifs fixés. On peut définir le leadership comme étant une autorité d’influence, basée les relations que le leader noue avec les membres d’un groupe. Être un leader est une reconnaissance, et non un statut. Il existe de nombreuses définitions du leadership, certaines très larges, d’autres plus restreintes. Je vous propose une définition simple du leadership, qui recouvre toutefois l’essentiel de cette notion. Une définition du leadership Le leadership c’est :  La capacité d’une personne à influencer et à fédérer un groupe, pour atteindre un but 3 commun dans une relation de confiance mutuelle et pour une durée limitée Le Management Interculturel : Management dont le but est d'améliorer les interactions entre les porteurs de cultures différentes au sein d'une organisation afin de minimiser les conséquences négatives des différences pour la bonne marche de l'entreprise et de bénéficier des ressources potentielles qu'offre chaque culture. Le Management : le management est le pilotage de l'action collective au sein d'une organisation. Il comprend l'ensemble des techniques mises en œuvre dans une organisation afin qu'elle atteigne ses objectifs. ... + DEF DE WAHABI : Théorie de l'iceberg Pour expliquer cela, le défunt père fondateur de la discipline, l’américain Robert Kohls a mis en place l’« Iceberg Model ». Afin de mieux comprendre le comportement, les habitudes et besoins de la personne avec qui on interagit, qu’importe sa nationalité, il ne faut pas uniquement voir la partie émergée de cet iceberg, mais surtout se concentrer sur ce qui compose le morceau submergé. Selon l’anthropologue de formation, celle visible en surface, c’est le contenu de la discussion. C’est-à-dire le langage, la situation économique et politique actuelle du pays auquel appartient l’interlocuteur, la mode etc…Ce qui est « sous l’eau », ce sont principalement les valeurs de l’individu, ses croyances ainsi que son éducation. THEORIE DE L’OIGNON Le psychologue néerlandais Geert Hofstede a lui élaboré un modèle comparable à ceux de l’iceberg, le célèbre «modèle de l’oignon»[5] : Dans la couche intérieure, au cœur de l’oignon, G. Hofstede situe les valeurs d’une culture, celles qui représentent la partie invisible. Selon G. Hofstede, la culture est une « programmation mentale » qui distingue les membres d’une culture par rapport à l’autre. Chaque culture fonctionne selon son propre système de valeurs et ses membres se comportent selon les règles qui sont appropriées dans une situation donnée. Entre 1967 et 1972, Geert Hofstede, a fait une enquête au sein de la multinationale américaine IBM pour établir une comparaison entre les cultures et pour montrer que cette « programmation mentale » a d’un impact sur le management et l’organisation d’une entreprise 4 LA THEORIE DES DIMENSIONS CULTURELLES — GEERT HOFSTEDE Geert Hofstede est un psychologue social et un anthropologue hollandais qui a étudié les interactions entre les cultures. Il a été récompensé maintes fois pour ses recherches sur les interactions entre cultures dans le monde entier. L’une de ses réalisations les plus remarquables concerne l’établissement d’une théorie sur les dimensions culturelles qui propose une structure systématique pour l’évaluation des différences entre nations et cultures. La théorie est basée sur l’idée selon laquelle la valeur peut être placée sur six dimensions culturelles. Il s’agit du pouvoir (égalité contre inégalité), du collectivisme (par opposition à l’individualisme), de l’évitement de l’incertitude (par opposition à l’acceptation de l’incertitude), de la masculinité (par opposition à la féminité), de l’orientation temporelle et le plaisir (par opposition à la modération). Hofstede a réuni la plupart de ses données sur les valeurs culturelles mondiales par le biais d’enquêtes menées par IBM, une entreprise américaine spécialiste des technologies et du conseil. Il proposa ensuite un barème utilisant une échelle de 1 à 120. L’index de distance par rapport au pouvoir: selon Hofstede, « la distance par rapport au pouvoir consiste en l’acceptation et l’attente, par les membres des organisations et des institutions ayant le moins de pouvoir, de ce que le pouvoir soit distribué de manière inégale. » Cette dimension ne mesure par le niveau de distribution du pouvoir dans une culture donnée, mais analyse plutôt le ressenti des gens. Un score faible de distance par rapport au pouvoir indique qu’une culture attend et accepte que les relations de pouvoir soient démocratiques et que ses membres soient perçus comme égaux. Un score élevé signifie que les membres de la société disposant de moins de pouvoir acceptent leur condition et réalise l’existence d’une forme de position hiérarchique. Individualisme contre collectivisme : « Le degré auquel les individus sont intégrés aux groupes. » Cette dimension n’a aucune connotation politique et faire plus référence au groupe qu’à l’individu. Les cultures individualistes donnent de l’importance à la réalisation des objectifs personnels. Dans les société collectivistes, les objectifs du groupe et son bien-être ont plus de valeur que ceux de l’individu. Indice évitement-incertitude : « La tolérance d’une société pour l’incertitude et l’ambiguïté. » Cette dimension mesure la façon dont une société gère les situations inconnues, les uploads/Societe et culture/ wahabi-resume.pdf

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