Dictionnaire français- arabe (langue écrite), renfermant un grand nombre de loc
Dictionnaire français- arabe (langue écrite), renfermant un grand nombre de locutions et d'exemples extraits du Koran et [...] Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Machuel, Louis (1848-1921). Dictionnaire français-arabe (langue écrite), renfermant un grand nombre de locutions et d'exemples extraits du Koran et des principaux écrivains arabes anciens et modernes, ainsi que des proverbes, des dictons, des termes .... [s.d.]. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. 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Dictionnaire Français=Arabe Clangue êcritej renfermant un grand nombre de locutions et d'exemples extraits du Koran et des principaux écrivains arahes, anciens et modernes, ainsi que des proverbes, des dictons, des termes judiciaires et administratifs, des néologismes, etc., etc. PAH Louis MACHUEL INSPECTEUR CI H N l'iR A 1, HONORAIRE DUT.'UNIVKRSITK DIRECTEUR Gl'iMλ Al. HONORAIRE DEL PUBLIC ECII TUXLSIF. H X - 1> R O FK R SK U R A LA CHAIREPUBLIQUED'AHABE d'ORAN, AU LYCÉEd'ai.KKR ET AU COLLÈGE IMPÉRIAL ARABE FRANÇAIS DE CONSTANTIN Librairie Armand Colin 103, Boulevard Saint-Miche], Paris, 5e DICTIONNAIRE FRANÇAIS-ARABE (langue écrite) Dictionnaire Français=Arabe Clangue écritej renfermant un grand nombre de locutions et d'exemples extraits du Koran et des principaux écrivains arabes, anciens et modernes, ainsi que des proverbes, des dictons, des termes judiciaires et administratifs, des néologismes, etc., etc. PAR Louis MACHUEL INSPECTEUR GÉNÉRAL HONORAIRE DE L'UNIVERSITÉ DIRECTEUR GÉNÉRAL, HONORAIRE DEL'ENSEIGNEMENT PUBLIC ENTUNISIE EX-PROFESSEUR A LA CHAIREPUBLIQUE D'ARABE D'ORAN,AU LYCÉED'ALGER ET AU COLLÈGE IMPÉRIAL AUAnEFRANÇAIS DE CONSTANTINE Librairie Armand Colin 103, Boulevard Saint-Michel, Paris, 5e (_/ /¡ .~-- /-. .-L/ //f or L)=-.? v/ tel QT-CeITô, , ":\, 0-:.) 1 ; * ^Crc\uc)c/ii 1) c/). /} eT a7c l/ a Q- Uyjuôuytw ^/yra/içaijc ,-/ ^yL/ï X jo/i L-(I!¡l,J,JC C~~ Q- c)uh tS>n/iaceur L-liClf L~" e. ( £ Lo/?i /? i c7 cf d-y reàjP-ecâueu t v -l uftcll/lc/ -j /---j - 0; M (o/uieiir c1l^JClIIC', jt», 1Ire tjc> o le si luare, (10- , 1 ¡J C,/)-: eT ,,-_Lct.I/()é'/l/ cjcncr\iLéo u/>/i O u e uiÇc7/à c,/ à ^Oa/i cj /Làie ur le cyftintôlre, cc) /P ) 1 /ù, A'/ c^f'C ODKAJotf: leaa.co/f/). C_se<>/ yràce, à poire appat ci à .1' ( YÍ ;; 1 je> - 1'0,1 COI/,J('II,J yne ,Jo/{-c -<Zu/t'u/' a nu en ac m'tr rêiïacfton. < -/>><>/ .., 1/,.. ri) ~f~~ en e.xprtuief^ ;'II(Jlft/{(('IIl('HL ma reco/matJ.ui/ice. .--. '('rllll,lle'.; (jracy ) Il, (J) 1. ). ).. j iï( \-e,u*c >er//,),)/ //te.i l"I'IJlt'I'Cll'lJll'l/!.¡ à ({IIII'er,JIIITlre n jctt é y ai c1 /c/i,)euj ne/nen L jiu l ftc en Ojiuu ,i/er à V/i: CiL/%, en c-(m - el! (~, d c//f. L~;'/v, (t)Ollt A~~ el/co/{- raye'ne/if, ) m 0111. été.préet en, c. ^^eut/le.i ayreer. on ,uea/^ le c )/l/ nt,\/re,, /a/>ara/icc• > )e /11011 JJl"ol/JI/(} re.tpec/. w0 A/ /? /j <~y ! La c/ui cL PRÉFACE La langue arabe offre cette particularité remarquable qu'elle ne s'écrit nulle part, aujourd'hui, comme elle se parle et que partout, cepen- dant, elle est écrite par les lettrés de la même façon. On ne peut donc pas dire qu'elle est une langue morte, puisqu'elle sert encore à exprimer la pensée de millions d'individus, ni qu'elle est bien une langue vivante, au sens où l'entendent certains linguistes, puisqu'elle ne s'écrit pas comme elle se parle. Le fond de la langue est sans doute le même dans tous les pays où elle est employée, mais les mots ont subi dans l'usage oral diverses modifications, ou ont reçu des acceptions particulières qui peuvent changer de région à région ; dans l'arabe parlé sont rentrés des vocables spéciaux à tel ou tel pays, à telle ou telle ville même, qui