Ge que veulent les Juifs Jacques Attali (libéral, ex-socialiste) : L'Allemagne

Ge que veulent les Juifs Jacques Attali (libéral, ex-socialiste) : L'Allemagne : elle devra << s'ouvrir à l'immigration pour compenser le déficit démo- graphique actuel. Il faudrait en effet que la part de la population étrangère naturalisée atteigne un tiers de la population globale, et la moitié de celle des villes. >> (Dictionnaire du XXf siècle, Fayard, 1998). La France : < Il lui faudra tout à la fois se donner les moyens d'un net rajeunissement, accepter l'entrée d'un grand nombre d'étrangers.) (Z'Homme nomade, Fayard, 2003, Livre de poche, p. a3Q. Daniel Cohen-Bendit (Ecologiste, ex-anarchiste) : < Ce qui me plaît en France, c'est son cosmopolitisme. Les Noirs, les Arabes, les Juifs. J'aime la France surtout pour ça. > (A. Harris, A. de Sédouy, Jutfs et Français, Grasset,79J9, p. 188). Il serait bon que < le pourcentage d'étrangers atteigne un jour le tiers de la population globale... La barque est loin d'être pleine, elle est même trop vide... Pour enrayer la xénophobie, le mieux serait encore d'augmenter et non de vouloir iéduire le nombre d'étrangers. >> (Xénophobies, Grasset, 1998, pp. 14,43,45). Bernard-Henri Lévy : << Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux >>. (Globe, I 985). Alain Finkielkraut, ex-intellectuel de gauche, aujourd'hui à droite, à cause du "danger musulman" dans les banlieues : << Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l'appar- tenance, la segmentation de I'humanité et I'enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par I'instauration des sociétés pluri- ethniques. >> (L'Humanité perdue, Seuil, 1996,p. A7). -, Jacques Dgrrida, idéologue marxiste, décédé eg ,2100!:_t[a < beaucoup plus de place qu'on ne le dit pour accueillir plus d'étrangers )); ( f immigration n'a pas augmenté, contrairement à ce que I'on affirme. >> (De quoi demain,Fayard,200l, p. 104). Guy Sorman, économiste libéral : < Ce ne serait pas la présence des étrangers qui susciterait le racisme, mais leur absence : le fantasme de f immigré serait le fourrier de la violence, beaucoup plus que l'immigré lui-même., (En attendant les barbares, Fayard, 1992, pp. 52-56). Jack Lang, ancien ministre socialiste. A l'émission Tout le monde en parle, samedi 3 septembre 2005. Thierry Ardisson : << Vous ne trouvez pas qu'il y a trop d'immigrés en France ? - Non, vous savez qve la France est le pays qui a le moins d'immigrés en Europe ! > Alain Minc, essayiste libéral : La population immigrée, est < plus réduite que d'aucuns le prétendent > ; < les chiffres demeurent bien inferieurs à ce que l'agitation politique pourrait faire croire. > Le nombre des clandestins < ne doit pas être très supérieur à ce qu'il était en 1981. ) I1 faut <lutter contre le délire xénophobe >> et en finir avec cette << paranoïa française. > (La Vengeance des nations, Grasset, 1990, pp.l55-160,208). Jean Daniel, directeur de presse : < Rien n'arrêtera les mouve- ments des populations misérables vers un Occident vieux et . riche... C'est pourquoi la sagesse, la raison, consiste désormais à faire comme si nous allions recevoir de plus en plus d'émigrés dont il faut préparer I'accueil. > (Le Nouvel Observateur, 13 octobre 2005). C'est "inéluctable". I1 est inutile de lutter. Edgar Morin, << Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire, nous appelons au métissage fdes autres, pas des juifs, ndlr]. .. >> (Terre-patrie, Seuil, 1993, pp. 138-la3). Alexandre Adler, libéral, partisan de la guerre en Irak, directeur du Courrier international, ex-communiste : La Turquie, qui a < des élections libres, une presse libre, des intellectuels qui n'ont rien à envier aux nôtres, des universités admirables ouvertes sur le monde >>, représente une < chance inespérée > pour l'Europe. ,, (Le Figaro,l3 octobre 2004). Pierre Lellouche : député de la droite libérale et président de l'Assemblée de I'OTAN : << Parce que la Turquie est un pays musulman, je souhaite qu'elle entre dans I'Union. > (Actualités juives du23 décembre 2004). Dans le même numéro, Nicolas Sarkozy (un Marrane, c'est-à- dire un juif déguisé en catholique) déclarait, à peine rentré d'Israël : < Le problème, ce n'est pas la Turquie, mais l'identité de I'Europe. Si nous voulons vraiment nous élargir dans cette région du monde, nous devrions d'abord intégrer Israël. > Et encore : << Je pense que les Français attendent une France d'après [...], une France où I'expression "Français de souche" aura disparu. , (page 280 de son livre Témoignage,2006). Paul Wolfowitz, directeur de la Banque mondiale, ancien "faucon", partisan