n'existent pas dans le domaine de l'arabe écrit. Mais quelle est en réalité l'étendue de ce domaine? On ne saurait la déterminer exactement. Il existe dans le parler des indigènes, nomades ou citadins, de tous les pays de langue arabe, un très grand nombre de termes ou d'expressions, qui ont incontestablement la forme et la phy- sionomie de mots et de locutions de l'arabe classique, mais qu'on déclare étrangers à la langue pure, parce qu'ils ne figurent pas dans les ouvrages de lexicographie arabe. Par contre, ceux-ci abondent en mots, en locu- tions, qui sont depuis longtemps hors d'usage et que leurs auteurs ont recueillis comme à plaisir pour montrer leur érudition ou pour prouver leurs patientes recherches. 11 n'est pas venu à la pensée des lexicographes musulmans de rédiger leurs ouvrages en puisant leurs documents dans les écrivains et en les appuyant de leur autorité, de sorte que leurs tra- vaux peuvent être comparés à de vastes océans (c'est même le nom que xn PRÉFACE porte l'un d'eux), dans lesquels le chercheur peut trouver assurément des perles d'une valeur inestimable, mais aussi des matériaux inutilisables. On pourrait croire que les orientalistes européens, habitués à des mé- thodes plus critiques, ont procédé autrement dans la préparation des dic- tionnaires arabes : il n'en a rien été. Ils se sont contentés (et leur labeur a déjà été considérable) de traduire les ouvrages arabes ; de sorte qu'on peut avancer que nous n'avons pas encore de dictionnaire arabe rédigé à la suite du dépouillement des ouvrages des bons écrivains et dans lequel le sens des mots et des idiotismes aurait été fixé d'après l'usage qu'ils en ont fait. - Nous n'avons pas davantage de dictionnaire français-arabe conçu d'après ce plan. Il a paru, il est vrai, à la suite de notre prise de posses- sion du nord de l'Afrique, plusieurs dictionnaires français-arabes plus ou moins étendus, mais tous concernent l'arabe usuel; on n'a publié aucun ouvrage similaire pour l'arabe écrit1. Un travail de ce genre n'a tenté aucun de nos arabisants et de nos orientalistes à cause des diffi- cultés qu'il présentait, de la longue préparation qu'il exigeait, des cri- tiques faciles qu'il risquait de soulever, et aussi du peu de lustre dont cette œuvre de longue haleine devait entourer le nom de son auteur. Mais, pourra-t-on demander, la publication d'un dictionnaire fran- çais-arabe pour la langue littéraire est-elle utile ? — Non, affirment cer- tains arabisants. Nous n'avons pas besoin, selon eux, d'apprendre, nous, Français, à rédiger en arabe. Lorsque nous avons à communiquer par écrit avec des musulmans qui ne savent pas le français, nous n'avons 1. Il serait injuste de ne pas signaler le Dictionnaire français-arabe de M. Bellot, imprimé à Beyrouth, à l'imprimerie des Pères Jésuites. C'est, en réalité, le meilleur ou- vrage de ce genre, qui pouvait être mis entre les mains des étudiants. Malheureusement, les exemples qui suivent les vocables sont peu nombreux, et l'auteur n'a pas cru devoir donner une seule expression extraite du Coran. — Nous signalons pour mémoire le Dic- tionnaire français-arabe de M. Caussin de Perceval; — celui de M. Gasselin, en deux gros volumes, qui ne nous a été d'aucune utilité; — celui de M. Joseph-J. Habeiche, im- primé en Egypte, à Alexandrie, dans lequel nous avons puisé quelques documents utiles; - celui de M. Ibrahim Gad, imprimé également à Alexandrie, qui nous a fourni un cer- tain nombre d'expressions judiciaires et administratives; — enfin, uploads/S4/ dico-fr-arabe-avec-locution-extraites-du-coran.pdf
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Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Mar 29, 2021
- Catégorie Law / Droit
- Langue French
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