de la gueffe en Irak en 2003. En novembre 2005, un rapport de la Banque mondiale encourageaitla Russie à ouvrir ses frontières : << L'immigration est I'une des principales conditions d'une croissance économique stable en Russie. La population du pays est vieillissante et déclinante... Pour pleinement compenser la dépopulation, un flux annuel d'un million d'immigrants employables serait nécessaire. >> Les financiers juifs sont les rois de Wall Street. Cette suprématie financière incontestée est illustrée par exemple, dans un article du journal Le Point du 9 fevrier 2006, intitulé < Steven Cohen, le manitou de Wall Street. > : Steven Cohen, peut-on lire, aime entretenir le secret : < Le vrai boss de Wall Street ne vit pas à Manhattan, mais reclus dans une maison de Greenwietr{Conreetieu9r qu'entour€ i.::::= mètres. Steven Cohen, 49 ans, ne se montre presque jamais... En 2005, il a empoché 500 millions de dollars ! Son secret: tout savoir avant tout le monde. L'æil rivé sur ses écrans de contrôle, il analyse des milliers de données et pique des colères lorsque les analystes de Wall Street ne lui donnent pas la primeur d'une information. Les investisseurs qui lui confient leurs sous le paient cher : Cohen prélève 3 o de ces sommes en frais de gestion et 35 o des gains. > Cohen < professe un capitalisme total : ooVous maîgez ce que vous tuez", dit-il à ses traders, rémunérés sur leurs performances. > George Soros est I'un des hommes les plus riches du monde et le symbole de la spéculation internationale. Quand il achète des mines d'or, le métal jaune monte. Et I'or baisse si l'on apprend qu'il a vendu. En 1992, il réussit I'un des plus beaux coups financiers du siècle en mobilisant quelque dix milliards de dollars contre la livre sterling. La banque d'Angleterre vacille sous les assauts de la spéculation et doit finalement dévaluer et faire sortir sa monnaie du Système monétaire européen. Soros est devenu << I'homme qui a cassé la banque d'Angleterre >. Il a empoché au passage plus d'un milliard de dollars' en une semaine. Sa fortune personnelle est estimée (en 1998) à 70 milliards de dollars, mais c'est à sa Fondation pour une Sociëté ouverte qu'il consacre désormais le plus clair de son temps. > Il défend les principes de la démocratie et des droits de I'homme, (( pour préserver la paix, I'ordre et la loi à l'échelle planétaire. > (Soros, La Crise du capitalisme mondial,Plon,l998, p. 151). Avant George Soros, le gourou de Wall Street était un autre financier juif. C'est ce que nous dit Samuel Pisar, un richissime homme d'affaires : < Il y a un gourou à Wall Street, dit-il. Il s'occupe du dollar et des amoureux du dollar. Il est l'éco- nomiste en chef de la puissante Salomon Brothers, qui place dans le public les émissions obligataires de la plupart des gouvernements et des entreprises de la planète. Il s'appelle Henrlz Kaufman. Quand il parle, et il n'a pas besoin de beaucoup de mots, et les bourses du monde se mettent à espérer, ou à trembler. Ses pronostics sont suivis dans le quart d'heure, enregistrés par les banques, interprétés par les chancelleries. Des fortunes se font ou se défont. > (Samuel Pisar, La Ressource humaine,Jean-Claude Lattès, 1983, pp. 24, 3 l3). Albert Einstein : << Un gouvernement mondial tel que je le conçois devrait être compétent pour juger de toute affaire militaire. .. >> (Le Pouvoir nu,Hermann, 1991, novembre 1945). Jacques Attali : I1 faut << s'ouvrir aux cultures des autres, favo- riser tous les métissages lsauf pour les juifs, ndlr], apprendre à penser globalement... Après la mise en place d'institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être 1'urgente nécessité d'un gouvernement mondial. > (Dictionnaire du XXf siècle, Fayard, 1998, Mondialisation, pp. 15, 17). < A la fois hypocondriaques, paranoïdes et mégalomanes, narcissiques et égocentriques, les hypernomades... inventeront ainsi le meilleur et le pire d'une société planétaire volatile, insouciante, égoïste et précaire. Arbitres des élégances, maîtres des richesses et des médias, ils ne se reconnaîtront aucune allégeance ni nationale, ni politique, ni culturelle. > (Une brève Histoire de I'avenir, Fayard, 2006, p. 282). On peut dire qu'Attali a résumé ici en peu de mots une bonne partie du délire hystérique du judaïsme. Albert Memmi : << Nous vivions dans I'attente enthousiaste de temps nouveaux, inouïs, et en croyions voir déjà les signes précurseurs : I'agonie des religions, des familles et des nations. Nous n'avions que uploads/Geographie/ ce-que-veulent-les-juifs-herve-ryssen.pdf

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